Un seul mot

Une minute de lecture

Peu m’importe ton nom, je ne te connais même pas, mais, dejà, je te hais comme je t’adore. Oui, je te refoule comme je t’exploite.

Mais toi, tu me brûles, toi, tu me glaces le sang. Oui, Tu me tues tous les jours comme tu me donnes la force de vivre chaque souffle qui fait avancer le temps. Toi, tu es l’espoir de la résilience la volonté qui surplombe l’impuissance. Tu traverses les cœurs comme la lave sculpte la pierre. Oui, tu m’habites de cette flamme qui jamais ne vieillit et qui sous cette armure de marbre garde sa foi à l’abri. Tu es ce château de sable qui garde mes rêves comme le plus précieux des trésors et que seuls ces dragons volages ont l’honneur de veiller jusqu’à la mort. Tu es mystique créature sans corps ni contour qui même ailleurs que dans le noir brille plus que le jour.

Prophète de l’âme que personne ne guide, que personne n’apprivoise, tu nous montres la voie d’une vie qui nous appelle et moi, j’apprends à ne pas répondre pour entendre ta voix, à nouveau, faire résonner le son de ses tambours. Toi qui n’est pas, toi qui pourtant existes, saurais-je seulement un jour te dessiner de mes mots?

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