Chapitre 2 : Le rêve

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Je pénètre lentement dans le château du seigneur Almir. Sa demeure est dressé au centre de la ville et se tient sur le point culminant. La couleur principale de la demeure est le jaune, la bâtisses est faites de plein de relief qui donne une impression de domination.

La vue de l'intérieur est tout aussi belle mais bien plus surprenante. Des plantes se trouves dans tout les couloirs. Il n'y à pas de fenêtre, simplement des trous qui laisse passer la lumière et l'air frais.

Cela n'est peut être pas intelligent pour la sécurité mais puisque le pays n'a jamais connue de guerre, seul un étage secondaire est prévu pour la sécurité dans le cas où quelque chose ce passerai.

J'aperçois deux gardes sur l'un des nombreux banc en bois disséminé partout dans le château en train de jouer à un jeu de plateau que je ne connais pas.

Je continue à avancer dans le large couloir en direction de la salle principal. Il s'agit d'une salle circulaire très lumineuse ou le seigneur passe la plupart de ses journée, il y est avec toute sa garde et des proches à lui. Des piliers sont poser en cercle se rejoignant au centre de la pièce et supportent un lustre d'une beauté resplendissante. Un large tapis d'une couleur bleu ciel recouvre le centre et des fauteuils blanc sont répartie un peu partout dans la pièce.

Le seigneur Almir est quelqu'un de très puissant, non seulement car il est le souverain des elfes depuis de très longues années, mais aussi car il a su gagner le respect de son peuple par sa dévotion envers eux. Il ouvre son château à tout ceux qui le demande et accepte même de recevoir des gens sans le moindre sous qui vivent dans la crasse afin de leur offrir de l'or et de la nourriture.

J'avance a l'intérieur du couloir et y aperçois la porte que je cherchais, une grande porte de couleur bleu clair derrière laquelle se trouve la salle de repos. J'entre donc dans la salle ou je suis certain de trouver le seigneur et en effet je le voie, assis dans un des fauteuils sirotant une boisson bleu turquoise. Il est en train de discuté avec plusieurs gardes et sa femme. Tout à coup je l'entends éclater de rire, un des gardes vient de raconter une blague hilarante. Souriant, je m'approche de lui.

- Darick, comment va tu ? S'exclame t-il en me voyant.

- Bien merci et vous mon seigneur ? Lui dit-je poliment en baissant les yeux.

- Très bien mais je t'ai déjà dit de me tutoyer, on se connaît depuis si longtemps.

Soupirant une dernière fois je lui dit simplement.

- Tu a demander à me voir ?

Il se lève et commence à faire les cents pas devant moi. Je le vois serré les doigts comme s'il était stressé.

- Oui, je voulais simplement te dire de faire très attention à toi lors-ce-que tu sortira. Tu sais en ce moment, je sent une menace peser sur nous tous, dit il alors que son visage prend une expression horrifié.

Jamais je n'aurai penser qu'il me ferait venir pour une raison comme celle-ci. Je pensait plutôt qu'il allait me demander d'aller passer une commande d'arme pour le forgeron.

- Est-ce que tu me demande de rester dans l'enceinte de la ville ?

- Non, je te demande simplement de faire attention. Et surtout ne va pas dans la foret une fois la nuit tombé.

Il semble un peu stressé mais un sourire fini quand même par se ce dessiné sur le visage.

- Ne t'en fait pas, ce n'est sans doute rien. Juste une intuition.

- Je ferai attention c'est promit. Je préviendrait également Aria.

- Très bien Darick, merci à toi d'être venu, me dit-il en me faisant une accolade.

- C'est normal, je suis un soldat à ton service après tout.

- Oui mais tu es avant tout le fils de mon frère. Peut être même le futur roi qui sais.

- Non ça c'est impossible. C'est ton fils qui sera le roi et moi je serai juste bon à le laisser me marcher dessus. Et puis de toute façon contrairement à vous tous, je ne suis qu'un humain. Je mourrai bien avant toi.

- Ne dit pas de telle chose s'il te plaît. Aller je te laisse, amuse toi bien.

