Les marchés

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Désolé pour la longue absence, mais étant étudiant je n'ai parfois pas beaucoup de temps pour écrire et étant donné que je voulais améliorer l'orthographe que beaucoup de personnes m'ont reprochée cela a pris encore plus de temps. À ce titre je tiens à remercier solo_x qui m'a donné des conseils pour je l'espère enlever toutes les fautes

Je me réveille seule dans la tente. Ludivine (ma cousine) doit déjà être en train de prendre son petit déjeuner. Je sors de mon lit et me souviens qu'après notre petite" masturbation mutuelle" ni moi ni elle n'avions songé à remettre notre pyjama. Je récupère donc le mien et constate qu'à côté se trouve la culotte noire que ma cousine portait. Deux possibilités soit elle a pris une autre culotte ce qui me paraît peu probable étant donné que son sac n'a pas bougé depuis hier soit elle n'a pas de culotte sous sa chemise de nuit. Cette dernière possibilité a un effet notable sur mon entrecuisse qui m'oblige à avoir un caleçon pour que mon érection ne soit pas (trop) visible. Puis je sors de la tente. Effectivement la porte de la maison est ouverte et certains de ses occupants sont réveillés. Je me dirige donc vers l'entrée qui donne sur la salle à manger où se trouvent ma mère, deux de mes oncles, et ma cousine qui vient de finir son petit déjeuner. Elle prit donc sa tasse et sa cuillère et me devança pour aller dans la cuisine où je me rendais pour ma part pour préparer mon petit déjeuner. Je prends une tasse dans le placard et en me retournant tombe sur une surprise. Ma cousine qui se penche pour mettre sa cuillère dans le panier a couverts du lave-vaisselle. Et ce geste fait que sa chemise de nuit qui lui arrive normalement à mi-cuisse remonte sur ses fesses puis sur ses reins dévoilant tout de son intimité et de ses jolies petites fesses. Puis elle se tourne vers moi et me sourit

-Alors cousin ça va ? Tu as l'air bizarre, tu as mal dormi ?

-Non j'ai très bien dormi et je vais très bien par contre tu pourrais attraper froid comme ça l'air de la mer est trompeur.

Elle se rapproche de moi et me susurre presque

-Ne t'inquiètes pas pour moi, en ce moment j'ai très chaud. Et il semblerait que toi aussi.

En ajoutant cette dernière phrase elle avait furtivement posé sa main sur la bosse que mon caleçon dissimulait tant bien que mal. Elle vérifia que nous étions toujours seuls dans la cuisine puis m'embrasse et quitte la cuisine. Je n'en reviens pas, C’est la même cousine qui était timide il y a un an, qui rougissait pendant notre conversation hier et qui vient de caresser mes lèvres avec les siennes? Je sors de ma transe pour finir de préparer mon petit déjeuner. On réfléchit mieux le ventre plein à ce qu'on dit. Je mange sans qu'aucun autre incident se produise et pour cause Ludivine est retourné sous la tente. J'en prends à mon tour la direction en entrant je constate que ma cousine est allongée sur le ventre les genoux pliés avec les pieds au niveau des fesses et les jambes largement écartées qui me permet de voir à nouveau son intimité. Avant que je ne puisse faire la moindre remarque elle me dit

-Elle est pas mal ta copine

-Comment tu le sais ?

C'est là qu'elle me montre son téléphone où elle est sur le profil d'Anaïs sur un réseau social et où on voit des photos d'Anaïs.

-Comment tu as fait pour la trouver si facilement ?

-D'abord savoir qu'elle s'appelle Anaïs à bien aider et ensuite le fait que ton téléphone à le même code depuis quatre ans a fait le reste. À ce propos elle t'a envoyé un message.
Je me maudis intérieurement d'avoir laissé une telle arme à la portée d'une experte dans les réseaux sociaux comme ma cousine. Effectivement Anaïs m'a envoyé un message à propos d'un masseur. Je lui réponds
-Si une Ludivine te demande en ami refuse c'est ma cousine elle est dangereuse
-Trop tard en quoi elle est dangereuse.
-Elle est très intelligente, très perspicace, à un esprit logique et arrive à tirer les vers du nez à n'importe qui
-Houlà il faut que je fasse attention à ce que je lui dis pour ne pas qu'elle sache pour notre arrangement
-Elle sait déjà

-Je sais, elle me l'a dit et demande des précisions . Elle est sans gêne ta cousine.

