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Mon père buvait beaucoup, du vin à foison.

La situation s’envenimait.

J’avais peur de mes amies, du lycée.

Les tournures des évènements tournèrent au cauchemar, un thriller psychologique comme dans les films.

En effet, j’arrêtai l’école comme ça du jour au lendemain.

Mon père, pour me punir m’enferma dans la cave à vin dans le noir.

Avec un bout de verre, je me déchira la peau de ma main droite.

« Quand tu auras compris que les études te mènent à l’argent ... »

« C’est ta faute si maman avait été là ... »

« Elle n’est plus là ! Ne parle plus jamais d’elle ! »

« Connard ! »

Puis il referma la porte à clef. Il me faisait boire que de vin.

C’était un vrai psychopathe. Il avait supprimé mon téléphone, il répondait à ma place.

Il se parlait à lui-même, je l’entendis d’ici.

Une semaine plus tard ...

Jean-Luc, un cancre de la classe s’inquiéta et trouva l’adresse ou je vivais.

« Toc toc. »

« Oui je suis Rémon ? »

« Elle est là Cathia ? »

« Elle travaille. »

« Elle ne vient plus pourquoi ? »

« Elle est malade. »

Puis Jean-Luc entendit mes cris de détresse.

« Poussez-vous, je rentre. »

Rémon prit un long bâton en bois et assomma Jean-Luc

Puis il le tua et le dissimula dans son jardin, le recouvrant de terreaux.

Cette semaine-là, une grande amie de Chloé s’inquiéta de l’absence longue de Cathia.

« C’était une conne, une hypocrite, toujours aux genoux de son père. »

« Ne dis pas ça, je la connais depuis le collège, la mort de son épouse l’a rendu fou. Il traite sa fille comme une chienne. »

« Elle se laisse faire. »

« C’est son père. Je propose que nous cinq, on aille lui parler. »

« Sans moi. » Lâcha Chloé en riant.

« Tant pis, j’irais toute seule. »

« Je viens Lucie moi. »

« D’accord Beth. »

Puis je tomba malade, trop de vin dans mon corps.

Mon père me déposa sur mon lit avec une lueur de tristesse.

« Je ne voulais que le meilleur. »

« Toc toc »

« Entrez ! » Dit sauvagement mon père.

Lucie et Beth sentit l’alcool venant de la chambre.

« Comment elle va ? »

« Mal. » Ajouta son père en versant une larme.

« C’est pas une fêtarde, que s’est t-il passé ? »

« La folie de la jeunesse. Vous savez … Elle retourne au lycée Lundi. »

« Heureusement. » Dit Lucie.

Puis mon père s’excusa et voulut se justifier avec les deux étudiantes à la table du salon.

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