*** *****Attention scène de sexe (très soft) d'un chapitre et demi environ*********

Au moment d'aller dormir, je lui dis de venir à la chambre. Solène a des courbatures. Son dos fragile ne supporte pas le canapé. Nous nous allongeons côte à côte. Je lui dis de se mettre sur le ventre. Je vais lui masser le dos et la nuque pour lui dénouer, comme je le faisais les deux premiers mois. Je soulage les tensions de son dos. Je lui caresse les épaules puis les cheveux. Mes mains prennent contact avec sa peau et je chauffe délicatement son dos.

Massant d'abord la nuque puis les omoplates, je dénoue les nœuds un à un en appuyant doucement avec mes pouces ou mes paumes, faisant rouler ses muscles pour les décrisper. Je décris des petits cercles, délicatement, en appuyant suffisamment fort pour détendre, et délicat pour être agréable. Solène soupire d'aise.

Je continue mon massage sur son dos en descendant doucement, décrivant mes petits ronds légèrement appuyés, de chaque côté de sa colonne vertébrale. Je vois sa peau frissonner et sa respiration se faire plus calme et profonde. Je suis doux et délicat, je masse ma jolie blonde avec tendresse.

Mes mains descendent et frôlent ses fesses puis ses jambes. Je lui masse les pieds et revient à son dos sans rompre le contact entre nos deux peaux. Je lui embrasse doucement le cou et lui caresse le bras. Solène me laisse faire. Je remonte son haut pour caresser le bas du dos, avec lenteur, je pose mes lèvres sur le début de ses fesses. Je remonte doucement, chatouillant ses flancs avec de doux baisers. Je suis allongé sur elle et couvre le haut de son corps accessible de caresses et de baisers. Je suis tendre.

Soudainement, je sens que j'ai envie d'elle. De nouveau, comme au début. J'attrape ses poignets et l'emprisonne contre moi, l'écrasant de mon corps. Je respire son odeur et m'en grise. Elle est calme, pas effrayée. Elle profite de cette douceur. Je lui mordille l'oreille et lui susurre :

— Laisse-moi rêver. Laisse-moi être ton compagnon. Ce soir. Rien que ce soir. Oublions tout ce soir. Rêvons ensemble.

Elle me fait signe oui de la tête. Je lui enlève son haut. J'embrasse et masse tout son dos. Mes lèvres se posent sur chaque centimètre de peau, sur chaque grain de beauté. Mes doigts effleurent sa peau si douce. Je jurerais être en train de croquer une pêche sucrée, veloutée et parfumée. Je pars de la nuque, descends vers les fesses en suivant la colonne vertébrale. Je remonte par les flancs et termine par les épaules. Je couvre son cou et ses joues de petits baisers. Elle ferme les yeux et respire doucement. Elle est bien. Sa peau frissonne et rosit sous mes baisers et mes caresses. Nos respirations s'accélèrent doucement. Avant chaque baiser ou caresse, je vérifie l'accord de Solène.

Je m'en assure. Je ne veux pas la forcer. Je redescends pour enlever son short. Ma main flatte le bas de son dos aux courbes délicieuses. Mes lèvres dessinent le contour du carré de tissu dentelé et descendent vers ses jambes. Solène reste immobile. Je lui masse de nouveau les jambes, picorant ses cuisses de bisous. Je remonte de nouveau vers sa chute de reins en déposant des petits baisers sur l'intérieur de la peau veloutée de ses cuisses.

Je reviens sur le haut de son corps. Je me mets à côté d'elle et la bascule. J'ai accès à son visage, l'avant de son corps. Elle est si belle. Je me place au-dessus d'elle. Je l'embrasse avec tendresse. Solène me rend mon baiser. Ses mains se posent sur mon torse. Avec timidité, elle effleure mes bras et revient vers ma poitrine. Solène m'enlève ma chemise de pyjama. Je dépose de doux baisers dans son cou et sur son visage. Je picore sa poitrine. J'ai envie d'elle. Elle a envie de moi. Je le sais.

Je vois ses deux monts merveilleux réagir sous mes lèvres et poindre en leurs sommets. J'entends ma tendre amie soupirer et gémir doucement. Son corps bouge et se colle à moi, me frôlant pour rechercher le contact. D'une main, elle me caresse les cheveux. De l'autre, le dos. Je me laisse câliner quelques instants, profitant de la chaleur de ses mains dont le contact m'électrise.

