Grosse salope, il est temps de payer 5/8.

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Je sors de la pièce de mon ordinateur, je suis habillée avec un vieux pull et un jogging à trou, lorsque mes yeux se pose sur lui, je revois les photos, vidéos, je pleure sans bouger.

Il court vers moi, il me prend dans ses bras, je pleure encore plus fort.

Il tombe avec moi sur le sol, ses bras m’en tours.

Nous restons un long moment sans bouger, il ne dit rien, il est là pour moi.

Antoine : vient mon cœur, vient d’asseoir, tu trembles, qu’est ce qui t’arrive ? Ce ne sont pas les règles qui te mettent dans un état comme ça, je ne tes jamais vu comme ça (il prend mon visage dans les mains.) tu peux tout me dire mon cœur.

Je suis incapable de lui dire quoi que ce soit, je lui montre du doigt le papier.

Il se lève, il me regarde inquiète, je peux voir l’amour qu’il me porte.

Il regarde.

Antoine : c’est quoi ? (Il regarde.) C’est une blague ? (Je lui fais non de la tête.) Où ? Quand ? Qui ?

Il tombe sur mon canapé, lorsqu’il me voit, il court vers moi, pour me prendre dans ses bras.

Antoine : on ne va pas se laisser faire mon cœur, je t’aime (J’essaie de me lever, il m’aide, je lui prends la main.) tu veux quelque chose ? (Je le tire vers la salle de mon ordinateur, jusqu’ici, personne n’a mis les pieds dans mon bunker, je vais derrière ma consol, Antoine ouvre dans les yeux, il n’a jamais vu autant de machines dans une même pièce.)

Moi : viens s'il te plaît.

Il s’approche et j’appuie sur lecture, il voit la vidéo où je le suce.

Antoine : arrête... Qui a fait ça ?

Moi : je n’en sais rien, ne me gueule pas dessus.

Antoine : je suis désolée mon cœur... C’est pour ça que tu es absente ?

Moi : oui et ce n’est pas tout.

Antoine : quoi de plus.

Moi : il m'a envoyé d’autres trucs.

Antoine : je veux tout voir (Je lui montre les mails et vidéo ou le mec se branle, puis les messages.) je vais le tuer ce fils de pute, je vais niquer sa mère.

Il va vers la porte pour sortir.

Moi : verrou.

La porte se ferme, il me regarde, je suis à terre.

Il se calme en deux secondes, il vient me prendre dans ses bras.

Antoine : je suis désolée mon cœur, pardonne-moi.

Moi : tout est de ma faute.

Antoine (en me prenant le visage) : mon cœur, nous étions deux dans les chiottes, et ce n’est pas de notre faute si un psychopathe, nous menace, en te menaçant, il me menace ce sale enculé... Bon, on ne va pas en rester là.

Moi : tu veux faire quoi ?

Antoine : je ne sais pas... Pour le moment, mais ce que je sais, c’est que la femme de ma vie sans la vieille serpillière mouillée (j’ai le sourire.) AAAAAAAAH voilà le sourire qui m’a fait tomber follement amoureux de toi, aller vient, tu va prendre une douche puis je te ferais un truc à manger, puis on va trouver une solution.

On va dans la salle de bain, il m’aide à me déshabiller, je ne suis pas capable de me laver, alors il m’aide, une fois fini, il me fait un truc à manger, je reprends vite des couleurs.

Moi : merci pour tout Toinou.

Antoine : je suis ton Toinou, ma princesse, je suis là pour toi, je t’aime.

Je mange tranquillement.

Moi : je ne comprends rien, pourquoi ?

Antoine : je pense que nous avons à faire à un malade, on va trouver une solution.

Pendant une heure, nous cherchons une solution.

Quand d’un coup.

Antoine : je pense qu’il n'y a qu’une chose à faire.

Il me regarde dans les yeux, je comprends ce qu’il veut dire.

Moi : tu crois que nous devons en parler ? Il faudra leurs dires que nous sommes ensemble.

Antoine : oui, mais il faut de l’aide.

Moi : oui, tu as raison.

Antoine : je viens de penser à un truc.

Moi : oui ?

Antoine : l’autre jour à la télé, il avait un film de flic, et j’ai entendu parler d’adresse IP, suite à l’envoi d’un mail contenant un virus, tu connais ?

Moi : oui, oh putain, ouiii (je me laisse, en courant, je fonce vers mon ordinateur, je m’installe derrière ma console, Antoine me regarde depuis la porte.) entre mon cœur (il entre) verrouillage (la porte se ferme, il regarde derrière lui.) Toinou, personne n’est jamais entrée ici, même pas mes parents, tu es le premier a venir, je te demande d’en parler à personne.

Antoine : parler de ? (Sourire).

Moi : de tout ça, tout ce que tu vois.

Antoine (sourire) : je ne vois rien, je suis assis dans le canapé pendant que la femme de ma vie est au toilette pour faire caca.

Moi : je t’aime.

Antoine : de toute manière, je ne comprends rien. (il rigole.).

Je fais craquer mes doigts, je tape sur mon clavier, je commence à chercher l’adresse IP du mail, il passe par le web profond, Antoine lève la tête, lorsqu’il voit et entend des machines s’allumer, je l’embrasse pour le rassurer.

15 minutes après.

Moi : JE TE TIENS FILS DE PUTEEE.

Antoine : je pense que tu as trouvé.

Moi : oui, mais hélas, je ne sais pas être plus précise, le mail, vient du lycée.

Antoine : sérieux, alors le fils de ses morts est dans notre lycée.

Moi : oui.

Antoine : nous allons le trouver.

À suivre.

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