Une lueur
Au bout du couloir,
Une douce lumière m’éblouis.
Il est très tard,
Mais pourtant, ici, il ne fait pas nuit.
Ce rayon m’obsède
Il disparaît, puis apparaît…
Disparaît, apparaît..
Sans jamais rien qui ne le précède.
Dans mes iris, il reflète de la tendresse.
Douce caresse du soleil couchant, qui est accompagné par le vent…
Ce mélange est surprenant !
Pendant ce court instant,
Je ne ressens plus aucune pression
Comme si mon cœur avait accepté le pardon.
Ce sentiment si puissant qu’est l’amour,
Me traverse de toutes parts…
La beauté si cachée de ce monde,
Ne m’avait pas traversé une seule seconde…
Ce miracle m’a soignée,
Pansée, puis remise sur pied…
Alors, je vois.
Je vois les feuilles des arbres, qui bruissent doucement,
J’entends..
J’entends les oiseaux, piaillant,
Je sens…
Je sens l’odeur des gâteaux au beurre,
J’endure…
J’endure la vie, respire, sourie,
Car plus rien ne peux m’arrêter, désormais.
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