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Chapitre Douze : Paniques dans tous les quartiers


L’armée faction Devoir et Société détruisirent les quartiers.

La Guerre avait bien commencé, les gens eurent peurs et se montèrent les uns contre les autres.

Une minorité chercha qui fut à l’origine de ce chaos.

Lyvain s’échappa et vit des décors plutôt explosifs, des scènes de conflits et horreurs.

Il avait mal au genou droit.

Il retrouva Trinitius.

« Que fais-tu là ? »

« Je contemple les horreurs de l’Humain ... »

« C’est horrible, effrayant ... »

« Je pense que le système s’effondre et se reconstruiras ... »

« Toute création mènent à la destructions et vice-versa. »

« Viens Lyvain, on va chercher le fou ... »

« C’est toi le fou mon gars, on s’est sorti de cet enfer ... »

« Faisons tout pour pas rentrer dans ces batailles, passons par les forêts. »

Lyvain et Trinitius évitèrent d’observer ces horreurs. Ça sentait le sang partout dans ce monde.

« Cette porte c’est quoi ? »

« La sortie de toutes les factions. »

« La faction Liberté, ni les autres ne sont libres, c’est n’importe quoi !! » Avec acharnement Lyvain.

« On verra plus tard, d’abord faut sauver le peuple ! »

Ils coururent pour trouver la faction Société.

Maria se battu telle une gladiatrice.

« Jusqu’au bout pour ma famille ! »

Marnie sortit deux poignard.

« Petite conne viens là ! »

« Non toi approche. »

« C’est triste si tu meurs ! »

« On vous manipule ! »

Aux quartiers des factions « Arts » ; les artistes se sentent menacés, les « inconscients » les attaquent.

Partout, un désordre inimaginable fut produite de grandes ampleurs et inédits dans l’Histoire cette nation.

Tous les quartiers furent pris d’assaut rapidement, les gens entre-tuèrent.

Lyvain et Trinitius arrivèrent devant un grand building des Sociétés.

« On escalade ? » Dit Trinitius

« Tu es fou ? »

« Pas de folies pour avoir une paix, allez monte, agrippe toi bien sur les parois. »

« Tu as une autre solution ? » Continua le moralisateur

« Non. » Ajouta Lyvain.

« Allez, les premières parois c’est simple. »

Ils gravirent les parois des vitres tels des courageux, ils avaient de l’ambition.

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