Chapitre 8

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Il m’avait laisser là, seule. Je craignais d’être découverte, mais je n’avais pas le choix. Pour discuter avec le Roy, il fallait que je soi présentable. Alors, je retirai mes vêtements, pour ensuite me plongée avec délectation dans l’eau délicieusement chaude. M’immergeant complétement dans l’eau mouillant mes cheveux, puis ressortant ma tête, je pris le savon qui se trouver sur une petite table juste a coter, j’entrepris de frotter mon corps avec, afin de bien me nettoyer. Faisant apparaitre une mousse qui pris une teinte marron. Mes Cheveux reçurent le même traitement, je me rinçai à plusieurs reprise, afin de faire disparaitre toute trace de souillure. Je pris mon temps pour être le plus propre possible. Et quand j’eu finis, je sortie de l’eau et m’enroula dans un draps sec pour me sécher. Soudain, sans comprendre comment, je me retrouvai bloquer sur le sol. Un poids sur mon dos, me faisait comprendre que quel qu’un me retenais. Je me retins de frissonner de peur. Je sentais un léger souffle sur ma nuque et des mèches de cheveux chatouiller ma peau. Cela me rappelait tellement ce que ce porc m’avait fait, que je ne pus contenir d’avantage mes tremblements. Je ne pus que contenir mes larmes, attendant la suite avec appréhension. Mais tous ce que fis mon agresseur fut de maintenir l’un de mes bras dans mon dos et de s’asseoir sur moi. Je ne comprenais pas, je pouvais sentir qu’il n’était pas aussi lourd qu’un adulte, était-ce un enfant ?

- Bien, maintenant que nous sommes seul, je vais pouvoir t’interroger. Qui es-tu réellement ? D’où viens-tu ? Qu’est-ce que tu nous veux exactement ? Pourquoi avoir suivis ces marchands d’esclave et tenter de sauver notre reine ? Pourquoi l’avoir aider à accoucher sans même en être gêner ? Réponds-moi immédiatement !

Ordonnât alors une voix de garçon, voix que je reconnus pour être celle du garçon brun qui trainait avec le prince. Il avait un ton impérieux et parfaitement calme. Il s’attendait naturellement à être obéis. Et j’avais bien compris qu’il me trouvait suspecte.

- Si je te le dis, pourras-tu garder le secret ?

Lui demandais-je alors, voulant rester discrète. Tout essayant de le faire descendre de sur moi. Je commençais à avoir du mal a respiré.

- Cela dépend de tes réponses. Si je juge que tu es un potentiel danger pour le royaume il me faudra en avertir le prince et le Roy.

Sa réponse, je la comprenais, j’aurais agi de la même façon, si j’avais été à sa place. J’aurais tout fait pour protéger mon royaume et ma famille.

- Commence par me libérée, tu es lourd et je n’ai aucune armes sur moi pour me défendre.

Lui dis-je en essayant de me dégager, sans succès. Rapidement, je ne le sentis plus sur moi, ce qui me permis de m’asseoir et de rajuster le drap autour de moi, cachant mon corp du mieux possible. Il était là, assis sur le rebord de la baignoire et attendait patiemment que je parle. Les bras croiser sur son torse, l’une de ces mains maintenait sa tête en position d’attente et de réflexion. Je savais que je devais lui dire pratiquement tout. Alors je commençai mon récit. Parlant et racontant tout ce que je pouvais avec toute l’honnêteté que j’avais en moi. Laissant els mots s’écouler de ma bouche en une cascade fluide. A un moment je me tu, car une servant était arrivée et m’avais donner des vêtements. Je repris mon histoire dés qu’elle fut sortie, lui expliquant tout. Il ne montrait aucune émotion, rien ne passer dans son regard d’obsidienne. Il faisait preuve d’un sang froid remarquable et d’une maitrise de lui digne des plus grand maitres. Quand j’eu enfin finit, il continua a m’observer avec insistance pendant de longue minutes, qui me parurent être une éternité.

Je soupirai lourdement, me leva en tenant contre moi les vêtements et le draps, afin de ne pas me retrouvée nue devant lui. Même si je n’étais pas pudique, je devais donner le change et ne rien laisser paraitre. Je le laissa réfléchir à toute mon histoire, préférant contourner la baignoire pour me retrouver dans son dos. Là, je laissai le drap tomber au sol et commença à m’habiller. J’enfila un pantalon en cuir brun, suivis par des bottes marron clair. Soudain, j’entendis une exclamation de surprise, suivis par un bruit d’éclaboussure. Je me retournai rapidement, pour voir le pauvre apprentie sortir précipitamment de la baignoire, tremper comme une soupe. Il avait le visage aussi rouge que le jupons qui était étendus non loin. Il avait un air gêner et embarrasser, je compris à ce moment qu’il avait dû se retourner à un moment et m’apercevoir alors que je m’habillais. La surprise a dû le faire glisser et tomber dans les restes de mon bain. J’eu un léger éclat de rire car sa réactions était amusante. Puis, je tâchai de finir de m’habiller. C’est donc une chemise lacée en coton blanc qui compléta l’ensemble.

