Il faut toujours y croire 8/8 :

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Il faut toujours y croire 8/8 :

Moi : hmmmm

Lucie : MON DIEU NE T’ARRÊTE PAS.

Elle place ses mains sur ma tête, je ne me fais pas prier, elle mouille de plus en plus, je me surprends à aimer lui bouffer la chatte.

Elle est très douce, Lucie gémit, elle me rend folle, je la regarde pendant que je lui aspire son clito, son corps se contracte, ses yeux se révulse, je lui donne un coup de langue.

Lucie : AAAAAAAAAAAAAAH

Au moment où elle entre en orgasme, je reçois sur le visage de la cyprine, ma Lucie est femme fontaine, je suis impressionné, j’aime ça.

Elle revient à elle un petit moment après.

Lucie : qu’est-ce qui sait passer Maëlys.

Moi : tu as éjaculé ma belle.

Je vais l’embrasser.

Lucie : ah oui... (elle rougit.) Je suis quelques fois, fontaine, lorsque cela est vraiment bien fait.

Moi (sourire) : tu es tellement belle.

On s’embrasse, je tombe sur le dos, je crois que Lucie voudrait essayer, elle m’embrasse et reproduit les mêmes gestes que je viens de faire.

Moi : HMMMM LUCIE.

Elle me mordille l’oreille, elle descend vers mes seins qu’elle prend en bouche, elle me mordille, je lui fais comprendre que je veux plus.

Elle me fait un très beau sourire puis elle ne se fait pas attendre, elle me lèche le clito.

Moi : AAAAAAAAAHHHHH.

Après quelques minutes de ce traitement.
Elle entre un doigt dans mon vagin, elle commence à faire des va et viens avec son majeur, je mouille de plus en plus, elle passe a deux puis trois doigts.

Moi : LUCIIIIIIE OOH PUTAIN SALOOOOPPPPEEEEEEEEE.

Elle me donne un coup de langue, je pose mes mains sur sa tête, mon corps se contracte, je ne peux plus respirer.

Moi : AAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHH.

Lorsque je reviens à moi après de longues minutes, Lucie est allongée à côté de moi, elle me fait un énorme sourire.

Lucie : je ne savais pas que tu savais faire ça.
Moi : tu es ma première Lucie.

Lucie (sourire) : sérieux ? Car toi aussi, tu es ma première.

On s’embrasse, on se caresse un peu, lorsque mon estomac se fait entendre.

Moi : je crois que j’ai faim.
Lucie (elle regarde sa montre.) : merde.

Elle saute hors du lit.

Moi : quoi ?
Lucie : 17 h 55.

Moi : quoi ? Tu déconnes ? (elle me montre sa montre.) MERDEEE.

On se dépêche de se rhabiller.
Nous sortons de la chambre.

Lucie : on fait quoi de la chambre ?

Une femme (arrive avec le sourire.) : on s’en occupe mademoiselle.
Nous rougissons, nous partons le plus discrètement possible, depuis que nous sommes sorties, Lucie ne me lâche pas la main et cela ne me gêne pas.
On fait le plus vite possible pour sortir, une fois à l’extérieur.

Moi : c’est un lieu de fou.
Lucie : je n’ai jamais vu ça avant, j’en ai jamais entendu parler.

Agathe (sourire) : j’espère bien que tu n’en as jamais entendu parler (On se lâche les mains directement.) les filles, vous n’avez pas à vous cacher, surtout ici (Nous rougissons.) votre voiture vous attend après le pont (nous n’arrivons pas à lui répondre.) les filles ce qui se passe ici, ne sort pas d’ici, peu de personne peuvent comprendre.


Moi : oui.
Lucie : oui.

Nous repartons, en arrivant dans le sous-bois, je lui reprends la main, nous traversons la foule des gens puis le château.
Nous arrivons à la voiture les deux employées nous ouvres les portes.

Chauffeur : mesdames, avez-vous passée une bonne journée ?
Lucie et moi : oui (on rougie).

Chauffeur : je vous ramène, on dirait que vous êtes fatiguée.

On regarde le paysage défilent, nos doigts sont enlacés.
En un rien de temps, la voiture arrive devant chez moi.
Nous allions nous embrasser et à la dernière seconde, on se fait la bise.

Chauffeur (sourire) : les vitres sont sûres teintées.

Elle tourne la tête vers l’extérieur, nos bouches se retrouvent pour s’embrasser une dernière fois, nos langues se touchent une nouvelle fois.
On se sépare.

Moi : on s’appelle demain ?
Lucie : oui (sourire)

Moi : merci de m’avoir ramené et merci pour...

Chauffeur : de rien madame, excellente soirée à vous.

Je ferme la porte, la berline s’éloigne, je rentre à la maison, mon père n’est pas encore rentré, je rejoins ma mère pour lui raconter la soirée.
Pas en détails... Juste les grandes lignes.

Papa rentre vers 20 h, nous passons une soirée en famille tranquillement.
En fin de soirée, je rejoins mon paradis.

Quelque part à l’autre bout du monde...
Un taxi arrive à l’aéroport international.

Antoine : Valenciennes, j'arrive...

À suivre.

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