Une histoire de sucette et de robinet

4 minutes de lecture

J'ai un job d'été. Je sais, c'est génial de pouvoir se faire un peu d'argent en échange de passé 6 heures par jour debout en transpirant comme un panda, le comble pour un renard. Au moins il arrivait parfois des choses assez étranges.


Vendredie 24 Juillet

J'étais un renard heureux, il faisait chaud et il y avait peu de monde dans le magasin. Je m'emmerdé en somme. En quête d'une occupation, je vis que l'arbre à sucette près du comptoir qui sert de caisse est vide. (Petit plan des lieus, une petite boutique dans un centre commerciale avec deux ouverture, une en face du comptoir qui sert de caisse et peux accueillir jusqu'à 4 clients en même temps et une à gauche plus petite qui sert de sortie.)


Alors que je remplissais gaiment mon arbre à sucette, une dame arriva dans la boutique. Heureux d'avoir enfin un peu de travail pour me faire oublier que je devais restait encore 2 heures dans cette chaleur je souris. Mais quand je lui demandai se que je pouvais faire pour elle, elle me répond avec tout le mépris du monde. " Vous travaillez ici ?"


Non non, je suis en train de remplir l'arbre à sucette en attendant ma commande pour avoir une remise sur mes huiles et mes biscuits. D'ailleurs pour une remise de 20 euro vous pouvez faire le ménage de la boutique.


Je tente de continuait de sourire pour lui demandait se qu'elle veut et elle me tend un petit pot en verre qu'elle voudrait remplie de poivre. Je lui prends son pot et va derrière le comptoir pour remplir son pot de notre poivre en vrac. (On vend plusieurs produit en vrac.) A mon étonnement la dame me suit en passant les limites aux sols et les barrières pour empêchait les clients d'aller derrière le comptoir et devant les caisses.


Je lui réponds qu'elle n'a pas le droit d'être là. Logique car tu ne va pas avec la boulangère derrière les vitrines pour voir si elle choisit les plus gros croissants, surtout en vue de la crise sanitaire. Elle refuse de partir et bloque même la sortie à une de mes collègues qui ne peux pas sortir du comptoir pour aider un client à choisir des biscuits pour un cadeaux.


A deux on lui demande de partir mais celle-ci refuse car elle veut vérifier que si je lui remplie bien le pot sans prendre le poids de celui-ci pour lui demander plus d'argent. Et elle refuse de partir avant que la patronne lui demande de respecter les limite de sécurité et légale et de bien vouloir partir de ma caisse.


Difficilement elle obéie et je peux enfin faire mon travail sans la vielle peau à coté de moi. Une fois son pot remplie je lui demande si elle veut autre chose et après un non assez clair je lui indique qu'elle me doit 2.90 et après lui avoir indiqué que nous acceptons la carte bleue qu'à partir de 5euro je déclenche un autre problème. On eu droit à un drama que nous étions des cons, de mauvais commerçant et qu'on devrait avoir honte car la pauvre mémé n'avais pas de monnaie et était outré qu'on lui offre pas 3euro de produit. Fin tragique pour une dame qui à promit de ne plus jamais revenir à notre plus grand soulagement.


Samedi 25 Juillet

On aime tous les kinders surprise non ? On a eu droit se matin là à une livraison surprise. D'habitude quand nous recevons un coli le paquet n'as pas trois couches de scotche et si il y a plusieurs cartons on les a tous à la fois.


Comme vous vous en doutez les choses n'ont pas était aussi simple.


1. Le coli est arrivé en deux parties, un hier avec un petit carton et le second (gros) carton aujourd'hui.

2. Il avait 6 couches de scotche, soit presque 1 kilos de scotche à vue de nez.

3. Un paquet de thé en vrac d'un kilo était éventré dans le paquet et à donc déverser tout son contenue dans le carton.

4. On a retrouvé 3 kit de robinet dans paquet. Oui, comme dans Ikea 3 robinet avec les vices mais pas de plan dans notre commande de thés en vrac.


Après une enquête et l'absence de monde dans le magasin, il est devenu évident que les flics avaient ouvert notre coli pour s'assurer qu'il n'y avait pas de drogue dedans. Ma patronne dit que cela arrive parfois qu'il fouille les colits suspects et le thé leurs étaient suspect. Nous avons perdu un thé Paul et Virginie dans cette attaque des forces de l'ordre. On a arrêtait de chercher en quoi le paquet avait l'air suspect.


Par contre pour les robinets, ont a aucune idée comment ils sont arrivés là. Il n'était pas au-dessus ou en-dessous de paquet mais mélanger au thé comme si les fabricants les avaient mit eux même. Ma patronne à prévenu la compagnie de livraison du "cadeau" et on en sera jamais plus.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 3 versions.

Vous aimez lire Allen-Kune ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0