Yumi et Saavati en cage.

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Les meilleurs passages ne sont pas de moi mais de @J. Atarashi@.

En plus c’est elle la coupable de la création de ce chapitre immonde.

De là où elles étaient, elles entendaient distinctement les commandements :
"Deuxième allure !", dans la voix de celui qui aboyait les ordres, il y avait une allégresse mauvaise et bien vite le taiko* du sous-come* remplaça le fisquet* du comite* qui donnait le rythme de la vogue*.
« Troisième allure ! Appuyer la nage ! »
Haletantes et gémissantes, les galériennes augmentèrent leur vitesse de frappe jusqu’à un degré qui serait bientôt éreintant.
Elles entendaient les claquements des fouets qui criaient puissamment, les quolibets des argousins qui agissaient à gauche et à droite, poussant les esclaves à prolonger l’effort.
« Ces pauvres femmes sont condamnées à passer le reste de leur vie enchaînées aux rangées inférieures des avirons. À peiner durement sous le fouet, à manier les avirons pour obtenir une pleine louche de rata. Ces pauvres femmes ne reverront plus jamais le soleil. » Pensa Saavati.

  • Merci Yumi sans toi, je serai encore enchainée à une rame. Mais comment tu as fait ? comment pouvais tu savoir pour la tempête ?
  • Je ne l’explique pas, c’est un don, je sais toujours le temps qu’il va faire plusieurs jours à l’avance. Je peux même te dire qu’avant ce soir, il va pleuvoir.
  • Mais tu n’étais pas obligée de m’aider.
  • Qu’est-ce que je t’ai dit sur le Taureau Noir ? Qu’on s’en sortirait toutes les deux. On n’est déjà plus aux avirons, d’accord on est descendu d’un pont. Mais comme cage j’ai connu pire, je peux me tenir debout, on peut s’allonger, on a même de la vadrouille*, c’est bien mieux que le lisier sur lequel je dormais.
  • Tu oublies que notre cage est sous les caillebotis des panneaux de cale, on peut voir le ciel et avoir de l’air frais quand ils ne mettent pas le prélart*.
  • Ce qui fait que se soir on aura droit à une bonne douche.
  • Tu crois que je resterai toujours nue ?
  • Evidement, tu es devenue une iŭgum comme moi. Cela fait de toi une esclave sans identité, sans acte de vente, hormis ceux qui sont gravés sur ta peau. Nous vallons toutes deux la même somme. Cette année le prix des iŭga est de 30 pétales de bronze et ça, c’est le prix haut. Je ne sais pas si tu te rends compte… mais nos chaines, nos colliers coûtent plus cher que nous. Alors tu comprendras que les vêtements c’est une dépense inutile voir interdite par les lois de soumission. Faut dire qu’en générale, ça coûte plus cher de bien nous traiter pendant une décennies plutôt que de nous conduire jusqu'à l'épuisement et d'acheter de nouvelles iŭga. C’est vrai que dans ton royaume vous n’avez pas d’esclaves.
  • Oui, répondit-elle distraitement. Mon Dieu qu’il fait chaud, j’ai la tête qui me gratte. Tu crois qu’ils me laisseront mes cheveux ?
  • Rigolote, dans quelques jours, tu auras de nouveaux anneaux, des grands comme moi et… plus de cheveux, mais en attendant montre ta tête je suis sûr que y’a de la bonne viande qui coure dessus.

Cela commença par une sorte de jeu, Saavati et Yumi en riant se cherchaient mutuellement les poux et les puces.
La Nonce avait ses longs cheveux noirs dénoués, soudain un frisson lui parcouru l’échine, Yumi lui caressait ou plutôt griffa son dos. Elle miaula, gémit, se pâma, réalisant que ce désir n’avait rien de Messien.
Elle eut un peu honte, mais ce sentiment fugace fut vite remplacé par l’impatience, elle attendait avec gourmandise des doigts qui iraient l'explorer.
Cela ne fut pas long, car sans plus de caresse, Yumi glissa sa main entre les cuisses de sa compagne de chaine et lui empoigna le sexe.
Lorsqu'elle en sentit la moiteur, elle gloussa à son oreille lui mordilla le lobe.
Elle lui écarta les grandes lèvres avec deux doigts sans que sa manille ne la gêne en rien, et elle appuya son pouce sur le clitoris.
Elle la tranquillisa en lui chuchotant des mots doux, sans quoi Saavati aurait défailli lorsque Yumi avait commencé à titiller sa petite perle rose. Cependant elle ne fut pas longue à haleter, tout son corps frissonnait réagissant presque immédiatement à d’adroites caresses qui en disaient long sur les pratiques de la petite Levantine.
La Nonce essaya désespérément de retenir son orgasme, car cela prouverait à quel point elle souhaitait être dominée, à quel point, elle souhaitait être utilisée comme une amante complètement soumise.
Elle ne le voulait pas, pas tout de suite. Mais des contractions de plus en plus rapprochées la secouèrent et Yumi éclata de rire, un rire cristallin qui ponctua les spasmes de sa compagne.

