(texte court)

Une envie de vomir et une gorge serrée est l'imcombre idée qu'une écrivaine ressent quand son seul entourage est sa cigarette prete á se faire machouiller par l'enscens injuste du bas de son pied.

Pensant que ses écrits lui apporterai quelque chose de bien, profilant les moindres sombre cotés qu'elle enfouit en écrivant. Serai-ce prévisible de se dire que c'est sa maniére a elle de se proteger du monde exterieur et de son fort interieur qui lutte contre sa solitude? La vie est un chien pour elle, ou la laisse de chien est rarement mise. Et si la fenetre qui li serre de vision vers la fin du monde irrealisablement enclin á lui fournir un appui considérable pour continuer á écrire? Une vue d'ensemble en haut de son engin cérébrale qui ticle au moindre intercommunication avec sa nervosité et sa frayeur de rencontrer de nouvelle perspectives de se faire sortir de cette vision fermé de l'inconnu. La solitude est comme un coussin enclin a se faire platrer des deux cotés mais qu'une barre cotonneux empeche cette platration de se faire. Esperer de voir á nouveau un sourire dans ce doux visage qui pense le trouver un jour, une amitié détruite, une vision incomune de l'amour face á la peur de se blesser contre un martelet de brique. Esperer, synonyme de solitude, comme un rayon de soleil aveuglant qui se bat contre une manche de béton d'un immeuble associé par une atnosphére mélancolique et visionairement tétu. Des larmes retenu sous la peau cutané de cernes et des mains pretes a taponner des lettres formants des phrases ticlement enclin á lui faire passer toute ses émotions en entendant une pluie piplette. Une fenetre qui est la porte viscéralement de son bonheur incertain, dangereusement propice á lui couper la vie qui lui serre de force á lutter; un coeur pret á lacher mais qui reste attacher á une chaine imaginairement connu dans son esprit pour enchanter son esprit face a des images macabres qu'elle s'aurai imaginer. Lutter, sa seule vocation reellement littéraire, évoquer avec une force d'écriture.