Course vers le plaisir

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Vendredi Maxime décide d'aller courir. Cela lui permet de se défouler, de se vider la tête et aussi de se maintenir en forme. A cette heure matinale il n'y a pas encore trop de badaud sur le port et il ne fait pas encore trop chaud. Il commence donc son footing en descendant sur le port ou malgré l’heure matinale il y a quelque personne. Puis il continue le long des jardins de la ria. Maxime est perdu dans ses penser quand il est ramené dans le monde réel. Ce n’est pas le faite que une coureuse puise le doubler malgré sa bonne vitesse qui le choque. Son cerveau ou le débit d’oxygène moins important que d’habitude mit quelque seconde à comprendre que ce qui l’avait sortie de sa rêverie était le panache flamboyant devant lui. Un panache flamboyant qu’il avait déjà vu moins d’une semaine plutôt. Il était presque sûr que la fille qui venait de le dépasser était celle qui l’avait épié lors de sa masturbation sous la douche, et ses grande et rapide fouler expliquait pourquoi elle avait si rapidement disparaitre a sa vue la dernière fois. Maxime accéléra de toutes ses forces pour rattraper la femme e question. Apres une dizaine de seconde d’un sprint maxime réussi enfin à rattraper la coureuse. Il se mit à courir a ses coter et lui lança

-je ne suis pas sûr qu’il y a beaucoup de personne à épier ici

Elle tourne la tête vers moi ce qui me permet de voire sont magnifique petite visage. Son nez fin et ses pommette son parcheminer de petite tache de rousseur la font ressembler a une enfant mais le reste de son corps prouve que ce n’est plus le cas. Elle est plus petite que maxime, un legging noire permet de voir ses longues jambes musclée qui explique ses amples foulées. Plus haut ses seins de taille moyenne sont à peine dissimuler par une brassière de sport rose. Et entre les deux se dessine un ventre plat qui ne laisse pas de place au doute quand a la présence d’abdo sous-jacent.

-Pardon ?

L’incompréhension est d’abord visible sur son visage puis elle reconnait le visage qui lui fait face et se dessine alors sur son visage un mélange de d’étonnement, de peur et de culpabilité

-Je…je ne…

Mais elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’elle trébucha et se retrouva par terre. Maxime s’arrêta et en-là voyant ainsi sa colère contre cette voyeuse avait complètement disparue.

-Ça va ?

-Je crois que je me suis fouler la cheville.

Je l’aide donc à se relever. Mais à peine pose-t-elle son pied gauche au sol qu’elle pousse un cri de douleur

-Vous voulez que j’appelle de l’aide ?

-Non non ça va aller n’habite pas très loin d’ici il faudrait juste que vous m’aider à marcher.

Je me mets donc à coter d’elle, elle passe sont bras gauche derrière mon coup et je lui attrape sa mains avec ma propre mais gauche, tandis que je passe mon bras droit sous son épaule droite pour la soutenir, ma mains arrive donc juste sous sa brassière. Nous nous mettons alors à marcher ce qui ne fut pas chose aisé. Je remonte doucement ma main au fils des pas comme si c’était le déhanchement de notre marche qui en était la cause. Si la charmante jeune fille a remarqué mon manège elle ne fait cependant aucun commentaire. Nous continuons notre progression en silence, elle crisper sous l’effort et la douleur, mon griser par les endorphines et par le contacte de ma main qui rentre maintenant en contact avec le bas de ses seins à travers sa brassière. Mais au bout de 5 minute je dois me rendre à l’évidence, nous n’avons même pas parcouru 200 mètre

-A ce rythme-là on y sera encore demain matin

-Désoler je fais ce que je peux

-Oui je sais, au pire si ça ne te dérange pas tu peux monter sur mon dos.

-D’accord

Je me place donc devant elle et attrape ses deux jambes, quant à elle, elle passe ses deux bras autour de mon cou. Je me remis donc à marche. Le poids mort sur mon dos n’était pas un poids mort car elle était relativement légère, et en plus seins était aplatie sur le bas de ma nuque tandis que je sentais la chaleur de son entrejambe au bas de mon dos.

