L’assassinat de César.

En sonar limbique de couche inconsciente. Le Makhine touche à mon ombre. J’en ai rien à. Faire des choses dans mon dos. Jusqu’à ce que la réponse arrive. En gare. De train télescope.

Je n’aurais jamais quoi, au final, je n’aurais jamais, simplement, car seulement le néant me tend l’élan que je prends d’empressement. Rien au tatout, tout au néant. Et qu’est-ce que ce passage, s’il n’est un message envoyé dans un carat aussi lourd qu’ingrat, territoire des requins, ces doux gamins ; veulent des câlins.

On en a brûlées.

Le temps arrêté, au gré des nounours chamaniques ; des chienchiens loyaux ; des fourmimis travailleuses. À chaque fois dépasser par mutualisation. On en vient à rassembler nos forces, les multiplier entre elles. Qui vivent. Et meurent.

L’après scission. Chirurgicale.

J’aurais aimé quelque chose, au commencement, je n’aurais jamais, simplement car puissamment fut la déception, et l’attente creusée n’aurait jamais su se sustenter.

La suite. Est tellurique. De pratique. En discipline appliquée. Sur le Flow. Dans l’humanité. Viens sauter faire vibrer le sol, jusqu’au soliloque absolu, réunion de nos idéchues.

Je ne sais ce que proésie.

Je ne sais ce qui réussit.

Mais un jour il y.