La mère de mon meilleur ami

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Je m'appelle Gabriel et je viens juste d'avoir dix-huit ans. Je suis en terminale spécialité Maths et Physique-Chimie. Avec mon ami Thomas, tous les quinze jours, nous devons rendre un devoir-maison de mathématiques difficile à Monsieur Lefèvre, un type de 50 ans, un peu lunaire, mais je l'aime bien. Parfois, Thomas vient chez moi, parfois c’est moi qui vais chez lui. Alors que mes parents sont encore ensemble mais n'arrêtent pas de s'engueuler, lui vit seul avec sa mère et c'est plutôt cool, surtout que ma petite sœur est ennuyante. C’est pourquoi je préfère aller chez lui, même si on alterne. On se retrouve donc en général quelques heures dans la semaine et bien sûr le week-end.

Aujourd’hui, on est samedi et Thomas et moi devons rendre notre devoir pour lundi. Je vais donc chez lui, mais c’est sa mère, Catherine, qui m'a reçu, elle était seule, Thomas n'était pas là. Il avait complètement oublié de me dire que comme c'était l'anniversaire de son père, il ne pourrait pas bosser avec moi. Sa mère s'est excusée et m'a proposé une boisson. Comme je n'avais pas envie de rentrer chez moi où ça bardait encore, j'ai accepté. Elle a remarqué que j’avais l'air soucieux et elle s'est inquiétée du problème.

Ce n'est pas que j'aime parler de mes soucis, mais là, ça faisait du bien de parler. Il faut dire que je n’ai pas grand monde à part Thomas. Elle a commencé à me masser les épaules en me disant « Ca va te détendre ». C'est vrai que ça faisait du bien et puis par moment je sentais ses seins s'appuyer un peu contre mon dos. C'est une belle femme d'environ 38 ans, je dirais. Mieux que ma mère, en tous cas, ça c'est sûr !! Parfois je me branle en pensant à elle, je lui ai même piqué une culotte, un jour, sur l'étendoir. Heureusement, j'étais en jeans et penché en avant, sinon, je crois qu'elle aurait vu que je bandais.

Un peu gêné tout de même par les massages, j'ai prétexté un truc à la con pour partir et elle me dit « Tu reviens quand tu veux si tu as besoin de parler, que Thomas soit là ou pas. » Bien évidemment, je suis revenu le lendemain, Thomas était toujours chez son père, je le savais, il m'avait appelé pour s'excuser d'avoir oublié de me prévenir.

Catherine était en train de jardiner et m'a demandé cinq minutes pour se changer. Elle est revenue vers moi avec une robe légère. On est allé s’assoir sur son canapé et alors que je lui parlais encore de mes parents, elle me massait la cuisse. A nouveau, ça m'a fait de l'effet. Beaucoup d’effet. Mais là, impossible qu'elle ne le voie pas. Je me suis donc excusé quand j'ai vu son regard se porter sur mon entrejambe.

« T'inquiète » dit-elle, « à dix-huit ans c'est normal, et c'est flatteur pour moi. J'ai l'âge de ta mère, tu dois t'intéresser plutôt à des filles de ton lycée. »

Comme je bafouillais un truc débile, elle a porté sa main à mon entrejambe et commença à masser doucement en me disant qu'elle savait que je lui plaisais et qu'elle avait aussi remarqué qu'une de ses culottes avait disparu. « Une noire en dentelle, très chère d'ailleurs » a-t-elle ajouté. « C'est toi ? ».

Bien sûr que c'était moi, je m'en servais pour me masturber et la gardais cachée de façon à ce que mes parents ne tombent pas dessus. Mais de là à lui avouer, je n'y arrivais pas. J'ai donc nié.

« Pas grave, j'ai dû la perdre quelque part » dit-elle en riant tout en continuant à masser la sexe à travers mon jean. Puis d'un coup, elle mit ses cheveux en arrière et se pencha pour ouvrir les boutons de mon pantalon et sortir mon sexe. Elle fit à peine deux mouvements que j'éjaculais sur son visage. La honte !! « Et bien alors, je te fais un sacré effet mon garçon ! La prochaine fois, ne reviens pas le fusil chargé et je te montrerai d'autre choses. Je suis contente de t'avoir détendu en tous cas, mais maintenant, il faut que je retourne à mon jardin. Et d’ailleurs, sache que Thomas a judo de 18h à 20h le mardi. Le portail sera ouvert... » et elle me laissa sur le canapé. Quel couillon j'étais ! Pourtant, j'avais eu une amie de mon âge et je ne jouissais pas si vite normalement.

Je suis donc retourné chez Catherine mardi. J’ai sonné puis je suis entré directement. Catherine portait une petite nuisette en tissus noir. Elle m'attendait visiblement. Elle avait de sacrée jambes et de beaux seins.

« Viens » dit-elle. « Tu as déjà sucé une femme ? »

J'étais quasiment sans expérience. Juste trois ou quatre fois, j'avais fait l'amour à moitié en cachette et rapidement avec mon ex-copine. Mais jamais de truc terrible. Elle m'ordonna de me mettre à quatre pattes entre ses jambes, s'assit sur le canapé, écarta ses cuisses, et me montra son sexe épilé.

