Chapitre 11 : Dalvos

7 minutes de lecture

Je tressaille, même si je ne peut les voirs. Je sent la présence de plusieurs personnes perché en auteur. L'un d'eux déclare d'une voix ferme.

— Merci Lind'ha, laisse nous seul je te prit.

Ainsi la femme s'appelle ainsi. Quand elle sort, je commença à avoir peur. Elle était mon seul soutient dans cette endroit.

Plusieurs minutes passent sans que personne ne prononce le moindre mot. Seul de léger bruit de grattement me parviennent.

Quand le silence revient et que les grattements cessent. Un homme prend la parole.

— Bienvenue au palais de Dalvos. Nous allons te poser plusieurs questions afin de savoir si nous pouvons te faire confiance est tu prête ?

— Oui monsieur. Je répondit après avoir dégluti avec difficulté.

— Très bien, comment t'appelle tu ?

— Je suis Maéris.

— Sais tu ce qu'est Dalvos ? Me demanda une deuxième personne situé à la gauche du premier d'une voix calme.

— Non monsieur, cela ne me dit rien. Répondit-je le plus sincèrement possible.

— Alors que fait tu là ? Demanda quelqu'un situé derrière moi en auteur ce qui me fit sursauter.

Je leur relata alors tout ce qui c'était passer depuis que Ulfric m'avais demander de le rejoindre à la sortie de ma ville.

Je sentit soudainement une tension palpable à travers la salle. Le premier homme reprit la parole.

— Donc si je récapitule, tu es une marqué et une ennemie de Ulfric c'est bien cela ?

— Oui monsieur, cette homme m'a enlever tout ce qu'y me tenait à cœur. Ma famille doit me croire morte à l'heure qu'il est.

— Cela pourrai t'offrir une place parmi nous cependant, en t'enfuyant de ses mains et en nous rejoignant, tu à peut être commit une faute grave qui pourrai tous nous mettre en danger.

Une voix situé à ma droite prend alors la parole.

— Elle ne le savait pas, la faute serai plutôt pour Lind'ha. Mais jamais elle n'aurai laisser quelqu'un qui avait besoin d'aide. Et vous savez à quel point Lind'ha sais reconnaître une bonne personne. Ayez confiance en elle.

Plusieurs voix autour de moi acclament sa décision. Celui qui semble être le plus important du groupe réclame alors le silence et dit solennellement.

— Maéris si tu souhaite rejoindre notre communauté, je te demande de lever la main droite et de la pointé vers le cœur de la statut poser derrière toi en jurant fidélité à notre ordre.

Je reste immobile et celui-ci ne semble pas comprendre immédiatement. Ce ne fut qu'après quelques secondes qu'il comprit son erreur et s'excusa.

-Oh, je suis désolé. J'avais oublié. Je pense que nous pouvons passer cette partie pour cette fois. Maéris, jure tu fidélité à notre ordre et de ne jamais nous trahir. Jure tu de vouloir vaincre Ulfric plus que tout. Accepterait tu de perdre la vie face à lui ?

Je ne prit même pas le temps de réfléchir, ils m'offrait une occasion de me venger ainsi qu'un endroit ou vivre sans crainte et une protection.

— Je le jure, je me battrait jusqu'à la mort si il le faut, pour voir sa tête séparé de son corp.

— Alors te voilà officiellement citoyen de Dalvos. Je croit que Lind'ha t'attends devant la porte, rejoins là. Et j'espère que tu te plaira ici.

Souriante, je me dirige vers la porte et la pousse. Aussitôt j'entends la voix de ma nouvelle amie.

— Alors comment sa c'est passer ?

— Ils ont dit que j'étais maintenant une citoyenne de Dalvos.

Elle semble folle de joie, elle vient juste de me rencontrer et pourtant j'ai l'impression qu'elle c'était réellement fait du soucie pour moi.

— Bon et bien maintenant tu peut me poser toutes les question que tu veux.

Un tas de question se bousculent dans ma tête, mais elles étaient toute lié à l'endroit où nous étions alors je décide de commencer par celle-là.

— Où somme nous ?

— Si il y à bien une raison pour laquelle je pourrai plaindre une non voyante sa serai bien celle-là. Nous nous trouvons à l'intérieur d'une grotte. Nous avons construit une ville à la force de nos mains et celle-ci est caché aux yeux de tout les intrus. Avec la magie de nos quelques sorcier, nous avons lancer un sortilège afin de l'éclairer du mieux possible. Nous sommes environs huit-cents mètre plus haut que le point le plus bas de la caverne. Les routes sont en faite des ponds joins par des escaliers. Ne t'en fait pas tu ne risque pas de tomber. Des sortilèges protègent les rebord pour que personne ne tombe. En tout cas d'ici la vue est ...

— Magnifique. La coupais-je en imaginant les lieux. Ce doit être si beau.

Je commence à regretter d'avoir poser cette question alors pour penser à autre chose je lui en pose une autre.