- C’est bon, tu peux te retourner.

Ce qu’il fit après avoir vérifier que j’étais bien présentable. J’observa un peu les lieux, pour finir par trouver un peigne en bois. J’en profita pour brosser mes cheveux afin de ne pas avoir l’aspect d’un épouvantail.

- Donc, si je comprends bien, tu viens bien de Sashka, mais non pas d’un petit bivouac, mais plutôt du Camp permanant. Tu as dix ans, un ans de moins que nous. Tu es actuellement la seule survivante de ton Royaume. Et tu es la dernière-née de la famille royal des Sintis. Tu as fuis la fin des combats après avoir vue ton père et les dernier survivant être violer pour les femmes et exécuter ensuite. Et tu te déguise en garçon pour te protéger et survivre. J’ai bien résumé ?

Me questionnât-il après avoir résumer mon histoire, d’une voix stoïque. Tout en faisant les cent pas devant moi. Alors que j’hocher la tête en signe d’assentiment.

- Oui, c’est bien cela.

Confirmais-je avec douceur, en m’asseyant sur un tabouret qui trainer non loin. Tout en l’observant continuer à faire ces allez et venue, me donnant presque le tournis.

- Je ne cherche qu’un endroit où vivre en sécurité jusqu’à ce que je soi adulte. Je ne suis plus une princesse aujourd’hui. Comment pourrais-je encore en être une alors que mon royaume est détruit que j’en suis la seule rescapée ? La seule survivante.

Lui assurais-je, en baissant tristement la tête vers le sol. J’avais serré mes poings avec beaucoup de force. Je m’en voulais tellement de ne pas avoir pus faire plus pour ma famille et mon peuple. Le Cœur se mit à émettre une chaleur réconfortante, signe que je devais faire face et continuer d’avancer. Je le pris entre mes mains au travers du tissus, pour ensuite relever ma tête et plonger mon regard dans celui de mon interlocuteur. Faisant passer tout ce que je ressentais, ma douleur, ma sincérité, dans mon mes yeux. Cet échange dura un moment, mais il fut le premier à détourner le regard.

- Très bien. bien que je sois sûr que tu ne m’as pas tout dis, je veux bien te croire. Mais je continuerais à te surveiller.

Soupira-t ’il alors en se tournant vers la porte, signe que pour lui la conversation était finit.

- Merci. Et oui. Je ne t’ai pas tout dis, car c’est encore trop douloureux pour moi, c’est quelque chose qui ma presque détruite et tuée. Je ne sais pas encore si j’aurais un jour la force d’en parler. Mais si je finis par y arriver, j’espère que tu ne me jugeras pas.

Le mouvement de sa tête, fut sa réponse. Il acceptait les terme de cet accord tacite et implicite. Tout comme j’acceptais qu’il me surveille, jusqu’à ce qu’il soit sûr que je ne soi pas un danger pour Kalyria. Il sorti, laissant place au prince, qui me fit signe de le suivre. Il me guida au travers de nombreux couloir en pierre, ou des bannières et des tapisseries étaient accrocher. Des torches et des braseros éclairaient les lieux d’une douce lueurs donnant un aspect mystique et chaleureux. Nous croisâmes plusieurs domestiques qui s’inclinaient devant le jeune garçon qui ce tenait devant moi. Visiblement, il était très respecter par son peuple, signe qu’il était un prince juste et bon. Mais je ne savais rien de ces parents. Ni du Royaume en lui-même, je n’avais connus que l’histoire de mon peuple et du Désert. J’espérais ne pas créer de problème, j’allais devoir être honnête sur ce point. A un moment, nous arrivâmes devant une immense double porte en bois sculptés. Deux soldats se déplacèrent alors pour les pousser vers l’intérieur, La pièce qui se révéla à moi était très grande. Des piliers en pierre ce tenait en deux ranger de chaque coter d’un tapis broder de rouge et d’or. Des vitraux colorés ornaient les fenêtres rendant la pièce magique. Entre chaque ouverture, des torches et des braséros en ranger propre, qui devaient éclairé la salle en pleine nuit, d’une douce lueur doré. Sur les Piliers, des tapisseries rouge et or, où un magnifique dragon noir crachait de sublime flammes bleu. Sans doute le symbole du royaume.

