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TOUS LES BUS MENENT A ROME

En attendant l’omnibus, je tombai sur une arche tressée, comme une jeune vestale, de végétation florale. Seuil genettien ou fantaisie romantique baignant dans le halo des brouillards du petit matin, j’ai vu l’ivoire carthaginois parader, suivi de toutes les conquêtes impériales : nubiens musculeux aux corps peinturlurés de tatouages tribaux et autres princesses, négresses luisantes ou orientales drapées de voiles légers et évanescents…

Je me perdais dans le tourbillon de ces beautés antiques…

Le bus arriva

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