-Quoi tu es sérieuse Ludivine

-Par rapport à ? Me répond-elle innocemment

-Au fait que tu parles à Anaïs

-Et pourquoi pas, car si je veux toutes les infos c'est à elle qu'il faut que je demande. Petit cachottier. C'est qui Alice ?

Je suis en train de bouillir intérieurement ma cousine qui était en train de me caresser pas plus tard qu'hier est en train de parler avec ma presque petite amie qui rentre dans son jeu. Heureusement un message d'Anaïs annonce mon salut.

-Je vais rentrer dans zone sans réseaux à plus tard.

Ludivine a dû recevoir le même message, car dans un soupir je l'entends dire

-Dommage

Puis elle éteint son téléphone, s'assied sur son lit enlève sa chemise de nuit et se retrouve nue devant moi. Puis elle prend son sac et en sortit deux robes. L'une bleue à pois blancs, l'autre jaune.

-Laquelle je prends ?

-Je n'en sais rien je ne suis pas un expert en mode.

Je ne regarde véritablement aucune des deux robes, mais plutôt le corps de ma cousine.

-C'est simple laquelle tu voudrais qu'Anaïs met?

-Je ne sais pas, je dirai la jaune

-Très bon choix

Elle enfile la robe et me tourne le dos

-Tu peux faire le nœud

Je fais donc le nœud qui retient en grande partie la robe, mais surtout le décolleté. Puis elle enfile une paire de sandales avec un talon carré de huit centimètres assorti à la robe

-Fait attention tu commences à perdre la mémoire tu as encore oublié t'a culotte.

-Non vu l'effet que ça t'as fait tout à l'heure j'ai décidé de ne pas en mettre aujourd'hui.

Puis sort de la tente. Après m'être habillé je sors à mon tour de la tente.

À peine sorti mon père nous sort

-Dit les jeunes vous qui êtes fort et vaillant vous n'irier pas acheter des melons pour ce midi

-Ok on en prend combien ?

-Deux ça devrait suffire

-Ok

-Attend-moi cousin

Me voilà donc partie vers le marché avec Ludivine. À peine le portail fermé elle me prend la main et se colle à moi comme si nous étions un couple. Arrivé sur le marché elle se colle encore plus à moi pour ne pas être séparé. Car même s'il n'y a pas énormément de monde dans les rues du quartier des Halles ne sont pas très larges. Nous arrivons à un très bon stand de fruits et légumes après avoir payé on fait un petit tour de marché pour faire plaisir à Ludivine, car moi je ne suis pas très fan des foules. Ma cousine se décide enfin que l'on peut quitter le marché, mais elle n'a pas décidé que notre petite promenade était finie. Elle se dirigea vers la faïencerie de Pornic (une des dernières faïenceries de France qui produit notamment le fameux bol breton) puis elle s'engage sur un petit sentier dans une partie arborée que je lui avais faite découvrir l'année dernière. Mais au milieu du sentier elle m'entraîne vers les fourrés. Je comprends que c'est son plan depuis le début, à une distance suffisamment éloignée du sentier elle lâche ma main et me pousse sur une souche d'arbre. Je me laisse faire et elle s'agenouille devant moi et baisse mon pantalon. Elle sort mon sexe et commence à faire des allers et retours sur mon sexe, puis très vite elle rapprocha sa bouche jusqu'à ce que ses lèvres touchent mon gland et l'entourent. Elle l'aspire avant de le relâcher pour descendre encore plus la fois suivante. Sa pipe est maladroite, mais le lieu et la personne m'excitaient. Puis Ludivine se relève et place ses jambes de chaque côté des miennes et se baise petit à petit, très vite mon pénis disparaît derrière sa robe, c'est d'ailleurs ce qui me fait sortir de ma transe me souvenant qu'elle n'a pas mis de culotte et qu'elle dirige donc son vagin nu vers mon pénis dressé. J'ai juste le temps de pousser légèrement ses cuisses, ce qui fait qu'au lieu d'être empalée sur mon sexe elle est s'assise à califourchon sur mes genoux. Elle me regarde d'un air surpris