Mon visage descend vers son ventre. Mes lèvres s'arrêtent à chaque tâche de rousseur. Je retourne à ses jambes, les caressant et embrassant de nouveau. Je lui écarte un peu les jambes. Je me place en bout du lit. J'embrasse ses chevilles une à une. Je remonte jusqu'à ses genoux en alternant les baisers de chaque côté. J'atteins enfin ses cuisses. Elle se crispe en sentant mes lèvres se rapprocher de plus en plus du dernier obstacle qui entrave mon chemin vers le nirvana.

J'attrape le bas de son dos avec mes mains et m'allonge sur ses jambes pour l'immobiliser. Je continue mes caresses du bout des doigts, mes lèvres suivant mes mains. Je pars des genoux et mes lèvres se tracent un chemin jusqu'au dernier rempart de la pudeur de ma jolie blonde.

Mes lèvres et mes mains remontent jusqu'au ventre et refont le contour de la prison de tissu. Solène soupire. Je la vois se cambrer un peu. Elle est si belle. Sa peau est si douce. Si agréable sous la main. Si savoureuse sous les lèvres. Un fruit défendu si appétissant. Solène a du mal à rester immobile et pousse des petits soupirs et des gémissements quand je suis entre ses cuisses et à proximité de la culotte de dentelle qui dévoile en partie la forêt de boucles .

Mon corps remonte doucement vers sa tête. Elle m'entoure de ses jambes. Je l'écrase sous mon poids et l'étouffe sous mes baisers. Ses mains descendent le long de mon dos. Je me frotte contre elle. Je veux qu'elle sente combien j'ai envie d'elle. Une de ses mains agrippe mon épaule et l'autre se pose sur l'arrière de mon dos, sous mon pantalon, me tirant le corps vers ses hanches. Je retire mon pantalon et me replace sur elle. Nos corps bougent et se caressent.

J'embrasse et titille ses monts merveilleux avec la langue. Solène pousse un petit cri de plaisir qui me fait durcir davantage encore. Ses jambes s'enlacent autour de ma taille. Solène gémit. Je soupire. J'explose de joie et de désir dans ma prison de coton, tout contre elle. Je n'ai pas réussi à tenir tellement j'ai envie d'elle.

Je l'embrasse avec passion tandis que nous nous frottons l'un contre l'autre. Très vite, mon envie revient. Je me tiens en équilibre sur un bras. Ma main libre descend vers son ventre si doux. Je caresse sa dentelle et passe mes doigts sur le premier centimètre sous le tissu.

Mes doigts descendent encore. Solène gémit en les sentant effleurer son intimité. Je sens l'humidité poindre. Du bout des doigts, je caresse sa toison tout en l'embrassant. Mes doigts glissent doucement entre ses lèvres basses et titillent l'entrée de la grotte aux délices et le bouton aux merveilles, dans un va-et-vient doux et lent. Solène se cambre de plus en plus. Je lui retire sa prison de dentelle. Solène est trempée de sueur et de désir. Je descends mon visage jusqu'à son intimité. Je bloque une de ses jambes avec mon bras pour contrôler son corps qui se tortille malgré elle.

Je dépose des petits bisous sur ses lèvres basses. Je passe ma langue dessus puis sur l'entrée de la caverne délicieuse. Avec l'extrémité de ma langue, je lèche son sensible bouton de rose en caressant l'entrée de la grotte avec mes doigts. J'introduis mon majeur en elle doucement et effectue lentement des entrées-sorties, les autres doigts caressant ses lèvres durant de longues minutes.

Solène agrippe mes cheveux, me demande d'arrêter en poussant de petits cris de plaisir. Elle essaye de se raccrocher à quelque chose et ses hanches bougent pour approfondir la présence de mon doigt en elle. Mon index se glisse à côté de mon autre doigt et la pénètre plus intensément. Solène pousse un cri de plaisir et jouit comme elle l'a fait au bord de la piscine il y a si longtemps.

Je remonte à son visage et l'embrasse à pleine bouche tandis qu'elle reprend son souffle. C'est si bon de la voir dans cet état d'extase. Je retire ma prison de coton. Je me mets au-dessus d'elle. Raide d'envie de nouveau. Je n'ai jamais été aussi dur. On s'effleure. On se frotte. Je recommence à flatter son intimité avec ma main. Je n'en peux plus.

