Prologue :

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Je me réveille en sursaut, une succession de bruit sourd semble être la cause de ce réveil brutal. Je me lève en sursaut en entendant des cris apeuré. Ma paralysie soudaine laisse place à une grande frénésie et je saute hors de lit puis me dirige face à la fenêtre afin de voir les flammes qui dévorent le royaume d'Ambria.

Les soldats ce déversent dans les longues rues. Le sol est taché du sang d'une centaine d'autre soldat. Des cries résonnent dans la nuit lumineuse. Il me semble que toutes les maisons sont fermé et je parviens à discerné quelques silhouettes dans les habitations. Un homme s'avance dans le sens inverse des soldats. La légère brise fraîche s'écrase sur son visage est fait décoller ses cheveux blanc. Son visage est cacher par l'obscurité environnent. Il ignore les cadavres de soldat qu'il piétinent.

Sa longue tenu royale me fait comprendre qu'il ne s'agit pas d'un simple citoyen d'Ambria en pleine révolte.

Je n'arrive pas à comprendre ce qui se passe. Où du moins mon cerveau essaie de l'analyser sous différents angles. Il est impossible que cette homme au cheveux ai pût tuer autant de garde. Il s'agit de l'élite du royaume !

Afin d'en apprendre plus, je descend en courant afin de rejoindre la salle principal du château. La salle du trône. Là ou mon père passe les plus longs moment de sa vie.

Il s'agit de la plus belle salle du château, le trône est surélevé sur une petite estrade. Les couleurs principales sont le bleu et le gris. Des tableaux sont accroché sur un mur et représente chaque précédent roi. En dessous de leurs tableaux se trouve une statut d'une fidélité parfaite.

Quand mon père me vois, il souris afin de me rassurer. Essayant de me faire croire qu'il ne s'agit que d'une petite perte de temps et que tout cela sera bientôt réglé. Mais je n'y crois pas une seconde. Puis alors qu'un calme complet règne dans la pièce, de petit coup résonnent contre la grande porte.

Personne ne bouge, ni mon père, ni les gardes, ni moi. La porte s'ouvre alors doucement et l'homme au cheveux blanc pénètre dans la pièce.

Une horrible sensation d'oppression me prend au ventre. Bien que je ne l'ai pas vue assassiné les gardes. Je sais qu'il l'a fait et que ses capacités sont bien supérieur à n'importe qui d'autre dans cette pièce.

Il lève enfin la tête et pour la première fois je parviens à discerner son visage. Ses yeux sont emplit d'une sérénité absolu et il à le visage tâché de sang.

Sans prendre la peine de refermé la porte derrière lui, il se plante face à nous. Sans prononcer le moindre mot. Sa main férocement serré autour de son épée.

Les deux gardes de mon père s'approche alors de lui, bien que effrayé leurs priorités reste toujours la sécurité du roi. Mais au fond de moi je sais qu'il ne faut pas sous estimé cette personne.

Et en effet une fois les gardes à un mètre environs de leurs cible. Au moments ou ils s'apprêtent à parler. Je voie l'homme lever son arme et lui faire brasser l'air à une vitesse ahurissante. Aussitôt, les deux gardes tombe au sol, la gorge tranché. Après avoir ajouté encore plus de sang sur le visage de leurs bourreau. Mais cela ne semble pas le déranger. Il donne l'impression de ne penser à rien d'autre qu'a ce qu'il est venu faire ici.

C'est alors que je me rend compte que mon père est figé depuis plusieurs seconde, pensant d'abord à de la magie je me met à paniquer. N'aura t-il même pas l'occasion de défendre son trône ? Il n'y aurai pas de perte plus humiliante pour un roi. Cependant je me ressaisit en voyant que la magie n'est nullement en cause. Ses doigts bien que tremblant se pointes en direction du nouveau venu.

-Pourquoi fais tu ça Ulfric ? N'étions nous donc pas camarade ? Hurle mon père en faisant explosé sa colère, ses points se serrent et les veines sur son front gonflent en un instant.

L'ennemi esquisse un sourire avant de lui répondre d'une voix rauque.

-La camaraderie n'existe pas dans la conquête des terres idiot ou seulement de manière temporaire. Tout reviens à celui qui est prêt à perdre le plus. Ou qui l'a déjà perdu.

Il marque alors un temps d'arrêt et je remarque que son regard se perd sur quelque chose que je ne peut pas voir. Comme plongé dans ses pensé, il relève la tête et affiche un visage victorieux tout en dressant son bras armé devant lui.

