L’agent J. était en cavale depuis quelques jours. La dernière mission était un fiasco, sa double vie était intenable, son mari ne la reconnaissait plus et cacher son secret à ses fils lui devenait insupportable.

Elle avait lancé un appel de détresse à l’agent F., sans grand espoir, elle avait eu une liaison passionnée et torride avec lui, il y a 10 ans, et avait disparu sans laisser de traces, après tout, c’est son métier.

Mais F. était fiable et fidèle à ses idéaux, ne jamais laisser tomber une alliée. Message texte, émetteur inconnu, rendez vous au bunker de La Croix, coordonnées GPS jointes, dans 2h. Signé F.

J. en avait les larmes aux yeux, il avait répondu à l’appel, les émotions et les bons moments de leur liaison lui remontaient dans le ventre. Sans réfléchir, elle pris quelques affaires, gardait sur elle sa combinaison en cuir si pratique et protectrice. Son casque, sa Ducati Diavel, vibrations et grande vitesse la propulsaient vers son ancien amant.
Elle était si soulagée , qu’elle avait mis moins de deux heures pour faire les 300km de nationale, trop de caméras sur l’autoroute. Le bunker était là camouflé dans la côte, ensablé, J. entendait la mer en contre bas.

Elle fait le tour, une seule porte à demie ouverte, elle entre.

Quelques pas dans l’obscurité, elle sent une masse derrière elle qui l’enserre. « C’est toi F.? » Un bandeau se lie autour de ses yeux, pour seule réponse elle entend « chhhhhhhhh ». Son cœur palpite , c’est bien lui, il adorait ces jeux de colin Maillard fripons et délurés, dans le temps.

« Que fais tu F. ,» dit elle d’une voix ferme mais intriguée. Enfin il parle «  je vais bien m’occuper de toi, tu ressortiras libre, soulagée et libérée « .

Entre ses mains, elle a toute confiance. Elle pensait à un rendez vous où il prendrait des informations et essaierait de trier les dégâts des dernières semaines, ensemble. Elle comprend maintenant que ça sera aussi leurs retrouvailles sensuelles. Pourquoi pas après tout, ça lui viderait la tête , elle en avait connu d’autres et avec F. c’était toujours la promesse de grands moments coquins et intenses.

Toujours derrière elle, il la guide sur quelques marches, elle sent une grande pièce assez étanche , leurs pas résonnent, et lumineuse, il y a un spot ou un néon qui chauffe leurs têtes .
F. tourne autour d’elle, prend et pose ses affaires qu’elle agrippe dans ses mains, et il défait d’une quarantaine de centimètres le zip de la combinaison en cuir, jusqu’au nombril. L’air passe sous le tissus épais entre-ouvert et baillant largement sur sa poitrine si ronde et si ferme. Les souvenirs remontent, F. adorait mes seins, d’ailleurs, sans se faire attendre, il passe une main pour flatter et dégager un mamelon, puis l’autre. J. respire plus fort ce qui a la conséquence immédiate de dégager totalement sa poitrine désormais pointue de désirs.

F. s’empare goulûment de ces tétons fiers et les gourmande, tout en descendant le zip jusqu’entre les cuisses de J. N’y tenant plus elle tourne légèrement les épaules, et sa combinaison tombe à ses chevilles, elle est à demie nue de son tanga de dentelles et de ses bottes de moto.

F. continue à masser les rondeurs puis s’agenouille pour débotter J. et lui délier les pieds de la combinaison.

J. est libre de ses mouvements et profite de la situation pour prendre F. par ses oreilles et lui plaquer le visage entre ses cuisses.