Amélie 2

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Renversée en arrière, elle fit tomber trois bouquins qui en rejoignirent d'autres au sol. Couchée à plat-dos sur la table, la tête à l'envers, sa robe remontée sur ses cuisses nues au galbe bronzé et dévoilant un sein menu, mais parfait pour caler une paume, elle tentait de déboutonner mon jeans. Un instant, j'apposai mon index sur mes lèvres pour lui faire signe de faire moins de bruit, puis, lorsque nous fûmes à peu près sûr d'être vraiment seuls dans la boutique ouverte, elle recommença.

Debout, sa tête entre mes jambes, la laissant se démener pour tenter de dégrafer mon pantalon, je me penchai sur elle pour lui embrasser les seins. L'odeur qu'émanait sa poitrine ? Innomable. Probablement ce que fleurerait un nectar de dieu. De déesse, en l'occurence. Putain, j'en peux plus, de cette Amélie. Je ne l'avais pas vue venir, sous ses air de fille timide, à m'attirer dans cette pièce et se coucher sur cette table, me laissant pleine vue sur son entrejambe libéré de tout sous-vêtement... la vicieuse.


Je commençai à mordiller son téton lorsqu'elle réussit enfin à libérer ma bite. Je me demandai comment elle lui apparaissait, sous ce point de vue. Probablement voyait-elle mes couilles, peut-être mon anus. Ma teub, à quelques centimètres de son visage. Jamais, il y a quelques années, j'aurais envisagé qu'une fille - d'autant plus une parfaite inconnue qui m'excitait autant - puisse me voir sous cet angle-là. Aujourd'hui je n'avais plus aucun problème avec cela. Mieux ? Cela m'exaltait.

Elle me goba pas tout de suite, elle se contentait de me branler, en observant ma bite. Je la voyais faire, d'où j'étais. Penché sur ses seins, mes abdos voûtés au-dessus de son visage, ma bouche titillant leurs auréoles. Puis, comme un chat, elle commença à lécher mes couilles par petits à-coups qui me déclenchèrent des frissons dans tout le corps. Je ne pus réprimer un râle de plaisir.

- Comment tu t'appelles, demandai-je sans lâcher ses seins de mes lèvres.

Elle sourit, tout en continuant de lécher mes couilles.

- Amélie, toi ? (entre deux lapées)

- Simon, enchanté !

Je passai une main sur ses cuisses, que je commençai à caresser. Lentement, je descendis jusqu'à son genou, puis, en parcourant toute la circonférence de sa jambe, je remontai. M'attardai sur la partie interne de ses cuisses, les effleurant à peine, puis, remontant, remontant, j'atteignis enfin son sexe glabre.

J'aimais les poils, chez les meufs. Ils emballaient la chatte. La réhaussait d'une pigmentation splendide. Ils m'excitaient. J'aimais aussi, à l'inverse, quand les sexes étaient fraichement épilés, et qu'ils offraient leur surface lisse, sombre, sur laquelle il était aisé de voir luire la mouille. Le sien faisait partie de la seconde catégorie. Et lorsque mon index frôla la pulpe de ses lèvres, j'en sentis l'inondation. Elle était trempée. Et ce simple contact déclencha une poussée de sang dans mon érection qu'elle avait désormais en bouche. Je me demandais si elle me sentait grossir en elle, dans sa gorge. Le goût qu'avait mon sexe. Si elle l'appréciait. Si je l'excitais. Même si sa mouille et les gémissements qu'elle poussait me donnaient un indice fiable.

Finalement, je me penchai totalement, abandonnant ses seins, pour me retrouver en position de soixante-neuf sur cette table, ma bouche collée contre son sexe trempé et ma bite au fond de sa gorge. C'est comme ça que...

- Monsieur, s'il vous plait ?

La vieille dame, me tendant un exemplaire d'occasion écorné des Fleurs du Mal, me sortit de mes rêveries.

- Excusez-moi, j'étais dans mes pensées, dis-je, gêné.

- J'ai bien vu, fit-elle en se marrant. Vous n'avez pas l'air d'avoir beaucoup dormi.

Je tipai son bouquin, en prenant garde de ne pas trop m'extraire de derrière ma caisse pour ne pas lui dévoiler l'érection qui déformait mon pantalon, et finis par allumer mon ordi lorsqu'elle s'en fût allée. Il y avait des caméras de surveillance dans la boutique et je comptais bien observer ce que faisait ma jolie inconnue qui était à l'étage depuis une bonne dizaine de minutes.


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