Le Statut des Femmes en Aoichikyu

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Migoto no Shima

Sur l’île de Migoto, la discrimination des femmes n’est pas quelque chose de courant. Si elle a existé, en dehors de certaine pratique matriarcale, au début de l’existence de leur peuple : le temps a fait son œuvre et c’est une relation égalitaire qui existe entre les deux genres.
Certains clans se veulent même matriarcaux en adéquation avec leurs traditions, souvent lié à leur race animale ; où la femelle est celle qui dirige.

De plus le Cénacle, qui a une grande importance aux yeux du peuple, se compose en majorité de femmes. Comme leur panthéon est pourvu de 7 Déesses et de 6 Dieux, les ainokos ont naturellement recherché l’équilibre entre les deux genres.

Markav Krigare

Peu importe homme ou femme, ce qui prévaut, c'est la force. La capacité à s'imposer dans son domaine. Si le meilleur est une femme, alors, c'est une femme : point barre. On cherche l'efficacité indépendamment de tout. et cela, depuis la nuit des temps.

L'Himero

Les femmes sont généralement reléguées aux métiers d'entretien, de maisons, ou de petites mains. Les femmes nobles servent à faire de bon mariage. A l'exception du statut impérial, une femme n'est pas prioritaire à l'héritage d'un titre de noblesse : même si elle est l'aînée de la fratrie.

On attend des femmes nobles qu'elles soient belles, raffinées, distinguées et gracieuses. Les arts militaires leur sont interdits. La seule exception est la "Garde d'Argenti", un groupe de femmes chevaliers d'élite. Mais avec la montée au pouvoir d'Ethan IV, il n'y a plus d'écuyère en formation car il a déclaré ne plus avoir besoin de cette troupe pourtant vu comme un symbôle de grâce, de vaillance et de pureté par le peuple.

Le Zanshi

La femme est généralement la maîtresse de maison, celle qui gère la famille, les biens, les héritages, les mariages. C'est la "matrone", et peut même diriger l'homme lorsqu'il s'agit de quelque chose en lien avec le foyer à proprement dit. L'homme est là pour le paraître, et surtout, défendre l'honneur d'une lignée, et ramener les biens à la maison pour apporter la prospérité à sa lignée.

Certaines femmes, mais elles sont rares, sont dans les forces armées du Zanshi : leur talent magique ou physique ayant été considéré comme suffisamment exceptionnel pour le permettre. Ces femmes savent généralement s'imposer et bien que rare, suscitent le respect aux hommes qui les voit plus comme des "frères d'armes" que comme des "femmes". La majorité des femmes ayant un jour rejoint les armées ont fini par percée à de haut rang militaire. Car sans talent, elles auraient été congédié depuis longtemps pour devenir "femme au foyer" !

Ramal Saxin

La femme est le parangon de la douceur. On doit la considérer avec délicatesse, pour sa douceur, sa pureté et sa beauté. D'ailleurs, les femmes esclaves sont mieux traité que les hommes, qui servent généralement aux travaux abrutissants et dégradants.

Dans la culture Ramalen, la femme est un trophée. Mais un beau trophée doit être instruit, délicat, gracieux, sans pour autant être soumis. Ce doit donc être une femme d'esprit.
On apprécie les femmes de science et de savoir dans ce pays. Et on a tendance à surprotéger les damoiselles en leur interdisant les domaines militaires ou trop physique. Exception faite dans les plus petite oasis où elles mettent, évidement, magie à la patte dans les travaux si besoin est.

Désatma

Cette société étant très spirituelle, les hommes et les femmes sont considérés comme égaux depuis toujours. L'âme d'un homme ne pouvant être jugé supérieur à celle d'une femme.

De plus, ce pays a toujours regroupé les gens par compétences, indépendamment de leur genre. Des femmes occupent donc de haut-postes de l'administration du pays, en commun avec des hommes. Et les héritages se veulent égalitaire, indépendamment de si l'aîné est un homme ou une femme. De même, le nom transmis et conservé est celui du couple ayant le statut le plus élevé.

Le Matriarcat, et le Patriarcat se côtoie donc selon les différences de statut, et cela, dans un même pays.

Esmeralda

Pendant de nombreuses années, on considérait que les femmes devait rester à quai car elles portaient malheur. Elles rendaient jaloux, par leur beauté, les esprits des mers. Voilà bien une quarantaine d'année que l'idée à changer.

Une femme peut faire des métiers d'homme, mais devra s'habiller en homme si elle veut naviguer : pour ne pas attiser les esprits de l'eau et leur jalousie. En règle général, en dehors de ce menu détail, les femmes ont un statut similaires aux hommes sur la terre ferme.

Néanmoins, cela peut changer en fonction de certaines îles ayant leur propre micro-culture.

Tyr Hynafol

Le genre ne compte pas dans la considération que l'on porte à la Nature.

De plus, Hynafol est le seul pays à considérer qu'il n'existe pas que deux genres. Tout être créé par la Nature, que son esprit soit homme, femme, les deux ou en dissonance corps-esprits peut prétendre à la voie druidique.

Les droits, les devoirs sont les mêmes pour les uns, et pour les autres. C'est une société qui se veut égalitaire. Les discriminations sont même sévèrement réprimandées.

Taiyotsuki

La société en elle-même, reste assez égalitaire entre les hommes et les femmes. Néanmoins, des disparités existent.

Déjà, on trouve plus d'hommes samouraïs (guerrier au service d'un seigneur) que de femmes "samourai onna". Néanmoins, on trouve plus de femmes Shugenja (mage combattant) que d'hommes.

Dans le reste de la vie quotidienne, les deux genres se côtoient de façon assez égalitaire. Il y a bien des remarques "misogyne" à l'encontre des femmes, mais rien qui va plus loin.

A noter qu'il existe des courtisanes, dans des quartiers "rouge" qui sont considérées comme intouchable par leur beauté, leur savoir, leur art du raffinement. Ces femmes sont considérés comme des joyaux de la culture yamato, et le métier de courtisan -son pendant a masculin- est devenu une véritable rareté tant l'esprit de société préfère affublé les arts et traditions de leur pays à la féminité.

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