Chaleur tropicale dans un pays tropical. Chaleur humide sur son corps encore humide de l’eau de mer. Les nuages gris au loin l’incitent à rentrer à l’abri malgré le ciel bleu azur au-dessus de sa tête.

Elle se sèche un peu sur sa serviette avant d’enfiler sa robe blanche à petites fleurs bleues. Le soleil caché par un nuage lui signifie l’heure de quitter le sable pour longer la route qui va la conduire jusqu’à son hôtel. Dix minutes à déambuler en tongs et savourer ce paysage de cocotiers.

Le soleil a disparu sous la grisaille du ciel, arrivée bien plus vite et tirant sur le noir plus que le gris clair. Difficile d’accélérer le pas avec ses chaussures de touriste farniente.

Une première goutte à mi chemin … elle ne devrait pas être trop mouillée à l’arrivée. Et puis la chaleur ambiante ne va pas la rendre malade de toutes façons. La pluie devient diluvienne en quelques secondes. Son pas ralentit par la lourdeur de la robe trempée.

Enfin dans le hall de l’hôtel. L’agent de sécurité lui tend une serviette mais son regard lubrique l’interpelle.

Mais évidemment sa robe est devenue translucide et ses seins froids sont deux jolis globes ornés chacun d’une pointe en direction de l’agent de sécurité. Non pas qu’il n’en a jamais vus, mais il est certain qu’il en voit peu … L’hotel n’autorise pas les seins nus même au bord de la piscine.

Elle se sèche déjà le visage et les cheveux pour éviter de couler encore sous cette eau amassée dans sa chevelure en liberté. Elle sait qu’elle doit faire plus encore niveau absorption de l’eau sinon elle va être suivie à la trace jusque sa chambre.

La serviette sur ses épaules glisse sur ses seins et son ventre par dessus sa robe. Là elle réalise que son bikini doit révéler une bonne partie de ses fesses. Elle demande au surveillant si elle peut se mettre dans son bureau pour éviter de s’essuyer plus ou moins intimement dans le hall d’accueil. Il acquiesce dans un large sourire et lui ouvre la porte pendant qu’elle sent dans son dos une paire d’yeux rivés vers le bas.

Elle tente de soulever sa robe pour essuyer son entrejambe mais elle est vraiment lourde d’eau. Elle a toujours la porte dans le dos et ignore où est l’homme sécurisant et si la porte est fermée. Mais elle commence à frissonner et entreprend d’ôter cette robe. Le bikini ficelle comme seul élément sur le corps, la serviette commence son ballet juste au moment où le bruit de la porte qu’on ferme à clé se fait entendre. Elle n’a pas le temps de se retourner qu’elle sent deux mains chaudes empaumer ses seins durs et transis par le froid. À cette chaleur déjà réchauffante s’ajoute celle que tout son dos ressent … il a pris le temps d’ouvrir sa chemise … oubliant les gouttes d’eau qui jonchent le sol… ah visiblement il a pris le temps aussi s’ouvrir son pantalon. Il la penche en avant, délace les noeuds de son bikini avant de lui saisir la croupe et frotter son sexe entre ses fesses. Cette situation imprévue et provocante les excite tous les deux au point qu’il ne faut pas longtemps pour que Monsieur entre dans l’orifice de madame. Elle ne sait contenir de petits cris qu’il retient en la bâillonnant de sa main droite pendant que la gauche la fesse. Des coups de reins lents rapides lents pour une prise rapide et un plaisir intense. Il exulte dans un râle expressif mais presque silencieux.

Elle est de nouveau humide mais réchauffée. Elle achève son séchage pendant qu’il reboutonne tout. Et lui annonce terminer son service dans 10 minutes et qu’il est disposé à la rejoindre dans sa chambre sous une douche bien chaude. Voilà comment un simple orage d’un voyage touristique a fait qu’elle n’est plus jamais rentrée au pays.

Rêve ou réalité ? Réalité ou fantasme ? À faire ou à refaire ?

La suite sous la douche …

jFA