Bis repetita

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Prise de panique, elle pleurait. De ses yeux plissés s'échapaient une détresse qui vous invite à l'en repêcher par quelque moyen que ce soit.

"Du haut" de ces 70 ans, "tassée" par la douleur physique et la fatigue d'une chimio qui capote, elle s'empressa de répondre à la question posée et à la caresse scapulaire qui se veut comme premier baume :

- " Je sens que quelqu'un est mort .... Je pense que ma maman est morte" dit Renée en détresse.

L'oubli est un privilège dit-on justement.

Est-elle vouée à revivre ce traumatisme éternellement ? Qu'elle en fut le déclancheur ? Comment l'en sortir ?

On reste l'enfant d'une maman, quel que soit notre l'âge.

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