Chapitre 28 : Les marais de l'illusion

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Les rues de la ville sont totalement déserte tandis que nous les arpentons pour rejoindre les marais. Le ciel arbore une couleur rouge clair que l'on voie presque tout les matins. La route jusqu'à destination est sensé duré plusieurs jours mais heureusement, Rizes nous accueille à l'entrée de la ville avec une très agréable surprise. À côté de lui sont dressé plusieurs créatures d'environs deux mètres de long qui se tiennent sur les quatres pattes. Elles ont un long pelage au niveau du dos et court sur le reste de leurs corps. Nous apprenons qu'il s'agit de créature du nom de Kliar. Elles ont la capacité de supporte deux à trois personnes et de courir bien plus vite qu'un humain très bien entraîné. Grâce à elles, le trajet se fait plutôt rapidement et nous arrivons près de marais en plein milieu de l'après-midi.

La première chose qui me parais étrange sont les particule de cendre que je voie s'envoler vers le ciel mais que mes compagnons ne semblent pas remarquer. Cela doit être dut à la magie de la zone. La différence de paysage entre la plaine que nous traversons et les marais qui nous font face est assez extrême. D'un côté une magnifique zone pleine de vie, verdoyante de végétation. De l'autre côté, une zone boueuse avec des arbres mort où entrain de mourir à perte de vue. Des flaques d'eau dont je ne boirais pas la moindre goute et enfin, le silence absolu ne montrant pas la moindre trace de vie.

Au moment où nous entrons dans les marais, je sent mon cœur se retourné. Comme pour me prévenir d'une étrangeté. Mais je suis déjà au courant et à chaque seconde qui passe je m'attends à voir surgir n'importe quoi de derrière n'importe quel arbre. Plus nous nous enfonçons dans le maraîchage et moins la lumière nous parvient alors que le ciel est dégagé. Il fait juste très noir. Après avoir marché pendant un long moment dans les marais et constaté son incroyable grandeur. Je propose à contre cœur.

- Ne devrions nous pas nous séparé afin de chercher plus efficacement ?

- Dans une autre situation j'aurai sans doute accepté mais là c'est trop dangereux. Mieux vaut resté groupé, me répond Rizes dont je sent l'inquiétude transpercé la voix.

Je souffle à moitié de soulagement et à moitié d'inquiétude mais j'entends alors Aria prendre la parole à son tour.

- Nous ne devons pas resté seul je suis bien d'accord mais si nous faisons des groupes de deux, cela pourrai être avantageux non ?

Il réfléchit à sa proposition et je sent alors mon cœur partir en vrille. Il lui répond alors d'une voix hésitante en gardant ses yeux rivé sur le ciel.

- Non, il suffirait que les deux du même groupe subissent une illusion en même temps pour que nous soyons dans de beau draps. En revanche je suis d'accord pour que nous fassions deux groupes de quatres personne. Les chances pour que les quatres se fassent hypnotisé en même temps sont assez moindre. Est-ce que vous êtes d'accord pour faire deux groupes ?

Contre toute attente, je suis le seul réticent. Évidemment je comprend l'utilité d'une telle stratégie mais cela m'effraie. Cependant je me rassure en me disant que plus vite nous trouverons le Despiarel, plus vite nous serons partie de cette zone maudite qui n'est effectivement pas l'endroit le plus agréable pour des vacances en famille.

Rapidement les groupes sont fait d'un accord commun où les capacités sont assez équilibré. D'un côté il y à Lind'ha, Bildagan, Aria et Earin. De l'autre il reste donc Rizes, Teabian, Maéris et moi même.
Avant de partir, je dit pour tout le monde.

- Surtout souvenez vous, le Despiarel que nous cherchons se trouve dans le creux situé dans l'un des plus grands arbres du marais.

Après une dernières accolade, les deux groupes s'éloignent dans deux directions différente. Une sensation de malaise prend rapidement possession de moi tandis que nous nous éloignons de plus en plus, ma tête se met à tourné de plus en plus vite et je décide de fermé les yeux afin de reposer mon esprit. J'entends la voix de mes allies qui s'élèvent à mes côtés mais je ne comprend rien à ce qu'ils me disent et je reste simplement immobile à attendre que cela passe. Après avoir attendu, je sent que mon tournis se réduit et bientôt je peut à nouveau ouvrir les yeux sans avoir besoin de me tenir à un arbre pour resté droit. Cependant une fois mes yeux ouvert je remarque que quelque chose cloche, le marais à disparu, Maéris, Rizes et Teabian sont toujours là mais nous sommes désormais dans une foret et je ne comprend rien à ce qu'ils disent. Mais pour ne pas les ralentir, je les suis. Nous marchons et progressivement je commence à percevoir quelques mots sans importance venant de leur conversation. Tout à coup quelque chose se produit, devant moi, mes camarades arrêtent brutalement de marché et je décide de faire le tour pour voir ce qu'il se passe. Là une vision d'épouvante s'offre à moi. Leurs yeux sont entièrement blanc, excepté ceux de Maéris qui pleurent simplement du sang. Mais cette fois les deux autres également. Et j'aperçois leurs peaux qui à l'air de vieillir rapidement. Tout les trois s'écroulent sur eux même et s'écrase dans un lourd fracas en un tas de poussière.