Nous arrivons enfin ou elle loge, elle descend de mon dos et elle ouvre la porte. La soutenant toujours pour ne pas quelle tombe je rentre avec elle. On arrive dans un salon rudimentaire typique des maisons en location. Sur la table se trouve une feuille ou sont écrit quelque mots : « je suis partit régler un problème administratif, ne m’attend pas pour manger »

Elle s’affale sur le canapé je lui tend le mot pour qu’elle puisse le lire, elle fait une moue réprobatrice et marmonne quelque chose

-Un problème administratif ces ca il est plutôt allé voir sa petite ami

-Ton père

-Non mon entraineur

Avant que je puisse poser la moindre question elle me demande

-Tu peux aller chercher dans le congélateur de la cuisine il y a un sachet de petit poids.

-D’accord

Je ramène donc le sac de petit poids en question. Pendant ma courte absence elle a réussie à poser sa jambe sur un coussin qu’elle a mis sur la table basse.

-Merci. J’aurais un dernier service à te demander. Tu pourrais juste remonter le bas de mon legging.

Je commence donc à vouloir le remonter sur sa jambe met son mollet musclé et sa cheville enfler ne le permette pas

-Ça ne passe pas il faut que tu enlèves ton legging

-Ha d’accord

Je commence à lui enlever son legging, ce ne fut qu’après lui avoir entièrement retiré que je comprends pourquoi elle est gênée. Pourquoi je n’avais pas envisagé qu’elle puisse ne pas porter de culotte. Mon regarde est irrésistiblement attirer par son sexe lisse.

-Bon je t’ai vu nu et maintenant tu m’a vu nue. On est quitte

La colère refit surface aussi rapidement qu’elle était partit

-Tu m’as espionné en train de me masturbe et par ce que tu m’aurais montré ta chatte

-Oui tu as raison.

Sans rien ajouter de plus elle écarte sa jambe droite de sa jambe gauge toujours poser sur un coussin sur la table. Et elle commence à caresser sa vulve qui se trouve déjà être humide. J’étais complétement hypnotisé par ce spectacle. Je viens m’assoir a coter d’elle sur le canapé. A un moment elle me prend la main et la pose sur son sexe. Je comprends le message et ne me fait pas prier j’insère mon majeure et mon annulaire dans sa grotte tandis que mon pousse frotte son clitoris. Elle profite du fait d’avoir ses deux mains de libre pour libéré ses seins et les empoigner a pleine mains. Maxime réalisa que ses seins étaient en réalité plus gros que ce que la brassière pouvait laisser supposer, serte moins gros que ceux d’Anaïs mais sans aucun doute plus ferme. Maxime sentait ses doigt glisser a l’intérieure de la chatte de la jolie voyeuse et cela l’excitait énormément. La joggeuse ondulait de plus en plus mais l’homme responsable d’une partie de son plaisir voulue aller plus loin dans les sensations qu’il procurait a cette femme. Il se souvient que quand il lisait des articles sur les zones érogène l’orgasme que pouvait provoque le point G avait l’aire particulièrement intense. Il entreprit donc de partir à la recherche de ce point dans l’intimité de sa partenaire. Il avait vaguement un schéma de l’anatomie féminine en tête et s’avait donc dans qu’elle zone chercher, et décida que pour trouver l’endroit exacte il allait se guider grâce au gémissement de plaisir de la jeune femme. Il était donc entrain de palper son vagin depuis maintenant une bonne dizaine de minute et avait du ralentir a plusieurs fois l’intensité de ses recherche pour ne pas faire jouir la femme qui se trouvait au bout de ses doigts. Il était sur le point d’abandonner quand sont majeure toucha une zone légèrement plus dur que le reste du vagin de la rousse et quand il commença à la toucher la rousse se cabra encore plus violement. Maxime en déduit qu’il avait enfin trouvé ce qu’il cherchait et mit toute son énergie a stimuler se tous petit bout de chair. Les gémissements de plaisir devinrent des cris de plaisir et les mouvements de basin étaient beaucoup plus rapides et sporadique. Cela ne faisant même pas une minutes qu’il avait trouvé le point magique qu’il sentie le vagin de cette dernières se resserrer autour de ses doigts tandis que cette dernière se cabra dans un râle de plaisir avant de retomber haletante sur le canapé. Maxime après quelque seconde sortie enfin ses doigts de la chate dans la quel il était. Il osa le porter à sa bouche pour gouter le jus d’amour de la jeune sportif qu’il trouva fort différent de celui d’Anaïs avec ses note salé qui rappelait le gout de la transpiration.

