Il faut toujours y croire 6/8 :

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Agathe : je m’en doute (sourire) en attendant profiter, pendant que je m’occupe de lèche-cul.

On passe la grille, je sens encore l’odeur, en regardant partout, je ne vois rien, il y a juste Agathe qui me fait son sourire ravageur.
Nous avançons vers le château, une beauté, je ne peux rien dire d’autres.

Un serveur passe à notre hauteur, Lucie prend une coupe directement.

Moi : tu n’abuses pas, ok.
Lucie : oui

On se balade un peu dans le château puis nous voyons que la fête est aussi dans la cour, il y a plein de tonnelles, des petits fours, beaucoup d’alcool, il n'y a rien ici qui me fait penser au monde associatif.

En regardant autour de nous, je constate que nous ne sommes pas les seuls à ne pas avoir l’habitude d’être dans ce type d’événement, lorsque je regarde les chapeaux des femmes, j’ai l’impression d’être à une réception de la Reine d’Angleterre.

Nous voyons Agathe qui monte devant un micro, on se rapproche pour mieux entendre, nous finissons juste devant la scène, Lucie me donne un coup de coude, pour me montrer que de notre place, nous avons vu sur son minou sans aucun poil.

Nous essayons de regarder ailleurs, mais on dirait que nos regards sont attirés.
Agathe, tape sur le micro et elle voit que nous pouvons voir sa chatte, elle nous fait un sourire.

Agathe : mes Chères Amies (sourire) en cette magnifique journée, j’ai le grand honneur de vous recevoir ici sur le domaine du Haras... Comme chaque année depuis plus de 100 ans le Haras à le plaisir d'accueillir des jeunes gens qui pourraient changer l’avenir, et encore une fois, nous sommes heureux en cette nouvelle année de venir en aide… Je demanderais aux membres qui étaient présente l’année dernière de devenir leurs guides ... Leurs montres comment ça fonctionne... Je déclare la 118 saisons ouverte... Amuser vous bien 

Tout le monde applaudi

Lucie : je me trompe si j’ose dire que cela n’est pas juste une simple association étudiante ?
Moi : tu as bien raison, il n'y a rien de simple ici, tu as entendu la 118 saison.

Lucie : 118 ans
Moi : Oui

Lucie : ou somme nous tomber
Moi : je ne sais pas encore, mais nous allons le savoir rapidement, regarde qui arrive vers nous.

Agathe : et voilà (sourire)
Moi : exactement, on marche un peu ? (sourire)

Agathe : oui, le nouveau labyrinthe est fini, je ne l’ai pas encore visité.
Moi : pourquoi pas (sourire) n’est pas Lucie.

Lucie : oui (sourire).

Nous rentrons dans le labyrinthe et nous commençons notre exploration.

Moi : merci encore une fois pour cette invitation Agathe.
Agathe : merci à vous d’être venu.

Nous arrivons à un banc, je m’assois, pour retirer mes talons, je commence à avoir mal au pied.

Moi : pourquoi nous avoir invitées, il est clair que nous n’appartenons pas à ce monde et que tout ce que tu as pu nous dire n’est que tu vent, tu n’as raconté que des conneries.

Agathe : l’ensemble des choses que j’ai pu vous dire et la vérité, pourquoi je dirai des conneries, cela serait complétement stupide et inutile, nous sommes sur le point d’être reconnus d’utilité par le Gouvernement pour l’ensemble de notre œuvre, nous venons de passée la barre niveau national 600.000 personnes d’aider.

Moi : sérieux ?
Agathe (sourire) : oui.

Moi : alors c’est quoi tout ça ?
Agathe : au cours des années, nous avons vu que des jeunes gens qui avaient un truc que d’autres n’ont pas, alors nous avons décidé d’aider ces personnes, car nous pensons qu’ils peuvent représenter l’avenir... Les gens qui décident devront un jour ou un autre arrêter... Les gens présents changeront d'une manière ou d'une autre.

