Chapitre 3: La promotion

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Deux semaines passent, une semaine avant l’ouverture de la banque Sympathisse. Tout est prêt, les banderoles, les flyers dans les publicités dans la boite aux lettres de tous les habitants de la ville. Une promotion qui à un cout pourvu que cela vaut le cout.

  • Saperlipopette, Julie, tu as bien travaillée ! bravo ! s’exclame Paul.
  • Merci, répond Julie.

Pendant la semaine, les clients affluent de nouveaux clients s’inscrit et prenne une carte. L’autre banque fait grise mine pour leur jour d’ouverture.

Un an son passé, Julie est consciencieuse dans son travail et John l’invite dans son bureau :

  • Bravo ! Grace à toi et à ta démarche, nous avons eu 1000 clients de plus dans notre banque. Les statistiques sont plus que satisfaisant, tu mérites ta promotion ! Félicitation !!!
  • Merci patron, merci, si vous saviez combien de temps, je l’attendais.

Julie avoua alors ses sentiments à John. Il se laissa faire et s’embrasse quelques heures plus tard. Tous les deux se retrouvent au restaurant :

  • Saperlipopette, je t’aimer aussi depuis si longtemps, je n’ai jamais pu te l’avouer, s’exclame John
  • Surtout que je n’aime pas les roux !
  • Au moins, moi, je ne suis pas roux !
  • Oh non, tu es beau avec tes cheveux châtains
  • Je t’aime moi aussi

Julie voit l’heure défilé et à la fin de ce diner. Elle rentre à son domicile, sans faire attention, quel est suivi. Elle referme mal la porte et dans la soirée avant d’aller dormir, elle prend un bon bain et met un casque avec de la musique.

Julie est l’envers face à porte, l’homme entre sans faire de bruit et munies de gants, il étrangle avec un fil de fer autour du cou.

John remarque Julie à oublier son écharpe. Il appelle mais en vain, le répondeur. il se dirige chez elle pour lui rapporter.

Il monte dans sa voiture et sonne, pas de réponse. II trouve cela bizarre, il décide d’enfoncer la porte. Et il parcourt toutes les pièces à la recherche de Julie, la maison est grande, il fouille chaque recoin. Et il tombe sur une cagoule et une paire de gant, sans une ni deux, il appelle la police.

Saperlipopette, j’espère qu’il n’est rien arrivé à la femme que j’aime, pense John en courant dans la maison.

Il voit un suspect dans le jardin, il attrape une corde et sort dehors pour capturer l’individu. L’homme ne l’a pas remarqué, John l’arrête.

La police est sur les lieux, John apprend que la personne qui l’a arrêté n’est pas un voleur mais le meurtrier de Julie. Depuis John fait attention et regarde les profils avant d’embaucher du monde dans sa banque, il n’avait pas regardé le casier judiciaire de Paul, qui avait agressé déjà plusieurs femmes.

Un meurtre presque parfait qui fut résolu grâce à une écharpe oublié.

Fin

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