- Tu es devenu fou Ulfric. Je te conseille de tout de suite abandonner tes plans, quel qu'ils soient. Tu risque de faire quelque chose que tu regrettera.

- Je me moque complètement de tes conseils et de tes idéaux. Je conçois que ma vision du monde ne te plaisent pas. Mais laisse moi te rassuré, tu ne sera plus là pour émettre le moindre jugement Esmond. Je vengerai mon peuple.

Les deux combattants, après un dernier regard remplit de haine pour l'un et de déception pour l'autre, commencent leur lutte acharnée. Les coups d'épée fusent dans tout les sens. Les deux ennemis se prennent un grand nombre de coup sans importance mais la haine et la cupidité les poussent à poursuivre leur lutte. Celle-ci dure un temps qui me paraît infini, quand vint le moment qui changera à jamais le destin de ce monde.

Mon père réussit tout à coup à donner un coup d'épée dans le genoux de son adversaire.

Le seigneur Ulfric tombe en arrière et son visage se décompose de terreur. Il tente même de fuir en rampant. Mais mon père le suis en marchant et le plaque au sol d'un coup de botte. Il pointe alors sa lame au dessus du cœur de Ulfric. Un cercle noir apparaît soudainement derrière mon père. Je sent comme un relent de puissance et de haine remplir la pièce. Une silhouette fantomatique en sort doucement, armé d'une épée noir cranté, il tend son arme et l'enfonce soudainement dans les entrailles de mon père.

Mon coeur s'arrête aussitôt de battre et simultanément, mon souffle s'accélère dangereusement. Je veux crier de toute mes forces mais aucun son ne sort de ma bouche. Mon regard reste fixé sur le corps tombant de mon père dont les yeux sont pointé dans ma direction. Le royaume est décimé. Tout est perdu. Ulfric et l'ombre commencent alors à parler mais je ne peut me concentré sur leur discussion. Je préfère regarder le visage de mon père au sol, les lèvres entrouverte, du sang coule de sa bouche.

Lentement je me dirige vers le meuble situé derrière moi et le pousse machinalement laissant ainsi apparaître un passage secret, je m'engouffre dedans en prenant soin de refermé le passage derrière moi. Je décide de suivre le tunnel jusqu'à atterrir à l'extérieur de la ville. Mais je ne suis pas un lâche. Je compte simplement allé récupéré une arme avant de faire face à Ulfric. En récupéré une devant lui ne m'aurait laisser aucune chance de survie. Il m'aurai tué avant même que j'ai pût en récupéré une.

J'aperçois enfin la lumière produit par la lune et sort doucement du chemin souterrain. Essayant d'être le plus discret possible pour ne pas attiré l'attention de qui que ce soit.

N'entendant presque aucun bruit dans la cité, excepté les pleurs d'enfants et le son du bois craquant au contact des flammes, je me rue à l'intérieur de celle-ci et observe le carnage. Une véritable vision d'horreur se présente à moi, la caserne des soldat ravagé par les flammes, les cadavres de tout les gardes et l'odeur du sang me donnent un haut le cœur. Les flammes continues d'embraser le royaume et leurs chaleurs me lèche le visage. La fumé mélangé à l'odeur du sang fini par avoir raison de mon estomac. Après m'être redressé, je me dirige sans réfléchir vers le corps d'un garde et récupère son épée.

Je sent mon corps bouillir de rage tandis que j'observe ce qui m'entoure et sachant qu'il est la cause de tout ça, je me met à hurler de toute mes forces. Les genoux au sol et les yeux embués de larme. Larme qui ne cesseront de coulé, lors-ce-que le sang d'Ulfric sera versé pour vengé mon père.  

Sans réfléchir, je me dirige devant le château et attend que l'ennemi en sorte.

Celui-ci ne tarde pas à se montrer. L'homme qui a tuer mon père se trouve devant mes yeux. Il semble étonner de me trouver ici, ses sourcils se lèvent en me voyant. Ma rage est tel que je me rue sur lui, avant même qu'il ai pût prononcer le moindre mot, afin de le poignarder avec ma lame. Il dévie mon coup sans difficulté . Il me regarde de haut en bas avant de lancer de sa voix démoniaque.

- Penses tu vraiment pouvoir me blesser ? Tu es si faible. Tu m'as vue assassiner ton père, lui qui semble tellement plus fort que toi. Je vais te tuer et ainsi l'héritier de la couronne d'Ambria ne sera plus. Si tu n'avait pas été aussi cupide tu aurait pût survivre.