Moi : on dirait que tu parles d’incubateur d'élite.
Agathe (sourire) : tu comprends vite les choses, si on veut que la vie des étudiants change, il faut changer les choses.


Moi : 118 ans d’existences, c’est bien ça ?
Agathe : oui, soit plus directe.

Moi : en 118 ans vous n’avez pas été capable de changer les choses, on pourrait même dire que d’une manière vous êtes responsable de la situation actuelle.

Agathe (sourire) : je suis triste que Lou, n’ait pas pu venir, j’espère quand même que sa grand-mère ira mieux… Mais je suis très contente que vous soyez là toutes les deux, Maëlys, la première fois que je t'ai vu devant le lycée, je me suis dit, elle a un truc qui se dégage cette meuf de très intéressante… Je ne regrette pas que tu sois venue avec ta bande à mon bureau... Et oui, tu as raison, le monde actuel est mauvais, beaucoup de mauvaise décision, on était prise par des incompétents, crois moi que les choses vont changent et ce n'est qu'un début...

Lucie : Maëlys a toujours eu ce truc qui dégage d’elle.
Agathe : je veux bien te croire Lucie, mais toi aussi, tu as quelque chose, sauf je ne sais pas encore quoi ... Enfin pour l’instant… Vous n’intriguez beaucoup pas les filles.

Moi : même chose Agathe, tu m'intrigues avec ce que tu viens de dire… D’ailleurs, j’ai une question... Comment as-tu fait pour que cette magnifique robe arrive chez moi ?

Agathe : tes unes personne très intelligentes, je dirais un QI plus élevé que les autres... J’ai passé un appelé à un ami que nous avons au Gouvernement... C'est comme ça, que j’ai eu vos adresses, Maëlys, personne d’autre ne l’aura, donc ta famille et toi, vous êtes en sécurité, il y a aucun danger... Ne t'en fais pas...

Moi : tu sais ce que fait mon père ?

Agathe : oui et tu n’as rien à craindre, mon père est Général, je comprends la protection.

Moi : merci Agathe.

Agathe : pas de merci, c’est normal, as-tu d’autres questions ?

Moi : pas pour le moment.

Agathe (elle sort son phone.) voilà mon numéro, si a un moment, tu aurais des questions, ou que tu aurais envie de boire un verre (sourire) il faut hélas que je vous laisse, je dois voir des gens, passé un excellent moment, il a un chapiteau, un peu plus loin, si vous voulais aller y faire un tour, il n'y a pas de soucis... À plus tard les filles (sourire)

Elle s’éloigne.

Lucie : c’est moi, ou bien, elle vient de te proposer un date.
Moi : non, tu ne rêves pas.

Pendant qu’elle marche, mes yeux se posent sur son beau cul, rond

Lucie : tu as vu son cul ?
Moi : oui...

Lucie : bon aller, je vais me balader un peu
Moi : je reste à côté du bar, j’ai trop mal à mes pieds avec ses merdes.

Lucie : je reviens dans pas longtemps.
Moi : sois prudente.

Discrètement, je sors met airpods et je mets de la musique.
Je regarde toutes les personnes qui m’entourent, j’adore analyser les gens qui m’entourent.

Lucie revient vers moi, on dirait qu’elle est complétement perdue, j’appuie sur pause.
Moi : ça ne va pas ? Tu as bu quelque chose ?

Lucie : non Maëlys, ce n’est pas ça...
Moi : alors qu’est-ce que tu as ?

Lucie (elle me prend le bras.) : viens, tu ne vas pas me croire.

Je remarque que sa main est humide.
Nous prenons la direction d’un petit sous-bois, en arrivant au bout du chemin, nous tombons sur ce que je pense être un garde du corps.

En arrivant à son niveau, il nous laisse passer, nous avons un mec seul derrière nous, il n’est pas autorisé à passée

Nous marchons encore 20 mètres

Nous arrivons à un chapiteau...

À suivre

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