Je souris en le voyant retourné aux côtés de sa femme Daphtéa. Il attrape son verre alcoolisé et reprend sa conversion comme s'il n'avais pas eu besoin de la coupé. Pendant ce temps je rejoins un groupe de garde, ils sont tous en train de jouer aux cartes. Je m'installe à leurs côtés et commence une partie où je me fait littéralement humilié.

- Tu es peut être bon au combat mais regarde qui fini dernier en jouant au cavalier.

Je souris puis lui dit calmement en le regardant dans les yeux.

- Tu n'a plus qu'à espéré que nos ennemies accepterons de se battre aux carte.

Lui et tout ses collègues explosent de rire et me regarde en souriant.

- Enfin un jeune qui a de la répartie. Tu veux en refaire une ? me demande il d'une voix amicale.

- Non désolé, je doit rentré chez moi. J'ai quelque chose à faire demain et j'aimerai me lever tôt.

Ils me saluent une dernière fois et retournent à leur jeu en rigolant et buvant leurs étrange boisson bleu.

Je sort du château, rebroussant chemin jusqu'à chez moi. Je repense à ce que Almir m'a dit. N'importe qui ne prendrais pas au sérieux son avertissement, mais moi, je le connais depuis tellement de temps que je sais que je doit faire attention.

Je me questionne pendant tout le chemin sur la nature de l'avertissement avant de me laisser tomber lourdement sur mon lit et je m'endort paisiblement.

Je courre depuis une dizaine de minute. À bout de souffle, une odeur de sang m'emplit les narines, je sent un point de côté me provoqué une douleur folle mais je ne m'arrête pas de courir. J'entends de nombreux bruis de pas derrière moi. Quelqu'un cris mon nom, allié ou ennemie, je n'arrive pas à le discerné. Au bout de quelque minute je n'entend plus de pas. J'observe donc autour de moi en me demandant où je suis arrivé. La vue qui s'offre à moi m'éblouis. Je me trouve en haut d'une grande vallée. J'aperçois au loin une large forêt, une cascade se déverse dans un lac situé au beau milieu de la vallée. En levant les yeux, j'aperçois alors pour la première fois de ma vie un dragon. D'une trentaine de mètre de long il vole, les ailes grandes ouverte. Ses magnifiques écailles blanche me laisse sans voix. Il se pose doucement près du lac et commence à boire. Quand tout à coup, il tourne la tête vers moi et me parle d'une voix féminine.

- Aller Darick réveille toi.

J'ouvre lentement les yeux, essayant de retenir chaque moment de ce rêve. Voyant encore le dragon entrain de boire. Je décide enfin de regarder la personne qui m'a réveiller et je vois Aria un sourire au lèvres me tendre un verre d'eau.

- Alors bien dormit ? Tu marmonné dans ton sommeil.

Ne supportant plus sa manière de m'agresser dés le réveil, je lui lance le contenu de mon verre au visage.

Elle reste choqué, la bouche grande ouverte et le visage dégoulinant. La voir comme sa me provoque un étrange sentiment de satisfaction.

- Merci de m'avoir réveiller et merci pour le verre d'eau. Tu veux venir avec moi aujourd'hui ?

- Non désolé, j'ai prévu de m'entraîner durement, je te battrait ce soir.

- C'est beau de rêver. Aller à ce soir Aria.

Elle repart en direction du château et moi je me laisse lourdement retomber sur mon oreiller, repensant au rêve de cette nuit. Il avait eu l'air si réelle que j'avais réellement crut y être.

Je sort de chez moi avec mon sac sur les épaules contenant une corde, un couteau, une pierre de feu, une couverture, des bandages, une gourde et de la nourriture séché. Je marche sur la grande allée en direction de la porte nord. Les passant me font signe quand ils me croisent et je leur souris, les elfes me considèrent comme l'un des leurs depuis toujours. Il s'agit d'un peuple vraiment très ouvert d'esprit et jamais je ne pourrais imaginé ma vie loin d'ici. J'ai l'impression de connaître tout les habitant d'Efuran et je donnerai ma vie pour eux tous.

Alors que je marche en direction de la sortie de la ville, j'aperçois au loin au dessus de la foret un groupe d'oiseau s'envoler en très grand nombre. Certain petit et d'autre beaucoup plus gros.

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