Revoilà le temps de l’Enfer Me Ment

Contre lequel nos esprits s’insurgent fermement

Finalité floue, mais véritable souffrance

Ne te résigne pas, peuple de France

Mentir assassiner notre liberté

Tout cela nous aura brisé, brimé, heurté

Mon âme pleure nos vies robotisées

Soumises à un semblant de société déshumanisée

Tiens bon, toi, aimé, enfant, parent, ami

A bientôt je l’espère sur d’autres rivage insoumis

Vous aussi, très chers inconnus

Tous espérons un monde où le bonheur sera revenu.