- Pourquoi fait tu tout cela ?

Cette question me vient à l'esprit aussitôt, comme pour gagner du temps en attendant d'établir un plan d'attaque.

- Comme je l'ai dit à ton père. Je le fais pour venger mon peuple. Et pour cela j'aurai besoin du plus de pouvoir possible. J'ai commencer par acquérir du pouvoir pensant de longues années, réussir a obtenir le titre de seigneur de fut pas aisé mais j'ai fini par y arriver. J'ai ensuite décidé de commencer ma conquête par Ambria mais sur le long terme, tout le royaume du sud sera à moi. Après cela le royaume du nord pourra reposer en paix.

- Alors vous ne vous en prenez qu'au noble ?

Il hésite quelques seconde, se demandant sans doute pourquoi il prend le temps de répondre à mes questions. Mais il fini par y répondre, pensant que ma fin est arrivé et qu'il ne risque rien à dévoilé ses plans.

- Les nobles y passerons tous en effet. À moins qu'ils acceptent de me faire don de la couronne ou au moins de me prêter allégeance. Je ne ferai de mal à personne d'autre, à moins qu'ils se mettent en travers de ma route évidemment.

- Comment compter vous y arriver ?

- Tu pose trop de question, voyons plutôt comment tu te bat.

Il se rue tout à coup sur moi, levant son épée et l'abaissant dans un geste violent que je parvient tout juste à éviter.

Je sent que la différence de niveau est trop grande. Cette homme a connu bien plus de guerre que ce dont j'ai pût entendre les récits. Je n'ai aucune chance de vaincre Ulfric, mais la rage me pousse à poursuivre le combat. Son rôle de seigneur ne lui a pas était donner à la légère.

J'observe ses mouvements en tournant lentement autour de lui. Guettant le moment opportun pour attaquer. Je me rend compte que son armure étant très fine et son arme très lourde, je pourrai me servir de cela contre lui. Je coure dans sa direction essayant de provoqué une action de sa part, en effet il lève son épée à mi-hauteur et lui fait fendre l'air horizontalement. Je fait un bond en arrière puis une fois le coup passé, l'épée part certainement plus loin qu'Ulfric l'avais prévu. Je lui saute donc dessus en propulsant mon épée au niveau de sa gorge.

Cependant il l'esquive sans le moindre problème, comme si mon épée n'était rien d'autre qu'un vulgaire morceau de bois et qu'il n'avait pas la moindre inquiétude quand à notre combat. J'ai tellement compté sur ce coup que je n'ai pas réfléchit à la suite et c'est une erreur.

La fin du combat se profile quand je voie Ulfric me courir dessus et m'asséner un violent coup de pieds qui me fait lourdement tomber au sol.

Je sais que mon heure est venu, je vais rejoindre mon père. Je profite des derniers battements de mon cœur pour observer ce qui m'entoure. Mon royaume, les gardes, mon père, tout a été détruit par cette homme à l'âme noir. Mais je souris car je sais qu'un jour, quelqu'un nous vengera.

Au fond de moi, je l'avoue, j'espère que Ulfric parviendra à prendre soin des citoyens qui était encore quelques heures avant, les sujets de mon père.

Ulfric se rapproche de moi et d'un coup sec, me saisit à la gorge. Alors que je me prépare à sentir sa main me brisé la nuque, il me soulève simplement. Je me sens m'élever au dessus de sa tête et mes pieds ne touche plus le sol. Il ce déplace lentement en direction de la caserne encore rongé par les flammes et une fois à proximité de celui-ci, il me lance de toute ses force contre la parois en bois de la bâtisse. Le mur ne supporte pas le choc et s'effondre aussitôt ce qui me fait atterrir au centre de la maison. Mon dos tape violemment contre le sol et je ne réussi plus à faire le moindre mouvement, cependant je sent très bien la fumé brûlante qui rentre dans mes poumons. Je sens également les flammes qui murmurent mon nom en s'approchant dangereusement de moi, mon souffle s'accélère en même temps que les battements de mon cœur, jusqu'à se retrouvé collé à mon visage et faire fondre chaque parcelle de ma peau.

Une lumière vive me brûle les rétines, malgré l'obscurité de la nuit. Je me lève en sursaut en entendant des cris apeuré. Je saute hors du lit et me dirige face à la fenêtre afin de voir les flammes qui dévorent le royaume d'Ambria.

