Chapitre 4

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Soudain, je me réveillais au son brutale des klaxons, mon réveil fut brutal et je frappais ma tête contre la vitre et j'entendis un petit rire à ma gauche et quand je tournais mon regard vers lui, je vis le chauffeur de taxi me fixait du coin de l'œil: quand il remarqua que je le fixais, il s'excusa et se concentra sur la route.

La route était bouchée et toutes les voitures autour de la nôtre klaxonnait et je pouvais voir les conducteurs s'énervaient sur leurs volants: Certains hurlaient des insultes à pratiquement tout le monde et d'autres insulter, mais d'une autre façon, plus gestuelle que verbale.

Je regardais autour de moi, mais à part des personnages grossiers, je ne voyais pas grand chose: il pleuvait et pas qu'un peu et cela ne semblait pas s'améliorer. Après quelques minutes à plisser les yeux pour apercevoir chaque détails des conducteurs et conductrices qui nous entouraient, je finis par m'affaissais contre le siège et je sortis mon téléphone de ma poche et tapotais: ''Sommes nous encore loin d'Arcadia Bay ?

-Yes, we are almost there, but with the storm that have destroy everything, the road is blocked. It's been almost 1 hour that we are here !

-Storm ? Ma voix a légèrement tremblé (si je m'en rend compte, cela veut dire que le conducteur aussi... Pathétique de ma part)

-Yeah, it's happened 6 months ago, a giant storm comes from the sea and shave everything in it's path. Only the lighthouse survived, many people die that day. Scientists are dropped in the face of this event, they just... don't understand why a storm like that just... spawn in the ocean... but, several events prevented the arrival of the storm, they just... ignore them.

-Several events ? Mon accent était tellement horrible, je n'arrivais pas à en vouloir à l'homme à mes côtés. Je pus le voir grimaçait à la fin de ma phrase et je tapais rapidement les deux mots et lui tendis mon téléphone, il sourit et je pus le voir se retenir de rire.

-Yeah, i known only one.

-Yes ?

-Just before the storm, whales dies on the beach. Many whales... It was an absolutly atroce show. Je tapotais de nouveau.

-C'est horrible, tu en sais plus ?

-No, i wasn't there when the storm came. But now, I'm here...

-Forever ?

-Maybe no, but I'm just coming back home.

-You home ? The c-city ? Or really house ?

-A really house, and we said your home when we talk about something that belongs to someone.

-Your, ok i understand. J'appuyais ma tête contre la vite pour essayer de percevoir les lumières de la ville, mais un camion bloquait ma vue, je soupirais, rangeais mon téléphone: il fallait que j'essaye de me débrouillait tout seul. Je n'aurais peut-être pas toujours mon téléphone dans ma poche. Tell me…

-Yes, french boy ?

-W-what is... YOUR name ?

-Good ! You should work on your accent.

-I know. Name ?

-My name is Karim, and you, little white boy ?

-Brian C. Carlos. It is visible that I'm French ?

-Yes it's pretty obvious but I don't mind it. I like meeting new people from another countries. -Me too, but... my... english speaking is terrible.

-Don't be too hard on you. '' J'acquiesçais, ce fut comme cela que la conversation se termina et je retournais à mon activité préférée: écouter de la musique à fond et regarder la pluie tombée et couler sur la vitre. Si je le disais à haute voix, on me prendrais pour un gamin, mais, quand la pluie se fracasse contre une vitre dégoulinante, et que chaques gouttes vont à une vitesse différentes, j'aime imaginer des courses de gouttes ! (J'ai essayé de faire sonné cela plus excitant, est-ce que ça à marcher ?) Je mis mes écouteurs filaires et laissa ma musique planait à fond: Try Everything du film Zootopia.

Cette musique était dans mon top 2 des préférés, elle était si énergique

En observant le ciel, je pus remarqué que les nuages étaient noirs et très bas dans le ciel. La pluie et l'orage avaient toujours calmé mes nerfs, et bien sûr, ses deux éléments réussissaient toujours à m'endormir. Malgré le fait que je venais à peine de me réveillé, ce doux bruit commençais à me bercer calmement.

J'arrêtais de me focalisé sur les gouttes d'eau et appuyais un peu plus ma tête contre la vitre pour essayer d'apercevoir la ville: de ce que m'avait décris Karim, la ville devait être détruire et en cours de réparation. Mais malheureusement, un camion me bloquait la vue et je perdis tout espoir de pouvoir apercevoir Arcadia Bay.

Je m'enfonçais dans mon siège en dansant de la tête sur ma musique, si je me rappelais bien de ce que j'avais lu, j'avais jusqu'à 18 heures pour me présentez devant le principale: M. Wells et récupérer ma chambre. Soudain, je me mis un coup de pression: et s'il était déjà 18 heures…J'ouvris mon téléphone et soupirais de soulagement en voyant qu'il n'était que 15 h 14... Mais et si les embouteillages me mettaient en retard et que le proviseur me refusait la chambre ? (Mon dieu, qu'est-ce que j'aurais pu faire dans ce cas là !!)

Mon cœur s'emballa et je commençais à prié pour que le bouchon soit bientôt terminé. (Il fallait absolument que j'arrive à l'heure). Si on me refusait la chambre, je serais à la rue ! Je ne connaissais personne ici et je n'aurais pas assez d'argent pour pouvoir rentré en France !

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