Atteindre le 7eme ciel

4 minutes de lecture

Anaïs se réveilla plus tard sous les tendres baisers de Maud. Elle était dans la même position que quand elle s’était endormie, enlacer l’un contre l’autre Anaïs avec encore ses bottines aux pieds et la culotte au niveau des chevilles. Elle se défie de l’étreinte de Maud pour enlever c’est chaussure et sous-vêtement puis retourna dans les bras de la belle rousse. Elles continuèrent donc à s’embraser tendrement et à se caresser les cheveux, les joue, les seins, le creux des reins sans jamais aller plus loin. Tous étaient dans la tendresse et Anaïs en viens à se demander comment la femme qui se trouvait en face d’elle avait pu être aussi sauvage dans l’acte et qui était à présent d’une douceur infinie. La tigresse était redevenue un mignon petit chaton roux. Mais l’heure tournait et déjà il fallait qu’elle parte. Elle se rhabilla sous les yeux noisette qui auraient voulu profiter du spectacle plus longtemps. Puis elle reprit le chemin de sa maison. Sur le chemin elle envoya évidemment un message à Maxime. Quand Anaïs arriva chez elle, elle constata que le chef des travaux était déjà là et discutait avec ses parents. Après les derniers préparatifs ils donnaient les clefs à l’ouvrier ensuite ils prirent le taxi qui venait juste d’arriver pour aller à l’aéroport. Ils prirent un premier vol de 45 minutes pour atteindre paris puis de paris atteindre l’ile de la réunion. 11 heures de vol. Anaïs qui avait bien dormi après avoir joui avec Maud sentait que le voyage allait être long. Seuls points positifs les hôtesses semblent être sympathiques. Ensuite Anaïs se mit à feuilleter un magazine sur ce qu’il fallait visiter. Elle ne s’intéressait pas tellement à ce qu’elle pouvait faire ses parentes ayant déjà organisées toutes les sorties en lui demandant son avis à elle et à Laura. Non elle comprit qu’elle feuilletait ce magazine pour voir ce que l’ile pouvait regorger comme beauté. Mais pas les beautés de la nature mais plutôt les hommes et les femmes. Elle sentait qu’elle allait employer la plupart de son temps libre à flirter. Les braises encore ardentes de ces baisers avec Maud se ravivaient. Le simple faite de s’imaginer se masturber dans un avion transformait ses braises en brasier dévorant de désir. Elle se dirigea donc vers les toilettes pour soulager son envie. Mince cette dernière était occupée idem pour les deux autres toilettes de l’avion. Pas grave, elle allait attendre. Maintenant qu’elle avait eu cette idée elle ne pourrait plus se l’enlever de la tête. Elle vit alors une hôtesse s’approcher.

-Y a-t-il un problème mademoiselle ?

-non je veux juste aller aux toilettes mais elles sont toutes occupées alors je dois attendre

L’hôtesse semblait embarrasser après quelle que seconde de réflexion cette dernière lui demanda de la suivre. Elle l’entraina derrière une porte puis après un escalier se trouva devant ce qu’elle devina être la salle de repos du personnel et des toilettes.

-voilà si vous avez besoin de moi je serais juste à coter

-merci

Zut elle ne pouvait pas se masturber alors qu’elle était juste à coter. Et maintenant qu’elle était là elle ne pouvait plus faire marche arrière. Après avoir évacué les quelques goute d’urine que sa vessie contenait. Elle sortit donc des toilettes.

-vous avez déjà fini

-oui dit timidement Anaïs

-impossible dit l’hôtesse avec un sourire je n’ai rien entendu

-je suis discrète dit la jeune avant de rougir en se rentent compte du double sens de la conversation

-vous êtes vraiment doué alors

Leurs derniers vêtements volaient à travers la pièce alors que deux mains partaient à la rencontre de deux clitoris gonfler de plaisir tandis que plus aux quatre lèvres se retrouvait. Les doigts d’Anaïs furent les premiers à entrer dans le sexe de l’autre. Mais bientôt deux doigts allèrent se loger dans sa vulve suivit par un troisième que l’ainé osa mettre en voyant qu'Anaïs mouillait très fortement. Les trois doigts trouvèrent le point G, il n’en fallut pas plus pour qu'Anaïs se cabre et que deux jets de plaisir aillent mouiller encore plus le vagin de sa partenaire. Mais cette fois après son orgasme elle était encore en pleine possession de ses moyens alla à la rencontre de la source du plaisir de cette autre femme pour goutter directement à la source. Anaïs adorait le gout de leurs plaisirs mélangés. Tandis que sa langue virevoltait sur le clitoris ses doigts essayaient de parvenir à toucher la zone responsable de sa propre jouissance sans y parvenir, mais elle arriva quand même à provoquer l’orgasme de sa nouvelle conquête. Malheureusement toute deux savaient qu’elles ne pouvaient pas rester ainsi et ici, décidaient de s’habiller et de retourner à sa place pour l’une et à son poste pour l’autre. Néanmoins en se rhabillant Anaïs constata qu’elle ne trouvait plus sa culotte. Elle en fit part à sa camarade qui lui annonça que si elle la retrouvait avant la fin du vol elle essaierait de lui rendre discrètement. En revenant à sa place elle arriva en même temps que sa mère. Aucune des deux n’envisager qu’elle venait toutes les deux de faire l'amour avec une hôtesse de l’air. La mère était encore plus loin de s’imaginer qu’elle avait favorisé cette relation sexuelle en s’enfermant dans des toilettes sous l’œil bienveillant de l’amante d’Anaïs qui avait écarté la personne qui voulait aller aux toilettes pour que cette dernière ne tombe pas sur les deux femmes qui seraient sortie de la même cabine

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 2 versions.

Vous aimez lire Kyki ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0