[Défi] L'histoire tellement bateau qu'elle n'avait pas de titre.

11 minutes de lecture

Je préviens. Ce chapitre pique les yeux. J'avais environ onze ans lors de son écriture et, en réponse au défi de la honte (mouhahahaha), le voici tel qu'il avait été écrit : BOURRÉ DE FAUTES. Et moche. Et mauvais. Histoire bateau, persos bateaux, style bateau. Je l'avais dit dans mon questionnaire Scribay, mes débuts étaient vraiment mais alors VRAIMENT mauvais.

Voici alors pour vous, en réponse à ce merveilleux défi, mes premiers mots.

Et je vous jure que, effectivement, j'en ai honte.

Pleurez bien ! 








"La vie est courte... Il faut toujours en profiter. Certaines personnes ont des problèmes dans leurs pays, d'autres dans leurs domicile et d'autres encore à l'école.Certains ont les trois à la fois. Ce qu'on m'avais toujours appris c'était de se réjouir de ce que la vie nous offrait. De mon côté, je n'y croyais pas vraiment. Se réjouir de la vie était plus facile à dire qu'a faire. En y repensant, tout le monde pensait en me voyant, que j'étais une ado normale comme tout le monde. Une ado de seize ans, les parents séparés et des notes moyenne à l'école. Une ado simple que personne n'avait jamais vraiment essayé de comprendre et de voir ce qui se passait derrière cette façade de chair humaine... Il fallait me croire... J'étais loin d'être normale. Au fond... Est-ce qu'il existerait des gens normaux ? Des gens normaux existeraient t-ils vraiment ? Je ne pense pas. Mais ce que je savais, c'est que j'étais bien plus compliqué que ce que l'on pouvait bien croire en me voyant. Mais à mon avis, même mes parents, mes amis et tous mes proches ne pouvaient pas se douter de se qui se passait derrière ma tête. Une voix derrière moi me coupa à mes pensés et me fis sursauter.


- Mademoiselle Nice ? 


Et oui ! « Nice » était mon nom de famille ! Et pourtant je n'étais pas tout le temps avec le sourire. Souvent d'accord, car malgré mes problèmes, j'essayais toujours de voir le bon côté des choses.


- Heu... Oui monsieur Jacket ? Dis-je d'une toute petite voix.


- Avez vous terminé de rêvasser et votre contrôle par la même occasion ?


- Mince ! Les cinquante minutes sont déjà passé ?


- Oui et depuis longtemps déjà. Je voulais vous laisser du temps pour finir vu que vous aviez l'air tellement subjugué par votre copie.


Et je rendis alors une feuille blanche a mon professeur... Quand la sonnerie du déjeuné retenti, j'étais impatiente de retrouver Leslie, Mark, Lola et James. Leslie était ma meilleure amie depuis la maternelle, et on a rencontré Mark vers le CP. On était « Les Inséparables »... Vers la sixième, Lola, nouvelle élève, arriva à notre table et se présenta. Au départ on s'étaient méfiés d'elle. D'extérieur, c'était la fille superficielle et fashion qui serait peste et amie avec les populaires. Mais non, il se trouve qu'en réalité, ce n'est qu'une image et que c'est une super amie, loyale, sur qui on pourra toujours compter. James était arrivé vers la cinquième et si vous voulez mon avis, il était tout simplement c-a-n-o-n. Blond, les cheveux soigneusement ébouriffés et qui tombaient devant ses beaux yeux noisette. Mais malgré sa beauté, sa gentillesse, sa carrure et sa popularité, (car OUI il était populaire. En effet, il était capitaine de l'équipe de basket et il était certainement le plus beau mec de l'école. Mais c'était nous qu'il avait choisit comme bande d'ami, malgré les populaires qui ne cessaient de le draguer ou d'essayer de le prendre dans leurs filets.) il me laissait assez indifférente. C'était justement LA le problème. Car je lui plaisait. Depuis la première fois qu'il m'avait vu, il avouait être tomber sous le charme. Mais bon ça n'empêchait pas qu'il soit adorable et un super ami. En arrivant à notre table, je me mis à sourire toute-seule. Ils étaient tout de même marrants. Ils étaient entrain de débattre sur comment ils allait faire une mauvaise blague à Messie. Messie était juste la fille la plus populaire du lycée. Et même de la ville toute entière. Son père était le maire du village alors forcément...Je me laissais tomber à côté de Lola.


- ... Sûre que avec des vers ça sera mieux ! Continua Lola. Tiens salut Steph'. Ces imbéciles pensent que l'on doit mettre de la sauce ultra forte dans le sandwich de Messie. Moi je suis sûre que des vers de terre ça serait vachement mieux ! Et toi t'en pense quoi ?


