Chapitre 12

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Mais, au moment où nos lèvres sont sur le point de se toucher, il me dit d'un ton assez dur – Il va falloir que tu trouves mieux qu'un baiser pour me faire oublier que tu as désiré un autre homme

Oh mon Dieu !...

Ça se voyait donc tant que ça !...Je me suis fait complètement griller !

Gênée et rougissante, je proteste auprès d'Esteban qu'il est le seul homme que j'aime et dont j'ai besoin.

Heureusement, il semble s'être radoucis, me prend dans ses bras en m'assurant – Ne te justifie pas, il est normal que le spectacle offert par Françoise et Marc t’ait excitée, tout comme ils ont bien éveillé mes désirs.

Rassurée, je l'embrasse fougueusement, d'autant plus que je sais maintenant ce que je vais demander à Esteban lorsque ce sera mon tour de lui donner un gage !

Le jeu reprend.

C'est au tour de Françoise, qui a du mal à revenir sur terre après le spectacle offert a ses amis, de lancer le dé.

Le six est de sorti !

Françoise avec un large sourire prends tous son temps pour nous expliquer ce qu'elle désire !

– Très bien ! Puisque tu as eu droit à ton massage, mon chéri, c'est mon tour !

C'est alors que Françoise se tourne vers Esteban et lui parle à l'oreille. Esteban l'écoute avec une grande attention et je l'entends lui repondre

– Mais bien sûr, ce sera un plaisir pour moi !

Non, mais je rêve ! Elle n'a quand même pas demandé à mon homme de la masser !?

Je n'ai pas du tout envie de voir les mains de celui-ci se promener sur le corps de ma copine en string et en soutif !

– Là, ça va trop loin ! Je te préviens mon chéri ! Il est hors de question que tu masses Françoise !

Esteban avec un sourire moqueur

- Ça tombe bien, car ce n'est absolument pas ce qu'elle m'a demandé ! Écoute plutôt sa proposition au lieu de t'énerver Hoani !

Françoise m'explique son idée !

– Sache que si tu refuses ce gage, cela n'aura aucune incidence sur notre relation. Tu resteras toujours ma meilleure amie.

* Mais, qu'est-ce qui lui prend à Françoise de me parler comme ça ?... Elle commence sérieusement à m'inquiéter ! *

– Je voudrais un massage à quatre mains réalisées par Marc... et par toi !

- Heuuu....Tu veux dire MOI ? Je me sens rougir… Évidemment, j'ai déjà massé Esteban... mais jamais une femme !

Mon chéri semble deviner mes pensées. Esteban me murmure à l'oreille

– Ferme les yeux et fais-toi plaisir ! Tu n'as qu'à penser que c'est moi que tu es en train de masser !

Je ne me sens pas complètement rassurée…En fait, je sais ce qui me fait peur * c'est d'y prendre du plaisir ! *

À la grande satisfaction de Françoise, j'accepte donc son gage.

Marc verse de l'huile sur ses mains et commence à masser les cuisses de notre amie en partant des genoux. Pendant ce temps, je lui masse les tempes, puis descend sur son visage. Mes doigts effleurent ses lèvres.

Tout à coup, je sens Françoise aspirer un de mes doigts pour l'attirer dans sa bouche. Je la vois sucer mon doigt comme s'il s'agissait du sexe de son homme.

Tétanisée par ce geste inattendu, je suis incapable de retirer mon doigt, tant la sensation est agréable. Mais, elle finit par le libérer, à mon regret.

A cet instant je remarque que Marc n'est plus avec Françoise, Mais où est-il ? Ah…D'accord. Il est reparti s'asseoir, j'ai donc Françoise pour moi toute seule ? Cela me convient parfaitement.

Merci !... Marc.....Une pensée sincère venant de mon intérieur.

Enhardie, par cette nouvelle, je lui masse maintenant les seins par-dessus son soutif. Mais, quelle perfection, cette poitrine ! Des petits seins bien fermes en forme de pomme, et ses petits tétons qui ressortent légèrement lorsqu’ils sont bien excités comme c’est le cas, je les vois par-dessus son soutien-gorge.

J'en veux plus et demande à Françoise si elle ne voit pas d’inconvénient à ce que je lui ôte son soutif.

Pour toute réponse, mon amie se redresse et retire d'elle-même le mince rempart qui recouvrait encore cette belle et délicieuse poitrine.

Mais, qu'elle est belle ! Ma copine !

Je ne peux m'empêcher de l'admirer et une soudaine envie d'embrasser ses seins et de les téter s'empare de moi. Mais, qu'est-ce qui m'arrive ? Pourquoi ! Je réagis de cette façon, c'est de ma meilleure amie qu'il s'agit !

