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Les Ministres rentrèrent chez eux.

Aux informations, les trafics de stupéfiants se décuplèrent.

Liliane fit ses leçons.

« ça va ma puce ? »

« Tu travailles dur, tu me manques. »

« Ce soir on mange chez grand-mère. »

Elles se mirent en route et arrivèrent vers vingt heure.

« Mamie ! »

« Ma petite ... »

« ça va Josette ? »

« Très bien, alors tu t’en sors au boulot ? »

« Y a toujours des détracteurs tu sais. La culture nous rassemble et j’y crois fort ! »

« Les gens ne lisent plus trop, ils préfèrent Internet téléphones et tablettes. »

« C’est ça … ça donne des leçons mais tous les politiques sont sur les réseaux sociaux. »

« Ah la technologie, c’est fou ! »

« Les défis de demain sont plus immenses ! »

« On a une planète à protéger Josette. »

« Oui ma fille … »

Elodie se mordit la langue.

« Tu sais … ceux qui gouvernent c’est pas le gouvernement, ce sont les instruits et les philosophes, tout est question de civilisations ... »

« Tu sais Elodie, on en aura toujours des conflits c’est humains. Nos différences nous tueront ! »

« C’est quand qu’on mange. »

« J’ai fait des frites ma petite. »

« Génial ! »

Puis les filles se mirent à table.

« Elodie t’en veux encore ? »

« Non merci, comment tu fais pour vivre sans télévision ? »

« Tu sais Josette sans télévision c’est comme Josette sans internet. Un café ? »

« Oui s’il te plaît. »

« Je préfère vivre comme avant, la technologie est trop envahissante. »

« L’Humain fait n’importe quoi ... »

« C’est vrai. »

« La Création mène à la Destruction ! » se révolta Elodie.

Puis la Ministre et sa fille rentrèrent, Liliane dormit dans la voiture.

Puis Elodie quand elle arriva, vit un homme avec un flingue devant sa porte.

« Vous cherchez ... »

« Quoi ? »

L’homme fut surpris.

« Philippe Delargnion ... »

Il tira, Elodie avait fui et fut égratignée.

Philippe vola des dossiers personnelles et les arracha.

Le jour d’après Elodie et Liliane rentrèrent. La Ministre vit des feuilles arrachées !

Elle fut en colère et décida de porter plainte.

Elle avait mal dormi.

La Ministre se rendit à son travail.

« Où est monsieur Philippe Delargnion ? »

« Il n’est pas là. »

« Ce lâche. »

« Qui y a t-il Elodie ? Dit le Ministre de l’Intérieur Yohan Jordas.

« Il m’a arraché tous les dossiers … et m’a menacé de mort avec un flingue. »

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