Pompiste et nudiste ;

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Salut,

Vous vous souvenez de moi ? On s’est déjà vu… Mais si, rappelez-vous, l’été passé je faisais du naturisme dans le midi, sur la plage près des voies ferrées…

Oh, le jobastre que je suis ! ha, ha, ha, j’oubliais qu’avec le masque à gaz intégral on a difficile à me reconnaître bien sûr. Pourtant j’ai la même tenue vestimentaire que ce jour-là, juste quelques accessoires en plus mais me dite pas que quand je me retourne on me reconnaît pas ?

Ah voilà ! On est en général plus physionomie sur mon côté pile que face, sauf si je bande en plein, là, c’est plus bas qu’on regarde qui je suis.

Pourquoi je suis à poils au milieu de la nuit à faire le plein d’essence ?

Non, non, ça me dérange pas d’expliquer… on était un groupe à aller sur la plage pour faire la fête ce soir et demain comme on était en week-end, personne n’était pressé et on est tous venus.

Et avec le déconfinement progressif port du masque obligatoire bien sûr, les forces de police verbalisant tout contrevenant : nu, oui ! sans masque, non !

Bon sur une plage naturiste me direz-vous être cul nu on a l’habitude et si on reste discret, pour certaines pratiques dans les dunes la police n’est pas trop regardante mais pour eux ‘sortir couvert’ avait pris un autre sens. Les dangereux inconscients sans latex, c’est leur choix mais le visage non couvert, c’est l’amende ! pourtant les MST sont toujours aussi dangereuses… va comprendre… mais je m’égare, où j’en étais ?

Ah, ça y est : donc dans la soirée on fit différents jeux, soft et bon enfant au départ bien sûr, puis plus vache et avec des gages par la suite. On m’a fait tirer un gage à la con, aller remplir le réservoir en restant à poil ! ces salauds ont vidé la voiture du moindre bout de tissu qui y était et attifé comme je le suis, on m’a remis les clés et mon portefeuille.

Et après avoir relevé le compteur kilométrique (au cas où je voudrais tricher et faire un détour pour de quoi m’habiller) on m’a envoyé à la pompe située à 6 km de là.

Bon, à 2h du matin je risquais pas grand-chose, à part un routier hilare et klaxonnant comme un fou alors que je le doublais, j’étais trop pressé d’en finir et oubliant la hauteur plongeante de sa vue sur mon anatomie, je lui laissais voir mon service trois pièces à moitié bandé depuis mon départ, la situation insolite m’excitant pas mal, avant de comprendre et d’accélérer nettement plus. Je ne rencontrais que 2 autres véhicules.

Bien, vous êtes à présent au courant.

Ça c’est fait et le plein aussi, maintenant le plus dur, il faut que j’aille payer à l’intérieur. Je dois acheter une babiole du magasin et rapporter le ticket comme preuve. J’ai encore 35 minutes pour rejoindre les potes. Le jeune gars assis à la caisse est seul derrière son long comptoir et il n’y a pas eu un chat depuis que je suis arrivé, même pas sur le parking.

*Courage mon gars, c’est presque fini. Je m’auto-stimule.

J’entre, je dois être écarlate sous mon masque et le sourire énigmatique (bien visible derrière le carré de plexiglass protecteur), de l’homme tronc, un fort joli minet sportif en tee-shirt moulant, n’arrange pas les choses.

Et ma queue indisciplinée a des soubresaut en l’approchant, non seulement il est beau mais tout à fait à mon gout. Son sourire s’est élargi. J’essaye de rester stoïque, bien que ma mi-molle qu’il détaille continue de vouloir grimper.

Je n’ai pas encore demandé à payer qu’un bruit de moteur vient mourir à l’extérieur, suivi de deux claquements de portière.

Un coup d’œil sur ses moniteurs et il me dit :

- Vite ! Passe te planquer derrière le comptoir, c’est les flics !

Sans un regard vers la sortie, je plonge littéralement à ses côtés et me glisse dans la cavité prévue pour les jambes, mon cœur battant la chamade, j’entends l’ouverture des portes, un « Bonsoir messieurs », puis des voix indistinctes et le gargouillis caractéristique de la machine à café en réponses.