— Solène... Est-ce que je peux ? Solène... Dis-moi oui. J'ai besoin d'entendre que tu le veux aussi. Solène... J'ai tellement envie de toi.

Je l'embrasse doucement dans le cou, attendant sa réponse. J'ai l'impression que je vais exploser.

— Oui, me dit-elle dans un soupir.

La main qui lui caressait l'entrejambe passe dans le bas de son dos. Je rentre en elle avec lenteur. Je ne veux pas lui faire mal. C'est chaud et si doux en elle. Dès que je sens une résistance, je me retire et revient. Lentement, plusieurs fois. J'ai mal, mais peu importe. C'est son plaisir le plus important. Solène se crispe et se tend alors que j'étais en train de revenir. Je vais trop loin et elle pousse un petit cri de douleur. Je me retire aussitôt.

— Pardon. Pardon. Je suis désolé. Je ne voulais pas te faire mal.

Je couvre son visage de bisous pour me faire pardonner. Je m'en veux de ne pas avoir su réagir et de lui avoir fait mal en allant trop profondément. Solène me sourit et m'embrasse. Elle me caresse les cheveux.

— Ça va bien. Ne t'inquiète pas. La douleur est supportable. Reviens.

Sa voix est rauque. Elle plaque son corps contre le mien. Ses jambes se resserrent autour de ma taille. Solène se cambre. Elle m'invite à venir en elle de nouveau en appuyant sur le bas de mon dos avec les mains. Je rentre doucement. C'est si chaud. Si doux. Si agréable. Meilleur que dans mes rêves. Je ferme les yeux pour savourer cet instant et pour garder le contrôle.

Je rentre et sort avec lenteur. Nous nous embrassons passionnément. Ses hanches prennent mon rythme. Solène gémit de plus en plus. Je sens son ventre se contracter, son corps gigoter sous moi. Ses plaintes me rendent tellement heureux. Solène prend du plaisir. Je vois son visage s'empourprer et ses adorables monts pointer et remuer au rythme de nos hanches.

Je la dévore de baisers, sur le sommet des deux collines, dans l'angle entre sa tête et ses épaules. Je l'embrasse langoureusement tandis que je bouge en elle. Solène embrasse mon visage et mes bras. Elle me tire un peu les cheveux par instants. Elle est à moi et je suis à elle. Après tout ce temps, nous faisons enfin l'amour avec tendresse. Nos corps savourent celui de l'autre. Nos langues restent liées.

Je ne tiens plus. J'accélère. Solène suit mon rythme. Graduellement, je viens de plus en plus fort, de plus en plus loin, de plus en plus vite en elle. Solène soupire de plus en plus fort. Nos respirations se saccadent. De ses mains, elle m'incite à aller encore plus rapidement. Nous nous emballons et perdons le contrôle de nos corps, fiévreux de désir.

Je lui soulève le bassin avec ma main. Elle s'agrippe à mon cou et mes épaules pour ne pas se cogner contre la tête de lit. J'attrape un oreiller. Je lui glisse sous le bas du dos pour la surélever et libérer ma main. Solène écarte les cuisses pour me permettre de me glisser le plus près possible d'elle.

Je lui tiens les poignets et lui donne de violents coups de reins. On est haletants tous les deux. Solène ne cherche pas à se soustraire et s'agrippe à moi de ses pieds. Je relâche ses poignets et elle s'accroche aux barreaux de son lit pour avoir un appui et rendre ma pénétration encore plus profonde. Solène m'impose son rythme. Elle est en train de perdre le contrôle de ses hanches. Je ralentis pour ne pas exploser de plaisir. Encore un peu. Je dois tenir encore un peu.

Elle accélère et pousse de petits cris étouffés. Soudain, tout son corps se tend et elle crie plus fort, secouée de tremblements internes au niveau de l'entrejambe. Son corps se détend dans les secondes suivantes. Je perds le contrôle à mon tour. La voir durant ses secondes de bonheur décuple mon plaisir. J'accélère aussi. En moins d'une minute, j'explose à mon tour et un peu de moi se déverse en elle dans un râle. Je m'effondre sur elle l'instant d'après. Elle m'entoure de ses bras. On est à bout de souffle.