Sans jeu ni quête
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Dans l’ombre de toi-même et de tes doutes,
Essayant, malgré tout, de tenir la route,
Fuyant le réel de ton mental en berne,
Assurant que tu gères, point de vue externe.
Utopique quant à tes capacités,
T’es juste, aujourd’hui, en train de couler…
De quoi aurais-tu besoin ? Tu le sais bien,
Et c’est pour ça que tu noies ton chagrin…
Parce que la vérité te fait peur,
Est prêt chaque jour, à exploser, ton coeur…
Refusant cependant, de voir, ton cerveau
Flancher ta “dignité” d’homme bien trop sot,
Exerce encore une forte pression
Condamnant à la ruine tes passions…
Travailler, car même trop n’est jamais assez,
Ignorer jusqu’à ta propre santé,
Obéir ainsi à ta mauvaise voix…
N’oublie pas que ton corps parle pour toi.
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