piège inachevé

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L'univers recèle des merveilles. Alors que l'on pourrait croire chaque pan de création régit par une loi, une règle, voici qu'apparait, au cours d'un détour une aberration née d'étrange condition. Cela aurait pu décrire le merveilleux spectacle qu'offre une planète et ses lunes, mais l'explication ne suis pas ce principe. En des temps et des plans différents, une guerre éternelle entre deux camps opposés par leur essence même, fit voler en éclat nombre de réalité, brisant des univers, pour n'offrir que le spectacle d'un vide dimensionnel désolant. N'ayant plus que le vide comme soldat, les deux entités n'eurent pas d'autres choix que de conclure une paix durable, ils choisirent le plan le plus opposé à leurs essences, là où elles étaient le moins décelable et y implantèrent un symbole de leur passé de guerre et de leur avenir de paix et d'absence, mais aussi la trace d'un gardien, un avertissement, de ce que leurs guerres avaient révélé. Un faiseur de monde fut appelé. Un grand vers, synonyme de cauchemars, autant que de rêve. Figé dans l'espace, il attira par sa masse nombre de débris qui le recouvrirent entièrement en une sphère. La chaleur du vers demeurant, elle servi de noyau, de chaleur et d'axe pour tourner autour d'un soleil, ce monde neuf et sphérique fut alors modelé de façon artificielle. Au nord et au sud, les essences y implantéres leurs créations. Au nord, chaud, aride, toujours brumeux, stérile, peuplé de créature infernale, en taille et en caractéristique disparate, mais toujours née pour faire le plus de dégât possible ; au sud, froid, dans les glaces et la clarté du gel, des êtres froids, terrible, ce ressemblant tous, dans leurs beautés et leurs volontés sans détours de répondre à la violence par plus de tord qu'on ne peut leur en causer.

Pour laisser ce symbole immuable des guerres passées, des barrières furent érigé pour contenir ces êtres. Au sud, une barrière de glace, infranchissable, brulant d'un toucher de gel quiconque s'en approche. Au nord, comme pour se donner de l'importance, aucune barrière naturelle, mais une barrière anthropomorphique, la mort fut personnalisée, arrêtant définitivement tout élan dans un sens, comme dans l'autre. Au centre de ce monde, tout fut laissé libre, libre de réagir comme cet univers le choisira, libre de subir et de réagir aux influences de ce monde. Afin de maintenir une sorte de surveillance, une lune dévasté, un ancien reliquat de funeste combat et d'histoire oubliée, fut implantés en orbite, un souffle de vers y fut enchâssé, créant continuellement une faune de dragon ayant la puissance suffisante pour tous ravagés si ordre de leurs maîtres leurs étés donné. Le décor étant posé, amis, c'est maintenant en ces termes que l'on peut poser la question : Pourrait-on vraiment croire que des êtres si puissants n'ont pas autre chose à faire que de posé des symboles aussi grossier ?

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