— Quel est cette endroit, pourquoi il y à t-il un entretient avant d'être accepter ? Est-ce une sorte de secte ?

Elle explose de rire ce qui commence à me faire douter de la santé mentale des habitants de cette ville.

— Non ça n'a rien à voir, nous sommes un groupe de rebelle qui c'est agrandis au fil des années afin de vaincre Ulfric et son armée. La ville à été fondé il y a vingt ans. Au début il ne s'agissait que d'un simple feu de camp avec différente tentes autour. Mais il y a quinze ans, une armée entière à fait son entré ici et ensemble nous avons construit la ville dans lequel tu marche actuellement.

— Dans quel camp êtes vous exactement ?

Elle prend un moment pour réfléchir à la question. Pendant ce temps j'entends des voix de marchands vantant leurs produits.

— Et bien nous sommes le camp des rebelles. Nous agissons de notre propre chef. Mais il est vrai que nous formons une alliance avec le clan Néo. Même si nous avons quelques petits secret envers eux également.

— Quel genre de secret ? Demandai-je intéressé.

— Les maîtres t'en parlerons quand le moment sera venu. Pour l'instant ne te préoccupe pas de sa et ne lâche pas ma main. Tu dormira chez moi d'accord ?

Je ne sus comment la remercier pour cette attention. Alors je lui répond simplement.

— Oh oui, cela me convient parfaitement. J'espère simplement que je ne te dérange pas.

— Mais non ne t'en fait pas. Au contraire, tu me tiendra compagnie.

Je souris. Enfin je suis en sécurité.

Tout à coup je sursaute. Je remarque que la marque verte est apparu à une vingtaine de mètre devant moi. Je m'attends à entendre des cries de tout les côtés mais aucun ne vient. Je cherche alors la marque grise du regard et me rend compte qu'il se trouve à un étage inférieur. Il ne semble pas avoir bougé.

Comment peut il être apparue ainsi devant moi. Se serai t-il téléporté ? Peut être est-ce là sa capacité.

Je continue de me demander pourquoi personne ne semble le remarquer quand il s'arrête soudainement à seulement un mètre de nous. Je sursaute à nouveau quand il commence à parler.

— Bonjour Lind'ha. Comment va tu ?

— Très bien et toi Rizes ?

— Pas mal, je me remet à peine de la blessure que le jeune scellé m'a faite.

— Tu sais bien que sa aurai pût être pire. Tu à plutôt eu de la chance. Sa t'apprendra à te battre pour t'amuser.

Il me semble l'entendre rigoler mais je ne suis pas sur que le rire vienne réellement de lui.

— Bon Lind'ha, ce n'est pas l'envie de te parler qui me manque mais les maîtres m'ont demander de passer. Et tu les connais, je n'ai pas intérêt à arriver en retard. À plus tard.

— À plus tard.

La marque reprit alors sa route en direction du bâtiment que nous venons de quitter.

Hésitant à poser la question, je fini par le faire en pensant qu'ils pouvais ne pas être au courant de sa nature.

— Qui était cette homme ?

— C'est Rizes. L'un des trois grand chef de guerres rebelle.

— Est-ce que vous êtes au courant ... Que c'est un marqué ?

Je la sent tressaillir à côté de moi. Ainsi j'avais vue juste, il ne leur avait pas dit toute la vérité.

— Comment sais tu cela ? C'est une information secrète. Me dit elle en parlant vite mais d'une voix faible.

Je lui rappel alors le pouvoir de mes yeux. Lui rappelant que ma cécité n'est pas dut à rien du tout.

— Ah oui ... Écoute, quelqu'un de marquer n'est pas très bien vue dans le coin. Alors je te prierai de ne parler de sa à personne. Ne parle ni de sa marque, ni de la tienne ni de celle de personne d'autre d'accord ?

Elle avais d'abord semblé sévère mais sa voix prit au fur et à mesure qu'elle parlait un thon plus inquiet.

— Promit, je garderai cela pour moi.

— Aller viens, je vais te faire découvrir ta nouvelle maison.

Elle me conduit ensuite jusqu'au escaliers qui relie les différent ponts et m'en fait descendre quelques-uns avant de reprendre une petite ruelle.
En seulement quelques minutes, nous arrivons face à une maison qui semble assez petite mais largement assez grande pour y vivre.
Elle pousse la porte et m'invite à y entrer. Elle me tient ensuite la main pendant qu'elle me fait faire le tour de la maison ce qui me gène mais que je sais nécessaire.

Après avoir fait le tour de la maison elle me mène jusqu'au lit qui me sera dédié et sort. Me laissant seul dans ma nouvelle chambre.

Je ne sais quel heure il est mais je me doute qu'il doit être assez tard. Alors je m'allonge et souris en plongeant dans le pays des songes, là ou je rêve d'un monde coloré.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 2 versions.

Vous aimez lire Nicolas V Oswald ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0