Sentiments naissant

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Soal...

Maintenant je sais ce sentiment qui à prédominé chez moi " la jalousie " et puis ensuite la haine devant la scène que j'ai vu. J'en revenais pas.

Moi un bikers pure et dure...la jalousie. En même temps comment ne pas l'être jaloux face à cette beauté rebelle, tous les hommes bavaient sur son passage et rêvaient que d'une chose l’a posséder, quel bande chien quand même. Et moi je me rappelle qu'a une époque j'ai été comme eux, dès qu'un jolie cul passait sous mon nez, remué du croupion ma queue réagissait.

Mais depuis longtemps plus aucune me fait envie. Peut-être l'étape de la maturité ou peut-être bien aussi ce petit bout femme extrêmement sexy qui passait sous mon nez, son parfum exquis flottant dans l'air et je dois avouer en être fou de cette odeur capiteux et à la fois florale, exquis je vous dis.

Le type je l'ai démonté, enchaînant les coups avec la rage bouillonnant dans mes veines. Voyant plus personne d'autre mise à part 

 lui et cette phrase qui tourne dans ma tête comme une longue litanie ou un mantra au choix “tuer, l'éliminer de la surface de la terre”.

Des prospects sont venu l’emmener et nettoyer la pièce de toute trace de cette entrevue musclé dont j'étais le vaincu, sans conteste.

Comme j'étais dans les méandres de mes pensées, je reviens à moi en sentant une présence près de moi et baisse les yeux en voyant Helena me regarder silencieuse.

Je souris brièvement pour la rassurer et jette un regard autour de nous voyant encore les prospects nettoyer et des filles arriver...et...oh. Et tant pis merde j'ai trop envie de cette bouche et de la femme qui se situe devant moi, je plaque ma bouche goulûment sur la sienne.

D'abord hésitante quelque minute, elle repondit enfin. Ce baiser était étrangement différent des autres qu'on avait échangé.

Au debut brut, avide de sensations et devient plus tendre, plus.....de sentiment.

A bout de souffle, nous nous séparons à peine et sussure “ petite sorcière, tu ma ensorcelé ”.

A mes mots je la vis rougir, ce qui me flanqua un sentiment fort au fond de mon coeur qui vibre déjà pour cette déesse brune au regard ensorcelant.

Je dois allé me préparer, dit-elle  hésitante.

Contraint de la lâché, je grogne en imaginant mes frères de l'autre côtés bavé sur elle quand elle dansera.

Je lui fais confiance bizarre mais pas tous les frères qui se trouvent un étage plus bas qui cherchaient toujours un beau trou à baisé.

Je vis Helena se prépare et vu l'ensemble qu'elle met je crois que je suis mal barré, ce soir il y aura sûrement une bagarre.

«Arf cette fille me rend dingue» pourtant elle fait rien de spécial, elle vit, bouge naturellement.

- Hele’ c'est à toi ?! Crie une voix qui me ramène a la réalité.

Je me flanque une tarte mentale pour pouvoir réagir, avant qu'elle rentre en scène pour allumé tout ses connard assoiffés de sexe.

Et avant qu'elle disparait à travers les escaliers descendant dans notre monde de luxure, je la tire encore sur moi et l'embrasse en mettant tout mes sentiments et croyez moi c'est pas simple. Helena sourit sur ma bouche d'un air moqueur comprenant mon geste.

- S'il te plait Soal, c'est que du spectacle pour moi rien d'autre, comme un travail à accomplir.

Helena a l'écoute de mes paroles, je me rambrunie et je grogne des mots incompréhensibles.

- Fais gaffe hien, qu'aucun te touche t’es à moi dis-je d'une voix bourru.

- Bon j'y vais on m'attend, dit Helena en se dirigeant vers les marches en disparue bien vite.

Soal la mort dans l'âme retourne au bar le corps raidit par les nerfs et les poings serré par la colère et le chagrin.

Et décide juste après cette journée qu'il devait tout faire pour qu'elle arrête ne supportant plus le fait qu'elle se dénude devant tout ses affamés. Et aller voir son président Run pour lui dire se qu'il ressentais.

Il ne mit pas longtemps pour rejoindre son président qui était attablé avec sa régulière sur les genoux. Ce dernier en le voyant approché l'air taciturne se penche à l'oreille de sa femme qui se levait pour laissé son homme rejoindre Soal qui apparemment en avait grand besoin .

Celui-ci n'attendit pas et lui demande

- Soal où est le problème

-Pres’ peut-on parler ailleurs, ça urge. 

- Bien, suis moi dans mon bureau on sera plus tranquille

Une fois la porte fermé Run n'y va pas par quatre chemin

- Je t'écoute qu’est-ce qui te chagrine ?

- Helena et le fait qu'elle face du strip devant nos frères

Run hilare, hoche de la tête positivement

- Je comprends lui as-tu parlé, elle a aussi son mot à dire tu crois pas ?

Soal ronchonne pour la forme mais s'en doutais un peu et voyant son silence run rajoute

- Tu tiens à elle ou c'est plus de l'attachement comme quelqu'un qu'on a envie de protéger.

Soal soupire en se frottant le visage gêné d'avouer quelque chose qu'il avait dû mal à admettre mais malgré tout ce lance en disant la vérité à son ami, son frère et président.

- Oui, oui je...je... oh putain

- Laisse va j'ai pigé

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