Dans le fond de cette grande Halle, une estrade, sur laquelle ce trouvait deux grandes chaises en bois sculptées et ornés de décoration en or. Je supposais qu’il s’agissait de trônes. Sur l’un des deux, un homme, de taille moyenne. Des cheveux châtains raide surmonter par une couronne en or incrusté d’émeraudes et de diamants. Il avait des yeux bleu marine, et une courte barbe. Son air sévère me donna l’impression que j’allais être dévorée toute cru au diner. Assise à côté, la reine. Fine et élancer, malgré son ventre encore présent. Elle avait un visage doux et souriant, de long et magnifique cheveux blond argenté, des pupilles argentés magnifique. Ils portaient des vêtements en velours richement décorés, signe de leurs pouvoir en tant que souverains. Le jeune garçon les rejoignis et ce plaça debout a côté du Roy. Qui lui, se leva et avança de quelque pas sur l’estrade. Dardant son regard sur moi pendant de longues minutes dans un silence pesant. J’eu l’impression qu’il m’évaluer et cherchait les mots juste pour engager la conversation.

- Incline-toi devant le Roy, garçon ! Où maque-tu de respect envers un monarque ?

M’invectiva une voix, venant de ma gauche. Tournant mes yeux vers l’endroit où se tenait le propriétaire, je vis un vieil homme a l’air scandalisé et bougon. Vieux, les cheveux et la barbe grise. Bedonnant, il avait l’air d’être quelqu’un d’important. Je pris une profonde inspiration, pour mieux me concentrée, chercha un instant mes mots, alors que le Roy observait notre interaction avec grand intérêt.

- Loin de moi l’idée de manquer de respect à votre Roy. Je viens du Sashka et je n’ai appris que les manières de mon Royaume. Je ne sais malheureusement pas faire une révérence comme les votre. Je suis désolé. Majesté, veuillez pardonnez mon insolence, je ne sais que saluer à la manière de mon peuple.

Répondis-je avec autant de douceur que possible. Cherchant à apaiser le plus possible la situation. Le vieil homme, ne sembla pas vraiment convaincue, mais ne répliqua pas, laissant le soin de me remettre à ma place à son suzerain.

- Dans ce cas, je suis prêt à recevoir la révérence de ton peuple. Non, cela ne me dérange pas, je peux comprendre que ce soit difficile pour une personne n’ayant pas reçu l’éducation de Kalyria.

Annonça le Roy, en inclinant la tête vers le vieillard. Puis, il se tourna vers moi, avec un air qui disait, j’attends petit, montre-moi la bienséance de ton peuple. Ne voulant pas le décevoir, je m’exécutai. Plaçant mes jambes correctement, je fléchis mes genoux, pencha ma tête et mon buste, tout en effectuant les gestes de salut avec mes bras et mes mains.

- Je salut sa Majesté, le Roy de Kalyria. Que Ghelel éclaire ces pats et sa destinée.

Je restai ainsi pendant quelque seconde, puis je me redressai lentement. Me tenant droite devant le Roy, j’attendis le verdict. Qui tardait à arriver. Enfin l’homme commença à se racler la gorge.

- Bien. Je suis Van Helland, le Roy de Kalyria. J’ai appris de la bouche de ma femme et de mon fils, que tu avais tenté de la sauvé. Et que tu l’avais aidé à accoucher. Quel âge as-tu ? Et qui t’a enseigner comment faire ?

Se présentât-il en regardant sa femme et son fils avec un air bienveillant envers eux. Visiblement il les aimait autant que mes parents nous avez aimait. Je me perdis un instant dans mes souvenirs, me rappelant de ma vie au camp avec mon peuple et ma famille. Ils me manquer tellement. Je revins à la réalité grâce a un raclement de gorge.

- Veuillez me pardonnez Majesté, je me suis un instant perdu dans des souvenirs du passé. C’est l’une de nos guérisseuses qui m’a appris. Nous manquions de mains d’œuvres, il fallait que quelqu’un se dévoue et malheureusement, personne n‘était prêt à le faire. Ce pourquoi je me suis porté volontaire. Et j’ai dix ans, monsieur.

Lui répondis-je en m’excusant. Expliquant d’où me venait mes connaissances sur le sujet ainsi que mes compétences.

- Je vois. J’ai aussi appris que tu savais bien te défendre. Tu as déjà versé le sang apparemment. Tous les enfants de Sashka savent-ils se battre au même âge que toi ? Et j’aimerais savoir ce que tu fais aussi loin de ton royaume ?

Continuât-il avec curiosité, tout n retournant s’asseoir sur son trône. Il semblait vouloir en apprendre plus sur moi et sur mon peuple. Et aussi savoir pourquoi un enfant de Sashka ce trouvait aussi loin de son Désert. Alors je me devais de lui répondre.

