chapitre 4.4

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Sa pensée fut interrompue, lorsque le corps de l’hôte s’éleva soudainement dans les airs. Il était luminescent, et ses yeux avaient changé de couleur. L’homme criait de douleur. Et en un instant, il se désintégra. Ces cendres se dispersaient tel des flocons de neige, et un profond silence envahi la zone. Cependant, il fit briser par l’inspiration du professeur Thierry Lecurier.


— Ah ! Encore manqué. Dit –il en sortant son parapluie pour se protéger de la souillure, en s’avançant vers le véhicule.


Les larmes d’Alice se mirent à couler silencieusement, le long de sa joue. Elle se précipita pour mettre ses mains sur sa bouche, afin de taire ses gémissements. Mais, cette action se suivit par le craquement d’une brindille. A ce bruit la silhouette du professeur marqua une pause. Son regard perçant se dirigea alors vers le lieu où était caché les deux comparses. Doucement, il avança d’un cran, et au même moment la poitrine de la jeune fille se resserra, elle espérait qu’il ne puisse aller plus loin, « Ils ne doivent pas nous voir, s’il vous plait ».


— Vous ! Interpella le professeur, stupéfait de trouver de si jeunes spectateurs hors de leur district. Qu’est-ce que vous faites ici ?


Découvert, Alice et Leifco sortirent de leur cachette. La jeune fille était terrifiée, contrairement à Leifco qui lui n’avait qu’une idée en tête, bondir sur leurs agresseurs.


— Qu’est-ce que vous avez vu ? Demanda le scientifique, l’air anxieux.


Le jeune esprit se plaça devant sa maitresse, pour faire face à leurs assaillants.


— Assasin ! grogna ce dernier. Vous dépouiller les esprits de leur ritsär afin d’en faire profiter les humains entièrement, dit-il sur un ton coléreux.


A ces mots, le professeur paru choquer, comme s’il venait d’apprendre ce qui venait d’arriver. Puis, voyant que son mensonge ne prenait pas, il esquissa un sourire mauvais. Les mains posées sur ses hanches, il s’esclaffa.


— C’est dommage ! Dit-il en reprenant son souffle.


Les armes de leurs ennemies étaient à présent pointées sur eux, et en voyant le regard inquiet d’Alice, Leifco bomba le torse. Ces mains se refermèrent lentement, et commencèrent à s’embraser. Il regarda l’énorme troupe d’un air déterminé, et se fit la promesse que personne ne touchera un seul cheveux de sa kardolestos.

— Alice ! Ne t’inquiète pas et fait moi confiance.

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