Maria

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Maria souriait, certes ce n’était pas le bon moment pour ça. Mais elle n’aimait pas donner du souci aux gens qu’elle aimait.

Sa mort était proche, quelques jours tout au plus. Son mari à côté d’elle avait les yeux rougit d’avoir trop pleuré la nuit passé.

Ses enfants assis en face d’elle, les yeux baissaient, triste.

Elle continuait de leur sourire, leur montrant que ce n’était pas la fin du monde, que même sans elle, le monde continuera de tourné.

Son cancer avait eu raison d’elle, cela fessait 3 ans qu’elle le combattait, pour elle, pour son époux, pour ses enfants, encore trop jeune d’après elle, pour subir la perte de leur mère.

Mais aujourd’hui, le docteur avait apportait la mauvaise nouvelle, celle qu’ils ne voulaient pas entendre.

Son cœur et ses poumons étaient atteint, bien trop atteint, il ne lui restait que quelque jour, voir semaine, pas plus.

Elle se remémora sa vie, elle était comblé, satisfaite de ce qu’elle avait fait. Elle n’aurait rien fait autrement.

Ses parents étaient aisé, l’avait envoyé dans les meilleurs écoles possibles. Elle aurait pu avoir les meilleures carrières au monde, mais elle avait voulu autre chose.

Elle avait rencontré son époux en deuxième année de médecine, elle était très vite tombée amoureuse. Seulement 8 mois après, elle était tombée enceinte. Ils avaient décidé de s’épouser.

Elle se souvenait du jour où elle l’avait annoncé à ses parents. Elle avait était catégorique, elle aurait cette enfant, elle épouserait le père et arrêterait la médecine pour prendre soin de sa famille.

Être mère au foyer était la plus belle chose au monde pour elle. Cela n’avait pas plût à ses parents, ils avaient coupé les points avec leur fille après cette annonce stupide d’après eux, qu’un jour elle s’en mordrait les doigts.

Elle ne l’avait jamais regretté, aujourd’hui encore, ses 3 enfants étaient la plus belle joie de sa vie.

Les seuls regrets qu’elle amenait avec elle dans la tombe étaient de laisser ses enfants, mais il avait encore leur père, il était un très bon père, elle était sûr qu’il s’en sortirait sans soucis.

Elle voulait simple profité des derniers jours avec sa famille, que ceux-ci ne garde que de bon souvenir.

Elle l’avait décidé, elle partirait avec le sourire aux lèvres.

C’était ce qu’elle pensa lorsqu’elle ne put contenir le flot de larmes, elle s’écroula sur l’épaule de son époux et vida son corps de larme.

Au final, elle ne voulait pas mourir, ne pas laisser ses enfants sans mère, ne pas laisser un mari veuf.

La mort l’arrachera de sa famille et même elle ne pouvait rien y faire.

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