Quatrième chapitre, les Trois voeux !

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  • Alors Etienne, ces voeux ? le dernier, c'était à quatre pattes, sur le dos et par la porte de dérriére, tu vaux mieux que ça Etienne !
  • Euh,
  • Arrete avec ce Euh!
  • Je réfléchis, je n'en ais pas le droit, je peux te carresser pendant que je réfléchis à mes voeux...
  • Euh! oui , bien sûr !

Alors Etienne, l'air pensif termina de se dépoiler, il prit son temps, Clochette qui se caressait le minou pendant ce temps le regardais d'un air pensif: Quel nigaud cet Etienne, il réfléchis pas vite !

Etienne déposa ses deux mains, tout prêt du doigt explorateur de la jolie rousse, elle le regarda interloquée Finalement, il n'est peut être pas si c...Oh, ah !

Il jouait maintenant à l'eplorateur lui aussi, il n'était pas gauche, il trouva tout de suite le point G

Elle arracha sa main, celle d'Etienne de la grotte humide...enfin, humide, inondée plutôt ! elle poussa rudement le démonteur de roue , il tomba sur le dos, sur la peau de bête devant la cheminée, elle l'emjamba, et haletante dit :

  • A....préees çaaaa, tuuuu me dooooonne tes T...trois .....oh , oui oui oui oui ..... j'arrivvvvve oui Ouiiiiiiiiiiiiiii ! oh c'est boooooon !

La tête en arriérre reversée, un brin de bave au coin de la bouche l'oeuil humide, elle dit :

  • Bon, tu n'es pas mauvais, encore deux !
  • Ah non ! je ne t'ai pas dit que s'en était un, c'est toi qui m'a poussée
  • Tu as raison Etienne ! tu as été fort sur ce coup ! alors si tu veux encore réfléchir tu te met au piquet dos au mur, les mains sur ta tête et tu te retourne quand tu les as tes voeux

Tu as raison Etienne ! tu as été fort sur ce coup ! alors si tu veux encore réfléchir tu te met au piquet dos au mur, les mains sur ta têt e et tu te retourne quand tu les as tes voeux

Alors Etienne fit ce qu'on lui dit de faire

se mit dos au mur et réfléchit, réfléchit, réfléchit....réééé fléééé chiiiiit. Il finit par s'endormir, la journée avait été longue et dure, la partie de bête à deux dos et la chaleur de l'endroit eurent raison de sa résistance...il sentit sur sa peau comme des fourmillement, des chatouilles....

Elle n'en croyait pas ses yeux, personne ne lui avait encore fait ça...elle hésitait entre colére , agacement, il était trop chou, l'Etienne, elle s'en approcha, lui mordilla l'oreille lui caressa le dos, le bas des fesses, elle introduisit un doigt dans...oh! il ne se réveillait toujours pas...elle se caressait, elle n'allait pas arriver toute seule...elle lui mordit l'oreille...il se réveilla

  • Tu as encore gagné ce coup-ci, Etienne ! je t'avais sous estimé, prend moi, comme un animal et à plat ventre ensuite et dans la salle de bain ensuite.... Inutile de dire...demain à la même heure j'aurais encore crevée...tu auras encore tes trois voeux....Salaud ! prend moi comme une chose ! vas-y ! Ce soir je suis ta minette, ta carpette, ta chienne...prend moi contre le mur...oh, je suis arrivé à nouveau !

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