Réponse à "Horizons poétiques : la sextine"
de Offberg
Au tout départ, premier jour,
Quand je t'ai vue, Toi, ton être,
En l'instant, mué de ferveur,
J'ai trouvé là une lumière.
Entre mes mains, elle fut mienne,
Entre tes mains, je fus tien.
Je l'ai serré, près du tien,
Cet amour né qui vit le jour.
Tu as serré aussi la mienne,
Ma main, caresse de l'être
Et j'ai cherché ta lumière
Pour que ne meure ma ferveur.
Tu avais dompté ta ferveur
Déjà, pour me faire tien,
Et me piéger dans ta lumière.
As-tu gagné, au point du jour?
Vaincu mon coeur, vaincu mon être?
Avoue! Avoue! Tu es mienne.
Ton audace je fais mienne,
La chéris à nulle ferveur
Et prends bien soin de ton être.
Mais alors si je suis tien
En ce second et nouveau jour
Ne vois-tu pas cette lumière?
Ne sens-tu pas cette lumière?
Qui frôle ta peau, la mienne,
Vit en l'espoir d'un autre jour,
Où rimeraient lors de ferveur,
Mon coeur ancré avec le tien.
Que ne pourrions nous être?
Nul ne pourrait briser l'être,
Notre fusion dans la lumière,
Où tout mon coeur qui est tien,
Et ta flamme qui est mienne,
Se rejoignent avec ferveur,
Et font naitre un nouveau jour.
Je suis tien, tu es mienne,
Pour qu'un jour cette ferveur,
Puisse être notre lumière.
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