Les soldats ce déversent dans les longues rues. Le sol est taché du sang de pauvres citoyens. Des hommes portant un étendard couleur argent, représentant une tête d'ours, avancent lentement vers le château, ignorant les citoyens mort qu'ils piétinent.

Des tremblements se font sentir et se propagent dans mon corps, un simple coup d'œil à la fenêtre de ma chambre me permet d'en comprendre la cause. Des géants du nord se trouvent derrière les murailles et lance d'énormes rochers enflammé sur le château. Le chaos est total. Jamais Ambria n'a connue d'attaque de ce genre. Je courre à vive allure chercher mon père. Mais celui-ci est déjà prêt, entouré de sa garde habituelle formée uniquement de l'élite du royaume.

La salle dans laquelle je me trouve est la plus belle du château, le trône est surélevé sur une petite estrade. Les couleurs principales sont le bleu et le gris. Des tableaux sont accroché sur un mur et représente chaque précédent roi. En dessous de leurs tableaux se trouve une statut d'une fidélité parfaite.

Quand mon père me vois, il me hurle de retourner me cacher quand des secousses se font soudainement sentir de l'autre côté de la porte principal. Voyant des fissures se dessiné sur celle-ci, je courre me jeter derrière le trône de mon père. La porte explose tout à coup et les assaillants pénètrent le château. L'un d'eux est armé d'une longue hache et possède une armure en argent massif. La bataille commence enfin et les soldats des deux camps se jettent les uns sur les autres.

Les trois premières minutes sont les plus sanglantes, presque tout les soldats se font déchiquetés et il fini par ne rester qu'un soldat de notre élite, mon père et le général ennemi. Celui-ci d'ailleurs n'a pas bougé d'un pouce de toute la bataille, la mort de ses alliés le laisse indifférent. Les deux alliés sont essoufflés mais commencent à tourner lentement autour de l'ennemie.

Celui-ci lève soudainement sa hache et la laisse lourdement retomber sur le crâne de notre dernier allié qui ne l'évite pas à cause de la surprise.

Le chevalier d'argent s'arrête et porte la main à son casque avant de le retirer, ce qui dévoile le visage du seigneur Ulfric.

Je vois à l'expression de mon père que la vision du visage de son ancien ami lui fait perdre la tête.

-Pourquoi fais tu ça Ulfric ? N'étions nous donc pas ami ? Hurle t-il en faisant explosé sa colère, ses points se serrent et les veines sur son front gonflent.

L'ennemi esquisse un sourire avant de lui répondre d'une voix rauque.

-L'amitié n'existe pas dans la conquête des terres idiot. Tout reviens à celui qui paye le plus cher. Je suis désolé Esmon mais c'est ici que tu vas mourir.

Les deux combattants, après un dernier regard, recommencent leur lutte acharnée. Les coups d'épée et de hache fusent dans tout les sens. Les deux ennemis se prennent un grand nombre de coup mais la haine et la cupidité les poussent à poursuivre leur lutte. Celle-ci dure pendant plus de trente minutes, quand vint le moment qui changera à jamais le destin de ce monde.

Mon père réussit tout à coup à donner un coup d'épée dans le tendon de genoux de son adversaire.

Le seigneur Ulfric tombe en arrière et son visage se décompose de terreur. La lame de mon père pointe au dessus de son cœur. Mais c'est ici que le moment fatidique arrive. Un cercle noir apparaît derrière celui-ci, une silhouette fantomatique en sort doucement, armé d'une épée noir cranté, il tend son arme et l'enfonce soudainement dans les entrailles de mon père.

Mon coeur s'arrête aussitôt de battre et simultanément, mon souffle s'accélère dangereusement. Je veux crier de toute mes forces mais aucun son ne sort de ma bouche. Mon regard reste fixé sur le corps sans vie de mon père dont les yeux sont pointé dans ma direction. Le royaume est décimé. Tout est perdu. Les deux hommes commencent alors à parler mais je ne peut me concentré sur leur discussion. Je préfère regarder le visage de mon père au sol, les lèvres entrouverte, du sang coule de sa bouche.Lentement je me dirige vers le meuble situé derrière moi et le pousse machinalement laissant ainsi apparaître un passage secret, je m'engouffre dedans en prenant soin de refermé le passage derrière moi. Je décide de suivre le tunnel jusqu'à atterrir à l'extérieur de la ville. Mais je ne suis pas un lâche. Je compte simplement allé récupéré une arme avant de faire face à Ulfric. En récupéré une devant lui ne m'aurait laisser aucune chance de survie. Il m'aurai tué avant même que j'ai pût en récupéré une.

