Destinée quand tu nous tiens
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Destinée quand tu nous tiens, y a t-il de l’espoir ?
Ni les astres du lointain, ni les étoiles du soir
Ne savent ce qu’est demain, et seul le hasard
Est ton rival ici bas, car grand est ton pouvoir !
Chaque pas que j’avance sous ton oeil avisé
Je m’en remets à la chance, Ô cruelle destinée
Je ne sais ni à l’avance ni ne saurais jamais
Quels sont tes desseins, quels sont tes projets !
Car c’est au-delà des cieux et des blancs nuages
Que préside en son lieu sans aucun partage
Que réside en seul dieu le père de tous les âges
Le destin nous frappe bien plus souvent que l’orage !
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