-Je t’ai espionné pendant que tu te masturbais et tu m’as masturbé. Maintenant je vais te remercier de m’avoir porté et on sera quitte. Met toi à genoux sur le canapé.

Pendant que je m’exécute et me met à genoux sur le canapé la jolie femme à coter de moi se redresse et remet sa brassière en place su ses seins. Une fois que nous somme tous les deux en place elle baisse mon jogging et mon caleçon pour faire sortir mon pénis qui est déjà bien dresser depuis que j’ai caresser la chatte de la jolie jeune femme et il finit de gonfler en sortant sachant ce qui va lui arriver. Puis ma partenaire prend mon engin en main, le rapproche de son visage. Mes au lieu de le prendre dans sa bouche elle crache dessue et commence alors à me branler. Puis elle s’arrête pour à nouveau me cracher sur le pénis alors que ce dernier était suffisamment lubrifier pour une branlette. Mais au lieu de reprendre son mouvement de sa main elle tira sur le bas de sa brassière et fit disparaitre mon pénis en dessous avant qu’il ne réapparaisse en haut de la brassière. Puis elle crache a nouveau sur mon gland. Car effectivement mon pénis était peux être assez lubrifié pour une branlette mais pas pour une branlette espagnole. Elle se mit à faire faire des va et vient à ma bitte entre ses deux seins. Ses seins qui étaient effectivement ferme entouraient ma bitte d’une façon exquise. Je perdis la notion du temps pour ne pas jouir trop vite. La femme qui me donne du plaisir fait sortir mon pénis de son cocon de chaire. Elle décalotte mon gland, puis retire son sein droit de sa brassière. Elle utilise son grand téton sur mon frein et l’extrémité de l’urètre. Le contacte sur cette zone sensible est très doux et électrise tous mon pénis. Puis elle crache à nouveau sur mon pénis, remet son sein dans sa brassière et mon pénis entre ses seins. Je perte totalement la notion du temps puis je sens que je viens de franchir le stade de non-retour. Je fais par de cette information a ma partenaire accélère encore le rythme. Mon pénis lâche un premier jet de sperme qui va s’écraser sur son cou un deuxième jet viens s’écraser sur son sein gauche et un troisième coula de l’urètre et viens couler le long de mon pénis.

-Je peux te demander un dernier service. Tu peux m’apporter une serviette de la salle de bain dernière porte dans le couloir et une culotte dans le tiroir du haut dans la commode deuxième porte dans le couloir.

-Ok pas de problème

Je suis donc ses indications pour aller dans sa chambre, le tiroir des petit culotes ne contienne que des culottes de couleur blanche, chaire ou rose. Les deux autres tiroirs qui contienne respectivement des chaussettes et des soutient gorge qui sont tout aussi sage que les culottes. Maxime arrête là son inspection de la chambre puis il va dans la selle de bain pour prendre une serviette. Puis il retourne dans le salon pour les donner à la fille. Maxime trouve la situation assez gênante

-Bon je vais y aller

-Ok au revoir

Puis maxime décide de rentrer directement chez lui, il va dans la salle de bain pour prendre une douche. Il s’assure que la fenêtre est bien fermer puis se déshabille avant d’enfin aller sous l’eau. Sont orgasme est trop ressente pour qu’il décide de se masturber même si sa bitte n’est plus tout à fait molle, mais il réserve sa pour ce soir juste après avoir envoyé un message a Anaïs

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