- Oui, on nous apprend à nous battre dès l’âge de quatre ans. Car la vie dans le désert est une épreuve en soi. Je fais partis des rares enfants à avoir survécu au désert dans ma première année de vie. Nous sommes un peuple nomade Majesté, nous nous déplaçons continuellement dans le désert. Il arrive assez fréquemment que des marchands d’esclaves ou des pillards nous attaques lors de nos déplacements. Quand a votre dernière question. A l’heure actuel, je crois ne pas me tromper en disant que je suis le seul survivant de mon peuple. Le royaume a été attaqué par des Drows. Et j’ai vu les miens être massacré, j’ai failli mourir en m’enfuyant, à la demande de mon père.

Lui expliquais-je en soupirant. Tandis que nous étions rejoints par les trois comparses du prince. Ces derniers se placèrent non loin, contre un mur, un piller ou en restant debout derrière le fauteuil du Roy. Alors que les adultes présents parurent choquer de ce que je venais d’expliquer.

- Et bien, je trouve cela fascinant. Comment peux-tu être sûr que tout ton peuple a été tuer ?

Je me doutais qu’il ne me croirait pas. Je n’avais aucune preuve de ce que j’avançais, aucuns moyens de prouver que je disais la vérité. Comment faire en sorte qu’il me croit ? Soudain, je vis le prince se pencher au niveau de la tête de son père. Il lui murmura quelque chose que je n’entendis pas, je ne pouvais même pas lire sur ces lèvres, car il avait caché sa bouche avec sa main. De guerre lasse, j’attendis qu’il ait fini. Patientant, en réfléchissant a ce que je pourrais lui dire pour qu’il me croit.

- C’est bon, pas besoin d’en dire plus, petit. Je pense que tu dis la vérité. Que compte tu faire à présent ?

Me rassurât-il alors, en s’adossant au dossier de son trône. Pendant que le jeune prince retournait à sa place.

- Je ne sais pas. Cela fait un an et quelque depuis l’attaque. Un an que je cavale partout, à voler pour vivre, ou du moins survivre. A tuer quand je suis en danger, je ne sais faire que ça. Me battre, c’est tout ce qu’il me reste. J’ignore quoi faire, où que faire. Je n’ai aucune autre compétence.

C’était vrais, je ne savais rien faire d’autre que me battre, tuer et voler pour survivre. Je n’avais rien d’autre, je ne pouvais plus être considérer comme une princesse et pour survivre, je devais cacher qui j’étais. Bien que, je n’appréciais peu le froid et la neige, je pouvais en faire fis, si j’avais la possibilité de rester.

- Je te dois une récompense pour ce que tu as fait pour ma femme et mes enfants. Alors, si tu le souhaite, tu peu rester ici dans le royaume. En guise de récompense pour la Geste que tu as fait pour nous. En échange de quoi, j’aimerais faire de toi un Page, un apprenti-chevalier. Je pense que tu ferais une merveilleuse recrue pour nous. Mais je veux que se soit toi qui décide si tu souhaite rester ici ou non. Bien évidemment, tu seras payé, loger et nourris.

Je n’arrivais pas à en croire mes oreilles. Il venait vraiment de me dire que si je le souhaitais je pouvais rester ? A condition de devenir un Page, un futur Chevalier ? Cette proposition était plus qu’inespéré, mais pouvais-je vraiment accepter ? Pouvais-je faire confiance à cet homme ? D’un côté il était honnête avec moi, alors que de l’autre je leurs mentais sur mon identité. Mais avais-je le choix ? Soudain, je sentis mon pendentif émettre une chaleur réconfortante. Il me faisait comprendre que oui, je pouvais leurs faire confiance. Mais dans quelle mesure ? J’avais besoin d’un endroit où rester, mais je ne pouvais pas encore avouer qui j’étais.

- Je ne sais comment vous remercier Votre Majesté. Cette proposition signifie beaucoup pour moi. Je travaillerais dur pour vous rembourser cette gentillesse. Merci.

Le remerciais-je alors en m’inclinant a nouveau. Quand je relevai la tête, j’eu droit à un sourire encourageant de sa part. Puis il ordonna à son fils de me montrer où je logerais et de m’expliquer ce qu’il allait se passer a présent. Enfin, il nous fit quitter la salle. Je m’inclinai à nouveau avant de suivre le prince et ses amis. Il me conduisit vers les quartiers des Pages, là, j’eu la surprise de découvrir que j’allais devoir partager une chambre avec l’un d’entre eux. Et cela allait être vraiment gênant pour moi. Comment allais-je me débrouiller pour me cacher ?

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