J'aperçois enfin la lumière produit par la lune et sort doucement du chemin souterrain. Essayant d'être le plus discret possible, j'aperçois les géants repartir vers le nord glacial.

N'entendant plus aucun bruit dans la cité, je me rue à l'intérieur de celle-ci et observe le carnage. Une véritable vision d'horreur se présente à moi, les ruines de tout les bâtiments, les cadavres de tout les citoyens et l'odeur du sang me donnent un haut le cœur. Less flammes continues d'embraser le royaume et leurs chaleurs me lèche le visage. La fumé mélangé à l'odeur du sang fini par avoir raison de mon estomac. Après m'être redressé, je me dirige sans réfléchir vers le corps d'un garde et récupère son épée.

Je sent mon corps bouillir de rage tandis que j'observe ce qui m'entoure et sachant qu'il est la cause de tout ça, je me met à hurler de toute mes forces. Les genoux au sol et les yeux embués de larme. Larme qui ne cesseront de coulé, lors-ce-que le sang d'Ulfric sera versé pour vengé les citoyens.

Sans réfléchir, je me dirige devant le château et attend que l'ennemi en sorte.

Celui-ci ne tarde pas à se montrer. L'homme qui a tuer mon père se trouve devant mes yeux. Il semble étonner de me trouver ici, ses sourcils se lèvent en me voyant. Ma rage est tel que je me rue sur lui, avant même qu'il ai pût prononcer le moindre mot, afin de le poignarder avec ma lame. Il dévie mon coup sans difficulté . Il me regarde de haut en bas avant de lancer de sa voix démoniaque.

-Penses tu vraiment pouvoir me blesser ? Tu es si faible. Tu m'as vue assassiner ton père, lui qui était tellement plus fort que toi. Je vais te tuer et ainsi l'héritier de la couronne d'Ambria ne sera plus.

Il se rue tout à coup sur moi, levant sa hache et l'abaissant dans un geste violent que je parvient tout juste à éviter.

Je sent que la différence de niveau est trop grande. Cette homme a connu bien plus de guerre que ce dont j'en ai entendu parler. Alors que je n'en ai fait aucune. Je n'ai aucune chance de vaincre cette homme, mais la rage me pousse à poursuivre le combat. Son rôle de seigneur ne lui a pas était donner à la légère.

J'observe ses mouvements en tournant lentement autour de lui. Guettant le moment opportun pour attaquer. Je me rend compte que son armure et son arme, étant très lourde, le ralentisse, je pourrai me servir de cela contre lui. Je coure dans sa direction essayant de provoqué une action de sa part, en effet il lève sa hache à mi-hauteur et la fait fendre l'air horizontalement. Je fait un bond en arrière puis une fois le coup passé, la hache part certainement plus loin qu'Ulfric l'avais prévu. Je lui saute donc dessus en propulsant mon épée au niveau de sa gorge.

Cependant il l'esquive sans bronché comme si mon épée n'est rien d'autre qu'un vulgaire morceau de bois et qu'il n'a pas la moindre inquiétude quand à notre combat. J'ai tellement compté sur ce coup que je n'ai pas réfléchit à la suite et c'est une erreur.

La fin du combat se profile quand je voie Ulfric me courir dessus et m'asséner un violent coup de pieds qui me fait lourdement tomber au sol.

Je sais que mon heure est venu, je vais rejoindre mon père. Je profite des derniers battements de mon cœur pour observer ce qui m'entoure. Mon royaume, les habitants, tout a été détruit par cette homme à l'âme noir. Mais je souris car je sais qu'un jour, quelqu'un nous vengera.

Ulfric se rapproche de moi et d'un coup sec, me saisit à la gorge. Alors que je me prépare à sentir sa main me brisé la nuque, il me soulève simplement. Je me sens m'élever au dessus de sa tête et mes pieds ne touche plus le sol. Il ce déplace lentement en direction d'un bâtiment rongé par les flammes et une fois à proximité de celui-ci, il me lance de toute ses force contre la parois en bois de la bâtisse. Le mur ne supporte pas le choc et s'effondre aussitôt ce qui me fait atterrir au centre de la maison. Mon dos tape violemment contre le sol et je ne réussi plus à faire le moindre mouvement, cependant je sent très bien la fumé brûlante qui rentre dans mes poumons. Je sens également les flammes qui murmurent mon nom en s'approchant dangereusement de moi jusqu'à se retrouvé collé à mon visage et faire fondre chaque parcelle de ma peau.

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