Je me rends compte que pour me laisser de l’espace il a les jambes écartées de part et d’autre de son haut tabouret et son short, coupé à mi-cuisse dans un ample pantalon de survêtement gris clair, laisse peu à l’imaginaire pour ne pas deviner qu’il bande comme un taureau.

Les tissus sont tellement soulevés que ses couilles et la base de son sexe sont visibles par le tunnel formé de son caleçon américain et short tendus à l’extrême. La taille du chapiteau augure d’une belle pièce. Ma queue a repris une ascension fulgurante après la frayeur qui lui avait fait perdre ses envies.

Mes mains partent en exploration, glissant sur la face interne des cuisses et vont palpées les chairs à leurs portées, c’est doux, palpitant, agréablement rigide et chaud comme la braise.

Il ne participe pas vraiment mais ses jambes sont presque en grand écart et son fessier ondule légèrement sur l’assise, tout doucement.

Coincé par l’emballage et les yeux frustrés par la pénombre qu’il occasionne, j’attrape assez rapidement le cordon de ceinture, défait le nœud et tire au niveau des hanches sur les deux couches de tissus. Un soulèvement bref de ses fesses, comme si il se replaçais sur son siège, et le voilà cul nu ses dessous aux mollets, pas dix secondes supplémentaires qu’il est pieds nu, ses basquettes et ses fringues sous le tabouret à côté de mon masque que j’avais ôté.

Lui, discutant distraitement avec les deux gars sirotant leurs cafés au fond du magasin, alors que j’entamais une pipe endiablée sur son mandrin de choix. On aurait dit qu’il était dédoublé, le bas répondant aux stimuli de mes manipulations en tous genres et ses pieds autonomes qui viennent me masturber, le haut du corps statufier, les coudes bien plantés sur le comptoir pour se donner contenance… des réponses de plus en plus monosyllabes et les tremblements de ses jambes annonçant l’imminence de l’éruption … il simule soudain une quinte de toux, alors que son sirop se déverse dans mon gosier, pendant que mon sperme pulsait hors de ma trique, prise en étaux entre ses panards et les lui badigeonnant jusqu’aux tibias.

Je ne l’abandonne pas avant qu’il ne retrouve une certaine flaccidité, propre et brillant de salive bien sûr.

Je descends nettoyer jusqu’à ses pieds, même si ce n’est pas spécialement mon trip, j’en léchais toutes les traces gluantes. Passe 2 ou 3 minutes supplémentaires où j’agace gentiment son gland et ses couilles pour passer le temps.

Enfin retenti « Bonne fin de service, messieurs » suivi de deux « Bonne nuit ! » et de l’ouverture des portes.

3 secondes de plus et, d’entre ses genoux je vois sa bouille souriante se pencher vers moi :

- Putain de bordel ! Si on m’avait dit que ça m’arriverait en remplaçant mon collègue malade. Jamais je l’aurais cru !

Je remarque l’horloge par-dessus son épaule :

-Merde, je vais perdre !

Il reste moins de dix minutes pour être à mon point de départ. Sorti comme un diable de sa boite, je lui demande de pointer un paquet de chewing-gum sur sa caisse, j’arrache le ticket et, masque à la main, part en courant et criant « JE REVIENS ! »

Je démarre sur les chapeaux de roues et arrive à temps pour valider mon gage. Dernier de la soirée.

J’abandonne mes amis dès les adieux fait, m’habille, remet mon masque médical et retourne à la station au plus vite.

Je le crois pas, ce grand couillon me demande « que désirez-vous ? » en arrivant au comptoir. Je me marre en enlevant les attache élastiques de mes oreilles :

- Ça te suffit, ou je dois être à poil pour que tu me reconnaisses ?

Riant tous deux, j’ai payé mes dettes et il m’a demandé de le rejoindre pour discuter relax.

Et devinez quoi… derrière son comptoir ce p’tit cochon est toujours cul nu, les jambes bien écartées et il rebande ferme…

MIAM !!!

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