4.

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La jeune femme attrapa l’épaule de Jimmy.

- Viens là toi !

- Quoi !

Elle l’isola dans un coin de rue.

- C’est quoi ça sur la photo ?

- Quoi il y a rien ! Vous êtes folle ?

- Il y a deux minutes il y avait une adolescente avec des ailes.

- Non mais vous délirez …

- Comment ça se fait de sauter d’aussi haut et retomber vivant sous une pluie diluvienne ?

- Je …

- Tu vas m’expliquer bon sang !

- J’aime la vue du monde du haut de ces toitures.

- Tu es suicidaire ?

- Non ! Je veux en faire mon métier.

Puis Jimmy entendit un souffle et une voix qui le poussa à embrasser la reporter.

Elle se laissa faire et se plaqua contre le muret de la rue.

Puis des jeunes groupes d’adolescents sautèrent et Jimmy fixa les yeux au ciel tout en l’embrassant.

Il proposa au reporter de la rejoindre.

Ils montèrent les toits.

Jimmy rechercha ces groupes mais avec l’effet de l’alcool, réalité ? Ou illusion ?

Il apprit à la jeune femme à sauter.

Au début, c’était pas facile.

- Fais gaffe. Articula violemment Jimmy

Les deux individus apprirent à se connaître et se dévoiler.

Elle découvrit de nouvelles sensations.

- Escalade ce mur jonché de Hyères.

- Quoi ?

- Fais moi confiance, je suis là.

Jimmy entendit à nouveau ce souffle.

- Tu as tout gagné, l’honneur de ton père, l’amour, le courage, l’héroïsme fou ; bref on ne peut que t’aime.

- Colombia arrête.

- à qui tu parles Jimmy ?

- Je … non c’est l’alcool.

- Tu as un comportement mystérieux.

Ils grimpèrent au plus haut building de la ville.

Le soleil revint.

Puis les deux jeunes admirèrent la vue.

- Tu vois, là-bas c’est l’horizon, prends un cliché !

- D’accord.

Puis elle l’embrassa encore plus fort. Les paupières fermées.

- Nous ne sommes que des êtres humains, on peut pas être plus fort que le temps qui passe, que le danger qui y est à chaque instants, de notre état de santé physique ou mental.

Nous vivons pour écrire notre propre histoire, la meilleure arme est d’être soi-même.

Le plus beau bonheur est de s’enrichir de soi et ensuite des autres, le matérialisme occulte la dernière place car tout est destructible.

On est tous fait de passions, de richesses profonde en soi, la plus grande force de l’Homme est sa place dans l’humanité, une vie ne vaut rien de tout ceux qui s’achètent ou consomment. Nous sommes la vie, le plus beau cadeau de nos parents, notre famille. Conclue le narrateur

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