Tout à coup je pousse un crie et j'ouvre brutalement les yeux. Je me trouve à nouveau dans le marais, assis par terre entouré de mes trois allié. Je souffle un grand coup et me relève.
Aucun d'eux ne me pose la moindre question, ils connaissent très bien la raison de mon étrange attitude. Plusieurs minutes se passe sans que rien ne vienne perturbé le silence. Jusqu'à ce que Teabian se mette à crié en pointant un doigt devant lui, ne montrant rien d'autre qu'un arbre. Rizes lui attrape le poignée mais Teabian ne se laisse pas faire et lui donne un coup de point dans la mâchoire, ce qui le fait chanceler. Teabian reporte son attention sur l'arbre comme si rien ne s'était passé et j'aperçois des larmes qui coulent sur ses joues avant de couler sur sa barbe. Il s'approche de l'arbre et une fois à un mètre environs, j'entends sa voix qui s'élève très faiblement.

- Je suis désolé .. Tellement désolé. Je voulais vous sauver je te le jure. J'aurai préféré donner ma vie plutôt que de te voir mourir comme ça mon amour. Jamais je ne me le pardonnerai. Dit à Fira que je l'aime de tout mon cœur. Vous me manquer tellement.

À ma gauche je voie Rizes se massé la mâchoire tout en grognant des mots incompréhensible. Puis Teabian se fixe et lentement se tourne dans notre direction. Comprenant ce qui vient de se passé, je voie ses joues devenir rouge et il revient vers nous l'air gêné. Je sent que je devrai dire quelque chose pour lui remonté le moral mais rien ne me viens à l'esprit et je m'en veut pour cela. Alors je fini simplement par posé ma main sur son épaule et lors-ce-qu'il me regarde droit dans les yeux et que j'aperçois ses lèvres tremblé. Je lui dit après quelques secondes d'hésitation.

- Je suis vraiment désolé.

Et contre toute attente, il souris. J'ai l'impression qu'il à remarqué la difficulté que j'ai eu à prononcer ce simple mot et cela lui fait chaud au cœur. Il essuie d'un revers de la manche son visage et se force à sourire avant de dire d'un thon amusé.

- C'est tout de même pas un arbre qui va me faire perdre la tête pas vrai ?

Il exprime un large sourire mais ses yeux en réalité, cache une souffrance bien pire que ce que j'aurai pût pensé. Cependant je respecte son choix de ne pas en parlé et nous reprenons nos recherche. À l'horizon, nous apercevons un tas d'arbre qui dépasse de tout les autres. Pensant que le plus grand se trouvera sans doute là bat, nous nous y dirigeons.

Nous trouvons alors quelque chose d'étrange. Un cratère assez profond d'environs cinq mètres de profondeur. Impossible d'en apercevoir le fond, cependant aux extrémité extérieur de celui-ci. Je voie une substance noir qui semble remonté le cratère. Nous décidons donc de l'éviter et reprenons notre route. En chemin je sent plusieurs fois ma tête se mettre à tourné et le plus souvent cela s'arrête là. Mais d'autre fois des illusions prennent le contrôle de mon esprit. Quelques fois, je voie les corps sans vie de Almir, Ragnac et Toar qui m'accusent d'avoir provoqué leurs morts. Mais d'autres fois c'est des visions bien plus étrange qui s'implantent dans mon esprit. Un endroit que je suis tenté d'identifier comme étant le néant à cause de ses couleurs sombres et des ombres qui s'élargissent à mes pieds. Je ne comprend pas l'origine de ces visions assez étrange. Cependant elles provoquent une horreur indescriptible au fond de mon âme.

Nous continuons d'avancer alors que Rizes se fige de plus en plus souvent en se plaignant d'un violent tournis. Seul Maéris ne semble pas avoir eu la moindre vision. Sa cécité n'est pas entièrement une mauvaise chose au final.

Nous finissons par arrivé à l'endroit où les plus grands arbres sont réuni et je me frotte les mains en essayant de déterminer lequel de ceux-là peut être le plus grand. Je prend en compte les bosses sur lesquels certain arbres se tiennent, j'observe sous différent angles pour voir lequel à les branches les plus longues et rapidement je me rend compte que cette tache et bien plus dur que ce que j'aurai pût pensé. Évidement nous aurons pût chercher dans chaque creux sans réfléchir mais le problème est que les creux sont situé au sommet des arbres et l'énergie nécessaire pour grimpé à un seul d'entre eux est phénoménal alors nous préférons ne pas avoir à tous les escaladé. Nous nous mettons tous à chercher le moindre indice comme des coups de couteau sur les écorces de l'arbre mais aucun n'est différent. Au moment où je me résout à essayé de grimpé au premier. J'entends Maéris derrière moi qui dit d'une voix lourde.

- Oh non pas ça.

Un mauvais pressentiment prend aussitôt possession de mon esprit et cela ce comprend lors-ce-que je me retourne. Un sourire sadique sur le visage, les doigts passant à travers son bouc. Il nous regarde d'un œil intéressé.

- Bonsoir à vous, je ne pensais pas vous revoir aussi vite.

À la pensé de ce qu'il m'a fait subir auparavant. Je lui répond d'une voix emplit d'un courage actuellement inexistant dans mon cœur.

- Bonsoir Ulfric.

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