  • Tu as joui comme une salope, il faudrait un Faubert* pour Essarder* sous toi.

D'une manière ou d'une autre, elle se sentait terriblement honteuse d'avoir joui si vite, montrant à quel point elle était si facilement submergée par son désir.

  • Je suis peut-être une salope… mais toi quand on s’est rencontré tu étais une Marie-Salope*.

Elle pensait que Yumi la laisserait à présent en sueur, haletante d’une joie mêlée de gêne, mais elle dut rapidement se rendre à l’évidence qu’elle ne l’entendait pas de cette oreille. Au lieu de cela Yumi rieuse lui chuchota :

  • Alors tu vas voir ce que fait une Marie-Salope.

Elle la saisit par les cheveux et poussa sa vulve contre ses lèvres.
Saavati gémit de surprise sans que sa compagne interprète cela comme une protestation.
Elle poussa le haut de son sexe contre son nez, l’anneau nasal appuyait sur son bouton de nacre et d’une bouche chaude et humide, une langue d’abord timide partit à l’exploration de territoires inconnus. Soucieuse de bien servir, elle essaya d'utiliser ses lèvres, de gouter son amie, de faire des va et viens avec son nez, alors que la pointe de sa langue s'enfonçait sans répit.
À sa grande surprise, elle préféra le goût de Yumi à celui des hommes qu’elle avait déjà sucés, elle sentit sa propre excitation grandir rapidement à nouveau, lorsqu'elle réalisa qu'elle aimait ce corps souple, ce sexe semblable à un abricot, ses seins à peines plus gros que des pamplemousses. Elle avait conscience que c’était Yumi qui en lui empoignant les cheveux donnait le tempo de leurs ébats. Mais peu lui importait la façon dont on l'utilisait du moment que le plaisir était là.
Ses seins avaient l'air effrayants, sertis de deux anneaux chacun.
Le premier était à la base et malgré sa grande circonférence il serrait la mamelle suffisamment pour ne pas tomber, chaque sein était assez gros pour former de magnifiques ballons.
Un anneau moins large que ceux de Yumi pendait à chaque mamelon. Le nouveau tatouage sur son sein lui avait fait mal à la fois pendant qu’on lui avait fait et durant sa guérison. Bien que d’une certaine façon elle soit ravie du résultat final, des lignes cursives indigos tourbillonnantes autour de son aréole et se terminaient presque sous la forme d’une petite tête de mort. Yumi, était pour d’autres raisons, également heureuse d’avoir le même tatouage. Ce sceau était celui des Frères de la Côte*. Cela signifiait que leur propriétaire était moins susceptible de les vendre, car elles ne pouvaient maintenant être cédées qu'au sein du clan.
Elles étaient ensemble, une même chaine reliait leur cou, une même rame, un même banc, une même envie de s’en sortir.
Saavati était allongée sur le plancher de la cage au milieu des chiffons en vadrouille*. Sa respiration encore haletante animait sa poitrine opulente. La tête appuyée sur les cuisses de Yumi, Saavati, encore innocente il y a peu, et pour qui c’était le première fois avec une fille, ne savait toujours pas quoi faire d'elle-même.
Toutes ses certitudes, toutes ses croyances s'étaient évanouies depuis qu’elle avait rencontré Yumi qui l’avait emmenée sur les chemins de la perdition. Ainsi une fois que le grand anneau de ses lèvres avait guéri. Le manillon attaché à la lyre, avait commencé à lui causer du plaisir plutôt que de la douleur.
C'était une sensation qu’elle ne connaissait pas. Mais les doigts de Yumi avaient résolu le problème. Le seul ennui maintenant était que, comme le disait si bien Yumi, les frottements et les secousses tireraient sur l’anneau lorsqu’elles étaient sur le ban de nage, cela leur feraient penser à un doigt plein de bonne volonté, plutôt qu’au maniement de l’aviron. Et lorsque la vogue était faible c’est à dire à la première ou deuxième allure il n’était pas rare que cette masturbation involontaire porte ses fruits. Mais sur leur banc de nage il fallait rester discrètes pour ne pas être séparées, aussi ce n’était qu’attouchements furtifs.