Mais en même temps, je suis heureuse de caresser ma Françoise, j'ai envie d'elle, je la trouve tellement belle ! Et le pire, c'est que je ne ressens aucune culpabilité ! Ce corps qui s'offre à moi et cette douce chaleur qui m'envahit me provoque des frissons fortement agréable.

Pourquoi donc me priver ?

Je prends cette belle poitrine, qui m'attire tant, dans mes mains en essayant de les rapprocher ses seins l'un contre l'autre afin de pouvoir les caresser ! Euh… Il faut que je sois honnête, pas que de les caresser, de les malaxer, de les pétrir, je ressens cette douceurs à travers sa peau, je sens a travers sa poitrine que la respiration de Françoise s’accélère.

Je vois que mes caresses ne la laissent pas indifférente, car ses tétons réagissent et durcissent aux contacts de mes doigts qui lui emprisonnent les pointes, pour les rouler entre mes doigts, les presser, les tapoter, les caresser ? Enfin tout ce que j'aime me faire à moi-même…

L'envie de les pendre dans ma bouche est incontrôlable. Cependant, là, je repense à Esteban, je l'ai déjà abandonné une fois, il ne faut pas que cela se reproduise.

Je cherche mon chéri, je cherche son regard ? Je ne le vois pas ?

* dis-moi chéri ? dis-moi chéri si ce que je fais, c'est mal ? Regarde-moi ? Aller… Esteban tes où ? Enfin, je te vois, parle-moi avec tes yeux, j'ai besoin de savoir ! *

Mon regard croise celui de mon homme, Esteban me fait un grand sourire et me lance un baiser avec ses lèvres.

Je devine qu'il me dit "je t'aime" et qu'il est d'accord pour que je puisse découvrir ce qu'il se cache derrière ce paysage montagneux.

Merci mon chéri, tu sais que j'ai envie lui caresser les seins, tu sais combien j'aime ma petite poitrine surtout quand tu t'en occupes !

Mais, j'ai moi aussi envie de ceux de ma copine ? Sentir sous mes doigts sous la douceur de cette poitrine et la faire durcir de désir.

Mes yeux se posent à nouveau sur cette superbe poitrine.

Je me penche sur ce joli téton qui me fait de l’œil depuis un moment et, comme par magie, il se retrouve dans ma bouche… Je le suce, le mordille avec mes dents en le faisant aller de droite à gauche, le titille et l'agace de ma langue. Je les sens rapidement grossir sous mon traitement et sa poitrine est encore bien plus gonflées, plus dur sont ses petits tétons qui pointent fièrement dû aux caresses que je leur infligent, ce qui me rend rouge de plaisir et de fierté.

La respiration de Françoise s’accélère et se transforme en légers gémissements. Je suis surexcitée et sens ma liqueur d'amour envahir mon petit minou ?

Ma meilleure amie est en train de me faire mouiller, et elle n'a même pas besoin de me toucher pour cela, *comment j'en suis arrivé là ?*

La situation est incroyable ! Je demande à Françoise si ,elle veut bien enlever son string en le désignant du doigt.

- tu veux bien l'enlever ? Il va être tâché par l'huile.

Tu n'as qu'à le retirer toi-même ! me dit-elle ! Comme dans un rêve, je saisis les ficelles de chaque côté de son string et tire très lentement.

Françoise se retrouve nu et, je suisébahi par la beauté de son sexe. Elle est totalement épilée, comme moi, ce qui me permet de bien voir sa fente rosée, ainsi que ses petites lèvres déjà bien gonflées ! une odeur que je connais bien s'en échappe et ce n'est pas pour me déplaire ! …

Toute lisse, elle a la couleur et en plus peux je peux déjà le deviner, la douceur d'un abricot sucré. Ses lèvres sont fines et humides, légèrement plus rosé à l'intérieur, brillante par sa mouille. L'envie de la laper devient insoutenable.

Nul doute que ce massage fait aussi de l'effet à mon amie !

Afin de ne pas faire d'impair, je lui demande de se mettre maintenant sur le ventre. Après avoir massé ses bras et son dos, je descends sur ses fesses.

Françoise est une grande sportive, et là, je le vois bien, des petites fesses bien fermes, au touché, c'est super agréable, sa peau est douce.

Une de mes mains s'égare dans le sillon de celles-ci et frôle son œillet. Cela n'a pas l'air de lui déplaire, vu le frisson qui la parcours à mon contact. Françoise secoue ses fesses de gauche à droite ! Me prouvant ainsi qu'elle aime mes caresses.

*Ah ah ah … toi ? Aussi… Tu aimes que l'on te chatouille ton petit œillet, je suis bien d'accord avec toi, moi lorsque mon chéri le fait en douceur, c'est trouve cela très agréable.*

J'effleure à nouveau son petit trou du bout des doigts, mais je ne fais que passer, tourner très légèrement sans appuyer sur ce petit œillet, qui attire mon regard ?

Une tension sexuelle extraordinaire émane de la pièce…

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