« Tiens, ça c'est le clitoris, tu sais ce que c'est. Tu vas le lécher avec ta langue à plat, fermement, en appuyant, et de temps en temps, l'aspirer entre tes lèvres, tu vas remonter avec ton pouce le capuchon pour que je sente mieux. » Je m'exécutais. Elle donnait des coups de bassin d'avant en arrière, puis à un moment saisit ma tête pour l'appuyer plus fort et gémit. « Rentre deux doigts dans ma chatte, doucement, fais attention, ne force pas, elle va s'ouvrir. » Encore une fois, j'obéis. Je bandais à éjaculer dans mon jean. « Vas-y doucement, tu crochète tes doigts à l'entrée de ma chatte, tu vas sentir un truc granuleux. Fais comme si tu grattais doucement avec tes bouts de doigts et continue à me sucer. »

Après quelques minutes de ces manœuvres, elle eut quelques mouvements spasmodiques et gémit plus fort. « Et bien mon garçon, tu m'as fait jouir ! Tu es doué ! A moi maintenant, Thomas ne va pas tarder. »

Elle ouvrit comme l'autre fois mon pantalon, le descendit sur mes fesses, me fit asseoir et prit doucement mon sexe dans sa bouche, tout en me regardant dans les yeux. De temps en temps, elle la serrait plus fort ou tournait sa langue toujours en m'observant. En cinq minutes je jouis dans sa bouche. Elle garda tout, se leva et vint m'embrasser sur les lèvres en mélangeant mon sperme et nos salives dans nos deux bouches.

« Allez, va-t'en. Thomas va bientôt rentrer. Tiens, sur ce post-it je t'ai mis mon téléphone. Pas d'appel. Des SMS. Et si je ne réponds pas, tu n'insistes pas, sinon ce sera fini. Définitivement. Si tu veux apprendre d'autres choses, suis mes instructions. » Je suis parti vite fait et suis rentré chez moi tout content de mon expérience avec Catherine. A présent, les problèmes de mes parents je n’en avais plus rien à foutre.

Trois jours plus tard, je reçois un SMS de sa part. Elle avait piqué mon numéro à Thomas, c'était sûr. Catherine me disait : « Ce soir, 17h15. »

Je suis vite parti du lycée pour me rendre chez elle. Quand je suis arrivé, elle était dans sa chambre, nue. « Déshabille-toi ! », me dit-elle. Elle me demanda de la sucer encore une fois, puis se mit à quatre pattes et là, dans son derrière, il y avait un truc rond et brillant. « C'est un plug anal » me dit-elle. « Tu ne le touches pas encore mais tu vas rentrer ton sexe dans ma chatte. Ne jouis pas ! » Je commençais des va-et-vient en elle et je la sentais serrer son vagin de temps en temps. C'était magique. « Si tu sens que tu vas jouir, tu t'arrêtes ! Je veux en profiter ! » De temps à autre, elle se redressait pour se coller à mon torse et que je lui prenne les seins dans mes mains, puis repartait à quatre pattes en reculant son cul sur mon sexe. Au bout d’un moment, il a fallu que je dise stop, j’allais jouir. Elle m’a alors expulsé, puis, s’est retournée, a serré la base de mon sexe très fort pour m'empêcher d'éjaculer.

Elle s’est positionnée sur le dos, les jambes pliées jusqu'à son visage mais écartées. « Là, maintenant, tu vas enlever et réintroduire le plug très doucement » Pendant que je m'exécutais, elle se masturbait, frottait son clitoris avec trois doigts à plat avec des mouvements circulaires. Je n'avais jamais vu une femme se donner du plaisir, ainsi mais je continuais à doucement à entrer puis à sortir le plug de son cul qui s'ouvrait de plus en plus facilement, jusqu'au moment où elle jouit en me disant « Ne t'arrêtes pas ! » Après encore quelques mouvements elle a attrapé mon sexe, s’est redressé, et l’a sucé pendant quelques secondes en y mettant beaucoup de salive, puis elle s’est remise dans la position précédente, a enlevé le plug et m’a dit : « Maintenant, c'est ta bite dedans mon cul ! »

Elle m'a aidé, car je n'avais jamais fait ça. Catherine a pris mon sexe en tenant la base fermement et a rajouté de la salive dessus, l’a introduit dans son cul et me dit : « Vas-y, enfonce lentement en entier, c'est rentré. Ne bouge plus » et elle reprit ses mouvements circulaires de sa main droite. Je commençais mes allers-retours, doucement, dans son cul pendant qu'elle se branlait. Je voyais son anus rond, circulaire, serré autour de mon sexe et l'effet de cette vue déclencha mon orgasme alors qu'elle jouissait aussi. Les contractions autour de mon sexe étaient de plus en plus rapprochées, puis Catherine se relâcha dans un gémissement puissant.

Je m'écroulais près d'elle et elle me demanda, alors : "Ça te plait tout ça ? Visiblement oui. Mais ça doit rester secret, hors de question que tu en parles autour de toi, sinon ce sera fini pour toi avec moi, et aussi avec Thomas. Allez, va te laver et file. Je te recontacterai. »

Cette histoire dura quelques mois, puis un jour elle m’apprit avoir rencontré un homme de son âge. C'était terminé. Pendant quelques semaines, j’étais très mal. Puis, j’ai rencontré Lisa, un fille de terminale, assez délurée qui je crois, apprécie mon expérience…

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