Vacance 1

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Je suis sûr, vous n'avez rien vu dans le texte précédent. Chaque mot compte dans un texte, chaque tournure de phrase et vous n'avez rien vu... je suis déçu.
Je vais vous rafraichir la mémoire, vis-à-vis de la pilosité intime de Camille

– Oui, c'est son signe de soumise.

Ça ne vous avance pas des masses, j'en conviens, mais c'est super important pour la petite histoire que je vais vous narrer. Revenons 2 mois avant que Camille aille faire des petites pauses-café chez Mathilde.

En tant que couple, nous avions évité un sujet important, on se le cachait en faisant des grands week-ends de-ci de là. Mais plus le choix, début aout arrivait et il fallait prévoir nos premières vacances en couple !

Et nous n'étions pas tout à fait sur la même vision des vacances. Moi, une tente, une bouteille d'eau, un rouleau de papier toilette et en avant. Camille, séjour tout compris en hôtel avec son pc de travail. En fait, elle faisait du télétravail en all inclusive, une certaine vision des vacances.

Moi, trois semaines, elle, seulement une semaine, en gros aucune chance qu'on soit d'accord ! En fait, on était d'accord sur un seul point, on ne ferait ni ses vacances, ni les miennes.

Tous deux assis derrières le bureau, la tension montante face à sa rigidité de prendre plus qu'une semaine de congé et de trouver quelque chose. Camille ne démordant pas que sans elle, la boite où elle travaille va couler. C'est pourtant simple de connaitre le niveau de stress de Camille, plus elle demande à être soumise, plus, elle est stressée et c'est dernier temps, on ne devait pas être loin du burnout.

La tension qui monte doucement, tout le monde braqué, un grand classique, sauf que je n'avais pas envie. Une semaine de vacances vue son état, c'était absurde, j'ai utilisé l'option que j'utilisais de plus en plus quand elle était dans un état de stress élevé.

– Soumise, va chercher ton pc et ton téléphone puis sous le bureau.

La soumission, c'était son échappatoire. Si son boulot prend trop le dessus dans ses décisions, il fallait la mettre en jeux. Elle le savait.

— Oui Maitre. Elle le dit tout en expirant, comme si soudainement tout un bloc de stress s'échappait d'elle.

Elle rapporta son pc de boulot et son téléphone et les mis sur le bureau avant de descendre à genou sous le bureau entre mes jambes.

— Sort ma queue et ouvre la bouche bien grande. Elle s'exécuta et je mis une main derrière sa tête bien fermement.

— Jusqu'à la garde, je te pris.

Elle enfonça sa bouche lentement sur mon sexe, descendent dans l'étroiteur de sa gorge, arrivé à mon pubis, je lui bloquai la tête de ma main.

- On va faire un compromis, je ne suis pas bloqué sur mes trois semaines. Disons deux semaines de vacances, une sans aucun travail et une autre avec possibilité de travailler sur certaine horaire.

Je lâchai la pression de main, elle releva la tête et prise une grande inspiration

— Oui maitre

– Redescend je te pris. Elle s'exécuta de nouveaux. Pour faciliter tout ça, je vais poser les jours directement sur ton pc, pour éviter les oublis.

D'une main, j'allumai son pc, tapa son mot de passe ridiculement trop simple au vu des informations sur son pc. Vraiment la sécurité informatique est Camille, il y a un gouffre affligeant.

Elle eut un soubresaut d'étouffement. Je relâchai doucement la pression pour quelle remonte de quelques centimètres, puisse reprendre une inspiration, mais sans faire sortir mon sexe de sa bouche. Puis retourna bien au chaud dans l'entonnoir qu'est ça gorge.

Je me suis connecté à son logiciel RH, je suis allé sur demande de congé et posa les deux semaines des dates prévues. Son téléphone vibra pour valider la demande. C'est bien d'être cheffe, on pose des vacances, ensuite ont peu se les valider. Mais pour le moment la cheffe étouffait avec mon sexe, bloquant tout oxygène de passer.

– Voilà, c'est fait, on progresse. J'enlève ma main de sa tête pour qu'elle la redresse

– Merci maitre, dit-elle d'une voix étouffée.

Je la fis sortir de sous le bureau et fit un thé vert miel citron pour Camille en ramant des mouchoirs. La gorge profonde ça fait baver beaucoup et pleurer.

– Plus qu'à trouver où on va.

Dans ce cas, étrangement la première blague nulle qui nous vient à l'esprit. "Camping naturiste" dit, elle, en rigolant…

Deux heures plus tard, on cliquait sur valider pour une semaine dans un camping naturiste, les blagues à la con je vous jure.

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