Le texte ou poème le plus compliqué pour moi, peut-être par ça subtilité des mots qui seront employés, Hépar l'alchimie très invisible aux communs de l'humanité.
Aujourd'hui, je vais compromettre une auscultation divine de soi-m'aime.
L'action inutile de débrancher un arbre remarquable de ces racines, est un dilemme.
Notre attitude a automatiquement un impact sur la nature.
Probablement comme le choix des mots dans l'écriture.
Jeûner régulièrement augmente votre résistance au froid: vous êtes votre propre chaudière.
Et finalement, plus besoin de cheminée et de stères de bois déchiquetés avec Césaire.
Or, l'âme déchaîne les passions autour d'un feu de joie.
Mais alors, comment conjuguer ces bien-être d'émois ?
Moissonner dans les sous-bois, à la recherche d'un temps perdu soi-disant, des branchages de bois sans avoir la nécessité d'amputer un être vivant.
Ainsi, bouleau, sarments, mousse sèche, troncs, etc...c'est largement convenable.
Pour la métamorphose de vous m'aime. Une magie Seurat à l'oeuvre: sortez un notebook de votre cartable.
La polyçarcie est à votre image: pourquoi cela vous incite de suite à méditer ?
Embrasser les crépitements qui sont une libération accréditée.
Réalisez cette énergie, ces énergies célestes de l'arbre. C'est ça vie divine qui vous est prodiguée, ces voyages dans la voie lactée et sous la lumière de la Lune.
Voici l'expression de votre véritable fortune.
Ce feu de joie n'est que l'image de votre moi intérieur.
C'est un supérieur rieur.