J'étais toujours dans le noir,sans savoir depuis combien de temps. L'humain n'était pas encore revenut et j'espérer qu'il m'apporte enfin des informations valables cette fois.

En attendant, mon esprit demeuré hanté par la vision de cette femme,de son regard, de sa voix. J'avais l'étrange impression que je l'a connaissait. Mais d'où? Comment? Je n'arrivais pas a m'en souvenir. Plus j'essayais, plus une douleur sourde pulser dans mes tempes. Mais je continuer a essayer, le son cristallin de sa voix m'avait tellement donner l'impression d'une total liberté, que je voulais plus que tout m'en rappeler. Je voulais savoir pourquoi je me retrouvais ici, emprisonner comme je l'étais. Et surtout dans le noir, dans l'obscurité permanante.

Je revais de liberté, depuis ce rêve, j'en revais. Je la désirait tellement, mais comment l'obtenir? Je devais d'abord et avant tout savoir pourquoi j'étais ici, pourquoi on m'avais effacer la mémoire.

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Ce fut un son de martélement qui me sortie de mes pérénigrations mental. Je reconnus se son comme celui que l'humain faisait quand il venait me voir. Et au bout de cinq minutes, je le vit devant ma cellule. Il tenais dans ses mains, une lampe torcheet un gros pichet, qui je l'espérais, devait contenir de l'eau comme je le lui avait demander, la dernière fois.

"- J'ais apporter de l'eau. Fit-il alors en posant le pichet par terre derrière les barreaux. Vous vouliez voir a quoi vous ressembliez il me semble. Alors j'ai apporter cette lampe et ce mirroire a main.

- Et mes informations? Où sont elles? Le rabrouais-je durement en prenant le bros et en buvant son contenut avec avidité.

- Et bien... J'ai eu beau chercher, espionner, je ne trouve rien. Les grandes instances font tout pour les gardaient secrétes. Me répondit-il alors avec angoisse.

- Tu te moque de moi! Criais-je alors, en l'attrappant par le cou et en l'assomant a moitier contre les bareaux de ma cage. Veux-tu a se point mourire? Crois-moi, il vaux mieu que ce soit eux qui te tue plutôt que moi. Trouve moi ces informations, ou sinon gare a toi."

Je ne le laissa pas ajouter quoique se soi, car je l'envoya d'un revers de la mains embrasser le mur derrière lui. Il ce releva rapidement en couinant de douleur et il parti a toute jambes sans demander son reste. La rage avait obscurcit mon jugement sur le coup. Inconsciemment, je me disait que je devais surement être un démon, en particulier a cause de ma réaction. Apréstoutlesdémons sont connus pour leurs coléres, leurs mauvais caractéres et leurs violencesparfois extrémes. En baissant les yeux,je remarqua que la lampesétait parterre et a mes pieds, le miroire, par chance, ce trouverjuste devant les barreaux de ma cage. Je le recupera, puis je pris la lampes que j'alluma. Une fois allumée, je la plaça de maniére a se qu'elle m'éclair. Puis je tendis mon bras afin de pouvoir voir mon reflet dans le miroir.

Ce que je fit, me surprit tellement que j'en lacha le miroir qui se fracassa au sol.