- Heu... Réfléchis, les vers de terre, elle les verra. Alors que la sauce forte ben,l'aura par surprise.- Ouais... Je ne vais pas m'avouer vaincue aussi facilement...

Lola avait un caractère bien à elle. Elle avait un côté gothique, superficielle, emo, fashion... En clair, tous les styles étaient mélangés chez elle. Elle n'était pas vraiment superficielle... Juste assez pour être drôle.  James décida de prendre la parole.


- De toute façon, je vous aient déjà grillés et vous allez le découvrir dans trois, deux, un...Et on entendit un cris dans la table des populaires. On vit Messie se lever sur le banc en criant à l'aide.

 - A l'aide ! Elles vont m'attaquer ! Ah ! Cria t-elle a s'en casser les cordes vocales.Marco, son petit ami, vola a son secours quand il compris que celles qui allaient l'attaquer n'étaient rien d'autre que des souris blanches s'échappant de son panier repas. Nous, en attendant, on étaient tous écroulés de rire.


- James c'est toi qui à mis les souris ?


- Le seul et l'unique moi mademoiselle Steph' ! Et si je peux le permettre, tu est vraiment radieuse quand tu ris.


J'accueillis le compliment d'un sourire gentil. Au fond, c'était là notre routine. Il n'abandonnerait pas. Soudain, quand je me mis à observer les alentours, je vis les mots doux que chuchotait Mark à l'oreille de Leslie. Je remarquais aussi qu'elle gloussa et que ses joues rosissaient. Et en faisant tomber ma pomme par terre, je remarquais que la main de Mark était posé amoureusement sur la cuisse de mon amie.


- C'est depuis quand ? Demandais-je à Lola avec un signe de tête montrant nos deux tourtereaux.


- Hier soir. Et à mon avis, ils vont finir par ne plus rien savoir faire au lit à force de nous le montrer en direct.Elle avait dit cette dernière phrase d'une telle façon pour que Leslie et Mark l'entende.


- Si tu veux le savoir Lola, avec Mark nous n'avons toujours pas essayer. Pourquoi ? Tu aimerais assister à la première ?


- Hum... Tentant... Mais non merci, je souhaiterais ne pas avoir recours à un psy. Tiens, tiens... Mais qui est ce chocolat au lait croquant ? Car moi il me donne envi d'en prendre un morceaux...


En suivant son regard, je vis qu'elle fixait, comme tout le monde, un garçon devant le bureau de la secrétaire. En effet, il était craquant. Voir plus que ça mignon. Non ce n'est toujours pas ça. Le mot exacte serait irrésistible. Je n'avais jamais vu un garçon aussi beau. Même James paraissait neutre à côté de lui. Et ce n'est pas peu dire. Il était brun. Ses cheveux soigneusement décoiffé tombaient avec grâce sur sa tête laissant son front dégagé. Ses cheveux étaient courts mais pas trop non plus. Il avait une peau parfaite, sans bouton ni autre défauts. Ce garçon était plutôt bronzé mais pas du genre à laisser la marque de lunettes. Non plutôt comme si il était toujours né avec une peau mate. Il portait une veste en cuir noire ne faisant ni motard, ni féminin. Un jean noir et des chaussures de marque noires également. Plutôt grand, on devinait que sous ce t-shirt ce trouvait un torse musclé. Quand il se tourna vers nous je fus électrisée. Il était entrain de me regarder. Son regard était tel un puits sans fond dans lequel je me sentais divaguer. Ses yeux, d'un marron sombres, étaient tels deux feux ardents que l'on ne pouvait s'approcher sans se bruler. En clair, c'était vraiment un beau mec. Un très beau mec. James remarqua cet échange de regard entre le nouveau et moi. Ses yeux n'étaient plus que deux fentes et il fit une moue agacé. C'était bien ma veine. James était jaloux. Il décida d'ailleurs de prendre la parole.


- Ce nouveau ne me dit rien qui vaille...Lola, célibataire dans l'âme à rechercher LE mec parfait releva immédiatement.


- Mais on dirait bien que Monsieur Le Bourreau Des Cœurs n'est pas ravi d'avoir de la concurrence. Et moi, je vous préviens, si CE mec ne plait à personne je veux bien sortir ma canne à pêche et le faire mordre à mon hameçon...


- Mais Lola, tu ne sais pas pêcher ! Et je te signal que nous sommes deux célibataires à cette table ! Alors ne déclare pas victoire trop vite...Elle savait très bien que je plaisantais. Mais quelque chose en moi se noua face à ce que je venais de dire... En effet, je pense que ma phrase était la vérité. James, n'avais pas abandonné sa moue dédaigneuse mais il le quitta enfin des yeux le nouveau pour s' intéresser à son yaourt. Lola, pas vexé d'un sou, continua son fantasme.