  • Es-tu heureuse ? Demanda Yumi.
  • Oui da, maintenant je le suis… c’est la première fois que j’ai un orgasme avec une fille, c’est bien comme cela qu’on dit ? Il fait bon, on est ensemble, on va bientôt nous apporter la gamelle, j’ai bien joui et aujourd'hui, on n’a pas reçu le fouet. Oui c'est bon. Mais… avec quelques coups de garcette sur les fesses… Huumm ! ça aurait été trop bien.
  • Mais, pour une Nonce t'es qu'une salope.
  • Oui, mais j'ai honte ! J'ai honte. Mon Dieu ! Je suis une fille perdue... J’irai en Enfer !

Encore cette fois, Yumi ne put effacer un sourire :

  • Oh petite idiote ! L'Enfer c'est ici !... Il n'y a aucune raison d'avoir honte ! Ces chaines, cet anneau de bronze autour de ton cou, ça te transforme en objet sans morale, sans pudeur… pour tous tu n’es plus qu’un animal. Tu es même moins qu’une chienne... Est-ce qu’une chienne s’offusque de manger ce qu’on lui jette à terre ? Non… Est-ce qu’une chienne s’offusque d’être couverte par des chiens en pleine rue ? Non… Moi-même, comme une chienne je me suis branlée en pleine rue sur la botte de notre Capitaine et j’ai joui ! Nous sommes moins que des esclaves. Tu n’es plus qu’un vulgaire outil.
  • En attendant la cloche a piqué deux coups* on a le temps de faire un petit somme avant la gamelle.

***

Bong … bong … bong … bong …

Le tambour rythme la nuit, imposant aux galériennes une cadence lente et lancinante.

Bong... bong... bong...

Cinq pieds au-dessus de la cage, les cent vingt galériennes souquent en cadence, probablement contentes de devoir enfin ralentir la cadence infernale qu’on leur a imposée toute l’après-midi.

Bong … bong … bong … bong.


Allongée tout contre Saavati, Yumi se laisse gagner par la mélodie morne et lancinante. La nuit est chaude et humide, la peau moite de son amie endormie luit sous un rayon de clair de lune.

Bong … bong … bong … bong.

Les coups sont sourds, la vibration est encore amplifiée par la coque du navire.

Yumi la perçoit jusqu’en son sein. Elle se surprend à onduler imperceptiblement. Celà fait si longtemps qu’elle n’a plus dansé.

Bong … bong … bong … bong …

N’y tenant plus, elle se lève, attrape les barreaux supérieurs de la cage. Au début, ce n’est qu’une infime vibration, son corps fiévreux tremble au rythme des battements de tambour. Elle n’ose trop bouger, elle ne veut pas réveiller sa compagne épuisée par leurs ébats. Mais elle en veut encore.

Bong … bong … bong … bong.

Ses hanches ondulent maintenant au rythme de la monotone mélopée. Dans la moiteur de la cale, son corps couvert de sueur lui échappe et entame une danse aussi lente que lascive. Les bras en l’air, agrippée à la cage, son bassin ondule, elle ferme les yeux, renverse la tête …

Bong … bong … bong … bong …

La vibration la traverse toute entière, elle la sent dans son torse, dans son ventre. Dans son pubis.

  • Qu’est-ce que tu fais ?

Une voix ensommeillée, Saavati s’est redressée, elle est maintenant assise à même le sol, face à la danseuse qui, toujours accrochée aux barreaux du dessus, continue d’onduler en se rapprochant de la somnolente. Elle s’approche et s’approche encore, jusqu’à effleurer de son sexe le visage de son amie. De son pubis, elle lui caresse le front, le nez, les joues.


Bong … bong … bong … bong …

Yumi recule maintenant avec une lenteur calculée sans interrompre sa danse indécente. Saavati, toujours accroupie, tend d’abord le cou et se penche pour mieux enfuir son visage entre les cuisses qui s’éloignent … elle rampe maintenant, jusqu’à acculer Yumi contre la paroi de la cage. Coincée entre la bouche de la gourmande et les barreaux, Yumi pose un pied sur un des barreaux latéraux pour mieux s’offrir et s’agrippe tant qu’elle peu, continuant à onduler.
N’y tenant plus, elle attrape d’une main la tête de sa complice l’attire plus fort encore et vient plaquer sa bouche contre sa vulve. Quand la divine langue s’immisce dans ses chairs trempées, un frisson la parcourt. 


Bong… Bong ... Bong …

Yumi perd le rythme, fi du tambour.

  • Mange-moi, chuchote-t-elle. 


Elle tangue maintenant au rythme de son envie, de sa soif de jouir. Dans sa tête, c’est la cadence de guerre …

Bong-bong-bong-bong-bong …

elle attrape à deux mains la tête de Saavati et s’enfonce sur sa langue dardée, sa vulve plaquée sur les lèvres douces. 
C’est bon … beaucoup trop bon …

  • Fais moi jouir !!!! …

L’ordre a jailli dans un souffle entre les lèvres de Yumi… pourtant Saavati ne contrôle plus rien, c’est la danseuse qui mène. Elle serre si fort sa tête qu’elle pourrait l’étouffer. Elle la secoue comme un ballon, frottant la bouche chérie sur sa chatte affamée.

