— Dans ma conscience laboratoire fourmillent des idées dérisoires fusant pacotille

L’anémone crépusculaire est un sentiment : elle renvoie à la difficulté, pour un individu flottant, à se heurter aux autres solides tout en douceur. Mais volonté insondable d’aller plus loin dans la division cellulaire de ses connaissances. Autant de copies identiques qui diffèrent de par le choc produit par et sur un autre corps, générant à l’infini un regain monarchique de savoirs. Vains. Fort tout de même…

Il y a des notions qui se baladent, attrape-en. Vendredi ! Début de toutes choses. Vendredi, on rebondit et on atterrit. De quoi est fait le point de départ d’un jour multicellulaire ? Il se termine sans nulle doute à la prochaine. Va savoir. Jusqu’aux prochains mots. A moins que pas de souffle après la première virgule.

Le jouskayah lui murmure :

« Le vide trans-planétaire peut être dit shoegaze

Y vaque des anémones

Même qu’elles répercutent sur les surfaces

une rumeur du néant qui passe

De tous nos blobs, jamais eu ouï-dire d’une métamorphose

Après que tu patauges dans la daube

entre deux méandres du doubs

Un peu moins mob et tout aussi plop

point de salut pour les zou !

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Car nous papillons de nuit