- Oh non ! Je vous en pris Mademoiselle Stéphanie Nice ! Ne me coiffez pas au poteaux face à ce rêve en chair et en os !

 - Ne t'en fais pas... Je te le laisse si tu veux !Les amoureux ayant finis de batifoler, suivirent nos regards et remarquèrent enfin le centre de toutes les attentions. 


- C'est vrai qu'il est vraiment beau gosse. Encore plus beau que toi James alors ce n'est pas peu dire.


- Hé Les' ! N'oublies pas que tu m'appartiens ! S'écria Mark en plaisantant à moitié.- Monsieur serait il jaloux ?


- Oui en effet et ne l'approche pas.Sur ce, il se pencha pour l'embrasser fougueusement. 

Je me mis dans un fou rire pas possible en voyant Lola examiner la scène avec délectation. Puis ensuite je me mis à jongler avec mon bracelet. Quand soudain, en reportant mon intention sur le nouveau, je vis qu'il s'approchait. De notre table. Et il se planta devant nous. De prés, il était encore plus beau. En le voyant nous sourire mon cœur fis un raté en voyant que en plus, il avait une dentition parfaite. Ses yeux exprimaient de la chaleur, de la confiance, de l'amour et pour finir une pointe de douleur à peine perceptible.


- Bonjour, je me présente John Johnson. Je suis nouveau. Serait-ce possible de me joindre à vous ?Lola décida de sortir de sa scène de cinéma gratuite et en profita pour jeter ses premiers filets.


- Bien sûr ! Tiens assis toi Entre Steph' et moi. Je te les présentes tous. En face de nous, tu as : Mark Luck et Leslie Mener. Ils sortent tous les deux ensembles et ne t'étonnes pas si tu les vois tout le temps ensembles. Justement ils sont bien partis pour se marier et avoir beaucoup d'enfants... Bon ensuite en face de Stéphanie, c'est James Wolker Le Bourreau Des Cœurs. C'est le capitaine de l'équipe de basket et il fait craquer toutes les filles. Sauf celles de notre bande comme tu peux le constater. Ensuite, à ta droite, c'est Stéphanie Nice. La fille la plus folle de notre bande. Et...


Je la coupa lors de sa phrase.


- Merci Lola mais chacun de nous est taré dans cette bande. Et je te présente Lola Smiller, la fille la plus superficielle de nous tous. Mais de loin la plus drôle.


- D'accord. Enchanté de vous connaître. Tous.


Décidément, il était trop craquant. Et il avait un de ces vocabulaires ! Magnifique. Et sa voix ! Veloutée, chantante, douce... Il était le B.A BA du type idéal. Je tombais directement sous le charme de sa beauté. James avait abandonné sa moue, mais je décelais toujours dans ses yeux, que malgré ses efforts pour ce contenir, il étais encore d'une jalousie énorme face à John.Quand à moi, je continuais les présentations.


- Et les gens que tu vois rigoler là bas, ce sont les populaires. La clique des canons dans le lycée. Toutes les filles que tu verras là bas sont toutes pareilles. Blondes, les cheveux gonflés dans des chignons impossible à faire avec la mèche/frange rose bonbon devant les yeux. Les mini jupes en jean déchiré et griffé de grandes marques. Les garçons les plus machos, et beau gosses y sont. Sauf James qui à un brin d'intelligence, reste avec nous.


- Mais je ne comprends pas... Toi tu est belle. Lola et Leslie aussi. Pourquoi n'y allez vous pas ? Leslie pris la parole.

- Parce que NOUS avons notre propre style. Lola pourrais y être admise si elle n'étais pas rousse. Mais elle ne souhaite pas se teindre les cheveux et aller là bas. Je suis brune et j'ai un style plutôt décontracte. Et je ne souhaite pas aller parler de vernis rose à paillette avec ces pestes sans cervelles. Et quand à Stéphanie...

Elle ne savait quoi dire. En effet j'étais blonde. Une blonde aux yeux vert. Le genre de filles pouvant être accepté là bas. Il me suffisais de faire un effort pour y être accepté. Mais hors de question. Je répondis à sa place.


- Il se trouve que je n'ai aucune envie d'aller là bas. En plus, leurs jupes qui ne couvres qu'une partie de leurs fesses non merci. Et tu as vu leurs cheveux ? On dirait qu'elles ont essayé de se coiffer avec un manche à ballais ! Elles se ressembles toutes avec leurs yeux bleus, les cheveux colorés en blond et rose et leurs hauts laissant voir la moitié de leurs poitrine. Et si c'est pour parler de la pluie et du beau temps non merci. Mes vrais amis sont ici et j'y reste !