BONG... BONG... BONG... BONG... BONG …

  • Hhhhh

Yumi couine comme un petit animal pris au piège et jouit dans la bouche grande ouverte de Saavati qui, d’abord surprise, essaye de se dégager, mais la poigne de Yumi est bien trop ferme. 
Vaincue la Nonce s’étouffe presque dans la liqueur d’amour qui l’inonde et n’a d’autre choix que de l’avaler.

Du liquide lui coule sur le menton et sourde à la commissure de ses lèvres. Alors la levantine se laisse tomber à genoux et embrasse à pleine bouche sa compagne. Ivres toutes deux du gout de Yumi, épuisées, les deux esclaves baignent maintenant dans leur sueur et l’euphorie qu’elles ont provoquée. Elles roulent sur le dos regardant le plafond de l’entrepont. La pluie qui commençait à tomber, les lavent de ce que Saavati aurait jadis appelé un péché.

  • Tu mouillais tellement, halète Saavati, que j’ai cru que tu faisais pipi dans ma bouche !

Yumi éclate de rire …

  • Et ça t’aurait plu ?

C’est Saavati qui maintenant pouffe de rire.

  • Tu continues à me taquiner là …
  • Cochonne ! Je parie que ça t’aurait plu !

Bong … Bong … Bong … Bong …

  • Comme je le disais, c’est ta belle et merveilleuse langue que j’aime. Mais si c’est un marin et pas une esclave qui nous apporte la gamelle tu vas faire comme moi, tu le suces ou tu lui offres ton cul.
  • Comme si, je peux présenter ma chatte à la pine d’un homme. Oh mon Dieu ! Comment je parle maintenant… Tu es une diablesse qui a fait de moi une catin.
  • D'accord, je veux bien l'admettre. Tu es une catin, si tu veux qu’on s’en sorte tu feras ce que je te dis de faire. Les mecs on les commande par la queue.

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Lexique :

taiko*: Grand tambour, la pratique du taiko fait appel à un travail corporel exigeant demandé dans la pratique des arts martiaux : le « bon son » demande un ancrage et une stabilité du bassin qui permet d'accéder à la souplesse, la sérénité et à la satisfaction que procure cette pratique. En ce sens, le taiko peut être considéré, selon les sensibilités, comme une musique, un art martial, une méditation ou une danse

comite*: Officier commandant la chiourme d'une galère.

sous-come*: sous-officier commandant la chiourme d'une galère.

vogue*: Ce qui s'applique au travail de la rame ; les gens de galères ne disaient pas ramer mais voguer.

fisquet*: Le sifflet de manœuvre était employé sur les galères, pour rythmer la cadence de la vogue (il s'appelait fisquet).

Faubert* : Grosse poignée de vieux fils de caret provenant de cordages décommis, pliée en deux et fortement liée pour former un balai (on peut lui ajouter un manche) dont on se sert, en guise de serpillière, pour sécher le pont après lavage.

Essarder* : Essuyer, assécher le pont avec un faubert ou une serpillière.

Goret*: Balai très raide, ou grande brosse, dont on se servait pour nettoyer la carène à flot. Le goret était maintenu par deux filins qui permettaient de le passer tout le long de la coque.

Marie-Salope* : Chaland, barge, ou toute embarcation destinée à recevoir et à transporter les vases extraites d'un port ou d'un bassin pour les déverser au large, le plus souvent au moyen d'une trappe ménagée dans ses fonds. La Marie-Salope est associée à une drague suceuse ou à godets.

Piquer l'heure* : Sonner l'heure en frappant sur la cloche du bord, à l'aide du battant, autant de coups que de périodes de trente minutes écoulées depuis le début du quart (d'une durée de quatre heures). Piquer huit coups annonce donc la fin du quart.

Poulaine* : Plate-forme triangulaire à caillebotis, située à l'avant des anciens navires à voiles et reposant sur les lisses des herpes. Elles servaient de latrines à l'équipage, mais aussi de lavoir. Le terme de poulaine a été conservé dans la marine moderne pour désigner les toilettes de l'équipage.

Vadrouille* : Gros tampon de filasse ou de laine, muni d'un manche et servant au nettoyage (pont, cabines, coursives). Le terme vadrouille vient du patois lyonnais où les drouilles sont de vieilles hardes. La vadrouille est cousine du faubert qui est un balai de vieux cordages décommis destiné à l'origine à sécher le pont des navires.

Prélart* : Toile cirée recouvrant les marchandises en pontée, les panneaux de pont et les embarcations ; dans ce dernier cas, on le nomme taud. On prononce prélat

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