La discotel

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Après une soirée de folie avec mes amis, je rentrais chez moi en fredonnant un titre dansant. Une fois arrivé chez moi, je me fis une camomille pour être sûr de bien dormir cette nuit là. Une fois ma camomille prête, je l'emmena avec moi jusqu'à ma chambre. Je la bue tout en lisant mon livre du moment avec un fond sonore. Une fois ma tinase finit, je la déposa dans la cuisine et je m'endormit.

Peu de temps après avoir fermé les yeux, j'entendis une lointaine musique que je pu reconnaitre entre mille. C'était celle que je fredonnais en rentrant chez moi quelques temps auparavant. Je décida donc d'ouvrir les yeux. La lumière m'éblouit un instant. Une fois mes yeux habitués à la lumière, j'aperçus un plafond inconnu. Il était bleu pâle. Des moulures entouraient les angles entre le plafond et le mur. Les murs étaient recouverts d'une tapisserie semblant être faite d'or. Le lit sur lequel j'étais allongé pouvait acceuillir deux personnes et était revétit d'un matelas moelleux recouvert d'un drap de soie beige. Quatres montants de lit partaient des angles. Ils étaient fait de chêne. Ils brillaient de milles feux à cause de la lumière de l'ampoule qui se reflétait sur le vernis qui enveloppait le bois. En me levant, je fus pris d'un mal de tête horrible. Une fois que la douleur fut passée, je remarquais le sol. Il était vêtu d'une épaisse moquette bleue roi. Je relevais ensuite ma tête et je contemplais un immense miroir qui me reflaitait. J'étais revêtu d'une simple tunique blanche à broderies beiges claires. Elle était associée à des pantoufles qui recouvraient mes pieds. Alors que j'admirais mon reflet, j'entreperçus derrière mon reflet des habits propres. Un pantalon noir, un t-shirt blanc et un blouson de cuir étaient posés sur une chaise. Je décida de les mettre pour poursuivre la découverte de cet endroit en étant habillé convenablement.

Après mettre changé, je balayais une dernière fois la chambre des yeux. J'ouvris la porte et atteris dans un long couloir dont le bout menait à des escaliers descendant je ne sais où. La musique dansante que j'entendais encore venait apparement de l'étage du dessous. Je m'aventurais donc dans ce couloir pour suivre la musique. Les murs étaient recouverts de la même tapisserie que la chambre que je venais de quitter.

Une fois ces escaliers descendus, j'arrivais dans un gigantesque hall où une folle agitation reignait. Des grooms couraient dans tout les sens et des visiteurs habillés somptueusement regardaient, émerveillés, l'espace tout autour de nous. En effet, le sol était fait d'un simple moquette douce et légère d'un bleu roi. Le plafond était très haut et présentait les mêmes moulures que la chambre que j'avais quitté précédement. Le long des murs, des banc en velours du même bleu que le sol décoraient la salle. Au fond du hall se trouvait un grand comptoir où des employés habillés des mêmes habits, servaient les visiteurs. Ils leurs donnaient des clefs qu'ils prenaient d'un panneau derrière eux où plusieurs autres clefs étaient exposés. Lorsqu'un groom passa devant moi, je l'interpela en lui demandant :

- Excusez moi.

- Oui monsieur Durand ? me demanda-t-il d'une voix aigüe et pressée.

Entendre mon nom me choqua et je le regardais perplexe.

- Où sommes nous ? le questionnais-je une fois que j'eu repris mes esprits.

Il me regarda, abasourdi par ma question qui lui paraissait d'une idiotie absolue.

- Mais nous sommes au célèbre discotel bien sûr ! L'hotêl le plus réputé de ce pays, me rétorqua-t-il. Vous avez besoin de quelque chise d'autres monsieur Durand ? m´interrogea-t-il avec un air soupçonneux.

- Non non, tout va bien merci.

Il repartit donc à ces occupations, me laissant perplexe. J'étais dans un hotel ? Le discotel ? Je n'en avais jamais entendu parler... Je décida donc de poursuivre mon exploration de cet hôtel pour savoir d'où venait la musique que j'entendais toujours.

J'arrivais dans une salle, après avoir traverser un long couloir, qui ressemblaient bizarrement à la discothèque que j'avais quitté, quelques heures plus tôt, avec mes amis. Des gens bougeaient sur la musique tandis que d'autres étaient attablés à des tables et au bar. Il y reignait une grande chaleur. Je me dirigea vers le bar.

- J'aimerais de la bière blonde s'il vous plaît, demandais-je au barman.

Il me l'apporta et je la bue d'un seul coup. Je lui en redemandais une autre que je bue de la même façon. J'enchainais ainsi, bière sur bière, alcool sur alcool. Je finis vite soûle. Mes sens étaient troublés par l'acool circulant dans mon sang mais ça ne me dérangeais pas, je me sentais même très bien. Je n'avais plus jamais envie de quitté cet endroit. Le temps passa ainsi, et je revenais chaque jour. Les jours se transformèrent vite en semaines, puis en mois, et enfin en année. Je ne m'en apercevais pas, je ne semblais pas vieillir. J'avais perdu la notion du temps. Mais, je ne voulais pas repartir...jamais.

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