Suite et fin
Dans la rue, devant l'hôtel c'était un spectacle permanent: les femmes qui passaient une bassine ou une énorme casserole sur la tête, sans la tenir, un bébé enveloppé dans un pagne attaché sur le dos. Des femmes encore vendant à manger, du foutou: sauce arachide et igname pilée, ou aloko: bananes plantain frites et trempées dans une sauce piment.
Des danseurs sorciers Mossi, qui jettaient des jeunes enfants en l'air et le rattrapaient sur deux couteaux aiguisés.
Des danses Baoulé, des rangées d'hommes et de femmes habillés avec des tissus tous avec le même imprimé, le visage de De Gaulle, par exemple, si un dignitaire Français venait à Abidjan.
C'était la fête perpétuelle.
Voilà, je pense terminer ici. Il y a encore beaucoup à dire sur Abidjan: les quartiers de Cocody, de Adjamé, les plages de Grand Bassam, la piscine du Palm Beach. Mais ce serait interminable et n'apporterait rien de plus qu'en consultant des pages de tourisme sur internet... ou YouTube "Danses Mossi"
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