« Réveille-toi » Pleura Léo.

« Laissez-là, elle est dans un mauvais état jeune homme. »

« Je sais mais on a traversé tellement d’épreuves tous les deux. »

« Mais … elle est Juive. »

« On s’est échappé du camps. »

« Et vous ? »

« Je suis le fils d’un Nazi mais c’est intolérable leurs haines. Je suis dans le bon camps justement. »

« Vous avez fuis quand ? »

« Cet Hiver. »

« Vous êtes des courageux. Je comprends mieux votre situation. » Affirma l’infirmière.

Léo pleura et baissa sa tête.

« Vis putain ! »

« Pourquoi êtes-vous ici ? »

« On cherchait la liberté hors de cette terrible guerre. »

Léo sortit de la pièce tout de même assez inquiet.

Il culpabilisa sur ce voyage, sur ces épreuves passés.

La vieille femme revînt vers lui.

« Je m’appelle Lily. J’ai appris cela donc je me suis déplacée. »

« C’est gentil. »

« J’espère qu’elle va vivre. »

Le commandant Liedman revînt en Allemagne pour parler au troisième Reich.

« C’est une victoire pour nous. »

« Fêtons ça mon ami avec deux verres de vins. »

« Très bien chancelier. »

« Avez-vous aussi tué le garçon ? »

« Non ! »

« êtes vous un imbécile ? Vous revenez juste pour la fille ! Vous faites honte. »

Puis Liedman sortit son flingue et pointa vers le Reich.

« Ne jouez pas avec moi. » Ordonna le commandant.

« Baissez votre arme immédiatement ! »

« Jamais ! Vous m’avez promis si je réussissais cette mission. »

« C’est trop tard, le mal est fait. »

Puis des soldats taclèrent le commandant et le tuèrent.

« Enlevez-moi ce corps. »

Le Reich remit sa cravate comme il faut.

« Quelles bandes d’incompétents. »

Il décida d’envoyer un raid armés en Amérique assez fous et menaçant.

Il montra la photo des deux suspects Léo et Natasha.

« Je les veux mort ! »

« à vos ordres. »

« Ne me décevez pas. »

J’étais toujours à l’infirmerie, yeux fermés. Léo perdit patience.

Il eut un message de son oncle.

« Le Reich a envoyé une armé à vos recherches, reste prudent. Pourquoi as-tu basculé à l’autre camps putain ? »

« Mon oncle, je voulais être libre. Mon père était trop dur et cette guerre sans intérêts ... »

« Il y a encore des morts, les juifs sont des voleurs et tu le sais ... »

« Tu crois tout ce qu’on te raconte mon oncle ? »