-On ne peut pas faire ça tu es ma cousine
-Oze me dire que tu n'en as pas envie
-Il ne s'agit pas d'envie, mais de moralité
-La moralité on l'a enterré hier dans la tente on est plus à ça près
-Oui mais même tu ne voudrais quand même pas que ta première fois se résume à ça? Avec ton cousin vite fait entre deux arbres.
-Alors promet moi que si l'année prochaine je suis toujours vierge tu prendras du temps pour moi
-D'accord
Intérieurement je me dis qu'il n'y a aucune chance qu'elle reste vierge vue comme elle est belle.
-Par contre il n'y a pas de raison pour qu'il n'y ait que toi qui prennes du plaisir dit-elle en se levant. Je comprends où elle veut en venir et je descends de ma souche pour m'allonger sur le tapis de mousse du bois. Pendant ce temps-là ma cousine arrive à défaire le nœud de sa robe et là laisse choir au sol. Elle se retrouve donc entièrement nue. Elle vient se placer au-dessus de ma tête et je me retrouve donc avec un de ses pieds pris dans ces sandales de chaque côté de ma tête. Puis Ludivine commence à plier les genoux et inexorablement approche son sexe de mon visage, et en même temps qu’il se rapproche son sexe s’ouvre devant mes yeux. Son vagin brûlant de désir se pose sur ma bouche. Bouche qui fut immédiatement remplie des délicieuses sécrétions vaginales de ma cousine. En effet dire que ma cousine est humide serait un euphémisme tellement sa quantité de nectar était grande. Aussi proche de son sexe et de ses cuisses je pouvais voir les traîner qu'avaient laissé des gouttes de Cyprine sur la peau de ses cuisses. Les poils de son pubis étant assez désagréables sous la langue je me concentre sur son sillon vulvaire qui a chaque coup de langue laissé échapper une quantité non négligeable de cyprine de ma cousine. Toujours accroupie au-dessus de ma tête elle se penche en avant et reprend mon sexe en bouche. J'étais tellement excité que ce dernier avait à peine dégrossi et une goutte de sperme perlait même au sommet du gland. C'était tellement agréable que je sentis que je n'allais pas tenir très longtemps. J'essaye de prévenir Ludivine mais pas facile d'articuler avec un vagin contre la bouche et mon sexe lâcha un premier jet sans que ma cousine est pue se retirer. Mais au lieu d'avoir un mouvement de recul elle aspira mon sexe comme si c'était une paille et aspira le deuxième jet de sperme. Puis elle continue à tourner avec sa langue autour de mon gland pendant une quinzaine de secondes. Je repris mon souffle et me remis à lécher le vagin collé à mon visage chose que j'avais arrêté de faire pendant mon orgasme. Ludivine commençait à gémir de plus en plus fort et à avoir des mouvements de basin de plus amples ce qui avait pour conséquence que ma langue allait de son pubis à son anus en passant par le périnée. L'alliance de ses caresses sur ma cousine l'emmène jusqu'à la jouissance et dans un râle de plaisir s'effondre sur mon visage. Mon nez pénètre de quels centimètres son anus tandis que ma langue lèche ce qui reste de son nectar sur sa rose. Après avoir repris son souffle elle se relève et remarque enfin ou était logé mon nez

-Alors comme ça tu veux me sodomise avec ton nez

-C'est toi qui t'es effondré sur moi.

-Aide-moi à me rhabiller au lieu de te trouver des excuses

Effectivement elle avait encore une fois besoin d'aide pour faire le nœud de sa robe. Mais je décide d'être pervers et de faire un nœud serré ce qui a pour conséquence de faire sortir un peu plus les seins de son décolleté. Elle n'en dit rien, mais je vois dans ses yeux que ça l'excite aussi. On quitte la clairière en emportant les melons que j'ai failli oublier et rentrons. Une fois arrivé mon père nous dit

-Bas alors vous en avez mis du temps

-Oui il y avait plein de monde répondis-je en rougissant

L'entrée étant arrivée nous passons à table. Et je passe le repas avec le pied de Ludivine qui est en face de moi qui me caresser l’entre-jambes avec son pied tout au long du repas. Puis le repas se termine et mes oncles et tantes partent les unes après les autres.

Puis c'est au tour de Ludivine et ses parents de partir. La bise de Ludivine se finit au coin de mes lèvres

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