J'avais dis tous ça avec tellement de conviction que je fis presque sauter ma pomme en donnant un coup de point sur la table.Leslie se racla la gorge et continua avec une voix un peu enroué.


- Et la fille ultra bronzé avec des cils de deux kilomètres qui te mate c'est Messie Nower. C'est la fille du maire. Certainement la plus populaire de notre coin paumé. Techniquement, il ne faut pas lui chercher les noises. Mais comme tu peux le voir, nous on s'en fiche et on ne fait que lui jouer des mauvais tours. Elle nous détestent tous. Surtout Stéphanie d'ailleurs. Désolé mais il faut l'avouer Steph'. Depuis la grande section, quand tu as joué Le Petit Chaperon Rouge à sa place, elle te hais.


- Je sais...


La sonnerie retentis. Ma première heure de cours de l'après-midi était maths. Comme par hasard, c'était la matière ou j'étais la moins doué. Je partageais cette heure avec James et comme d'habitude, il regagnait sa place à côté de moi. Et là, je vus John rentrer dans la salle de cours. Je me perdis dans son regard. Ensuite je descendis mon regard jusqu'à ses lèvres, si pleines, si belles... Je rêvais d'y gouter. Et là je me mis à m'imaginer entrain de poser mes lèvres sur les siennes. Entrain de les embrasser...


- Hého ! Allo la terre j'appels Stéphanie ! Alors je te ré-expliques ou tu as compris le numéro 612 ?


- Hein, Comment ? Ah oui ! Heu... Désolé je ne t'ai pas écouté...


J'étais confuse. Un simple regard de John me suffisait à oublier les sons aux alentours. Il donna un papier à madame Newton, notre professeur de maths, et alla se placer derrière moi. Je sentis son regard peser sur moi. En me tournant, je le vis en effet me regarder avec ses beaux yeux sombres. Je n'arrivais pas à détacher mon regard du sien. Il m'envoyais des décharges électriques dans tout le corps. Je sentis qu'on me pris la main et en arrivant à me détourner de son regard, je vis que c'était James qui me la tapotait pour me ramener à la raison.


- Heu... Tu sais, si à chaque fois que je parles tu ne m'écoutes pas, je ne crois pas que ça va t'aider pour le numéro 612.


- Je suis vraiment navré James. Je ne voulais pas... Je te promets d'écouter. Et j'ai vraiment besoin d'aide ! Tu connais mon problème avec les maths !


- Ce n'est pas moi qui dirais le contraire ! Mais tu sais aussi bien que moi que je ne suis pas bien bon non plus en maths.


- Tu parles ! Tu as quatorze de moyenne ! 


- Grâce à toi ! Tu m'oblige à mieux apprendre les cours... Tu me stimule.


- Je ne t'es jamais obligé à rien !


- Non mais j'apprends mes cours et m'efforce de les comprendre pour mieux te les expliquer ensuite.*


- Oh ! Heu... Ben merci alors.

- Merci à toi. Et il se remit à essayer de m'expliquer ce fichu exercice en attendant que madame Newton se décide à commencer le cours...



Il fallait l'avouer : Je ne comprenais absolument rien. C'était comme du chinois ces formules pour moi. Et en plus je sentais une vague de chaleur en pensant que John était juste derrière moi. A vrai dire... Je ne pensais qu'a ça. Déjà que je ne suivais pas beaucoup en cours, là je n'écoutais plus du tout. Je ne faisais que penser au Nouveau Ultra Canon John Johnson. J'étais tellement subjugué par mes pensés, que je manqua de crier en sentant quelque chose derrière mon dos.Je me retourna et mon cœur fis un raté en comprenant que c'était John qui m'avais tapoté avec son crayon, réclamant mon attention.


- Qu'est-ce qu'il y a ? chuchotais-je. Ma voix, étant déjà faible, était en plus tendue. Presque agressive. Je repris alors plus gentiment. Tu as besoin de quelque chose ?


Il répondit de sa voix chantante.


- Oui en effet. Au début du cours, madame Newton m'a donné la soirée pour rattraper les dernières leçons copiés. Et je me disais que je pourrais passer chez toi pour les récupérer. Ça te dérangerais ?



[...]


Le massacre est censé durer encore quelques pages, mais on va en rester là, je pense. J'espère que vos yeux sont encore en vie ! 

C'était donc mes premiers mots. J'irais vomir à vos côtés ce truc niais dégueu', vieux soap américain à la FanFiction OneDirection plus tard !

Merci d'avoir partagé cette honte à mes côtés. Des bisous !

Défi de la honte : CHECK.


Annotations

Versions

Ce chapitre compte 4 versions.

Vous aimez lire Leyesna ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0